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Robin Foster's album "Life Is Elsewhere" might be the soundtrack to
the private road movie of his life. The cinematic textures of his
music adds an intensity and originality that make bold statements with
hints of intimacy. Images from various films spring to mind, rain
drenched streets of "Bladerunner", the deserted plains of Sergio
Leone, or city lights at dusk captured by Michael Mann in films such
as "Heat" or "Miami Vice".While the melodic style is persuasively subtle and distinctive,
comparisons can be drawn to those such as Mogwai (most notably on the
album's brooding finale "Save the Cheerleader") or similar groups like
Sigur Ros, Godspeed You! Black Emperor, not forgetting the Mancunian
contingent: New Order, The Smiths , Doves…Add to this the album's stunning sleeve, shot by photographer turned
director Sean Ellis (Cashback), the album should get
the success it rightly deserves
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_______________Robin Foster n'est pas à proprement parler un inconnu dans le milieu musical Breton. En effet, né en Angleterre, ce jeune homme, arrivé à Brest en 1997, se fait très rapidement une place sur la scène locale en devenant le compositeur du groupe Beth.
Avec ce dernier, le guitariste tourne assidûment durant sept ans, enregistre plusieurs EPs, un album, joue aux Vieilles Charrues et assure la première partie de formations telles que Placebo, Yann Tiersen, The Kills ou Venus, pour ne citer qu'eux.
Cependant, en arrière-plan, des mélodies lui trottent dans la tête. Celles qu'il a commencées, dès son plus jeune âge, à mettre en place sur le piano de sa grand-mère.
Beth, devenu Moneypenny, splitte en 2004. Il est alors temps pour Robin de plancher concrètement sur les titres qui forment, comme il le dit lui-même si bien, la bande originale de sa propre vie.
La première chose qui vient à l'esprit lorsqu'on écoute la musique de Robin Foster, ce sont des images. La pluie qui inonde les rues de «Blade Runner». Les plaines désertiques du midwest, magnifiées par Sergio Leone. Les lumières d'une ville, la nuit, comme seul sait les filmer Michael Mann.
Cinématographiques, les chansons de Robin Foster le sont assurément. C'est cette dimension qui fait, avant tout, la différence et marque durablement l'auditeur. Impossible de résister, l'invitation au voyage, au rêve, est trop tentante.
Si le toucher particulier du guitariste anglais et sa sensibilité mélodique originale forment une «patte» reconnaissable au premier coup d'oreille, il partage cependant, avec de nombreux autres artistes, des accointances musicales assumées.
Tour à tour, on pense à Talk Talk période «Spirit of Eden», à Sigur Ros, mais également à Godspeed Youn ! Black Emperor ou encore à Mogwaï et Portishead. Avouons qu'en matière de famille musicale, on fait largement pire…
Il partage, avec ces éminents collègues, un goût prononcé pour les nappes envoûtantes de guitares, les envolées déchirantes et saturées, les voix qui vous laissent la gorge serrée… L'émotion à l'état brut, tout simplement.
Toujours engagé dans la quête de sa propre bande originale, il est soutenu dans cette tâche par les « Never meet your heroes », collectif de musiciens issus de diverses formations bretonnes.
Propulsé sur le devant de la scène par le phénomène MySpace, où sa page reçoit un nombre impressionnant de visites, il se lance, avec ses acolytes, dans l'enregistrement d'un album, «Life is elsewhere», qui sortira en février sur le tout nouveau label Last Exit. Avec un son puissant et une pochette signée par Sean Ellis, photographe et réalisateur anglais, auteur de l'excellent long-métrage «Cashback», le disque devrait rapidement faire parler de lui.
En attendant, le guitariste et ses amis maturent leur formule live. Créateur hors pair, Robin Foster est à suivre de très, très près.Thomas Rozec
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