About Me
"Avant je pensais que le monde autour de moi était malheureux. Maintenant, je le sais. Avant je pensais qu'il existait plusieurs alternatives au bonheur, seulement je confondais encore le fond et la forme. Et j'ai réalisé qu'on pouvait faire semblant, de n'importe quelle façon : d'être heureux sur la forme en laissant le fond pourrir. On se plaint d'un monde bancal et on traite ceux qui veulent le changer de prétentieux...difficile d'assumer ses propres choix. Alors on abdique et on crache sur ceux des autres. Toutes ces années passées ont prouvé à quel point l'homme pouvait se diviser, se déchirer, tenter de fuir un essentiel inéluctable. Quelque soit les contextes, les époques, les situations, on n'a jamais vu l'homme se battre pour se rassembler, supprimer les à priori et les préjugés. Avant on se battait à l'arc ou à l'épée, aujourd'hui on se déchire à l'arme nucléaire...ça c'est de l'évolution... Le monde est tellement habitué au mal que le bien nous choque. On s'est tellement sentis trahis par tant d'évenements personnels ou non, qu'on ne laisse plus la chance aux bienfaiteurs de prêcher leur bonne parole. C'est triste. Nous n'avons pas un gramme de méchanceté en nous, juste quelques rêves à faire partager. Seulement la méchanceté a détruit vos rêves et a mit en quarantaine vos utopies. On ne cherche plus à faire le bien, ni même le sien, rien ne vous convient et vous partez vaincus d'avance. Laissez vous déjà une chance à vous-même avant d'en laisser une aux autres. Lorsqu'on commet une erreur, on ne veut ni l'admettre, ni la reconnaître, alors on tente de la cacher...devenir superficiel pour fuir l'essentiel. Après tout nous vivons tous dans un énorme mensonge, autant faire comme tout le monde...
En se mentant à soi-même, chacun ment à ceux qui les entourent. On se fait passer pour ce qu'on est pas, en espérant tromper ceux qui nous trompe déjà . On n'apprécie plus les choses à leur juste valeur, tout a basculé. Ce qui n'était pas important l'est devenu. ce qui n'avait aucune valeur se transforme en convention. le superficiel est devenu essentiel pour permettre de justifier ses mauvais choix, en mettant en avant toute une série d'arguments matériels et arbitraires. Nos propos sont désormais gratuits, nous ne luttons plus pour évoluer, mais pour cacher le passé. Tenter de camoufler nos erreurs. Or, si la vie c'est le présent, et si la liberté est dans nos têtes, alors ces personnes qui vivent avec les regrets du passé et les angoisses du futur ne vivent pas. Elles survolent leur vie, on les appelle des victimes, capables de trouver toutes les raisons de la terre pour dire que ça ne va pas. Sachant nous même que nos arguments ne font pas le poids face à la vie ou au présent, trop de fierté et on s'enfonce volontairement, quitte à tout détruire pour ne pas se remettre en question, même nos enfants. Quoi que nous fassions, nous sommes convaincus que le pardon n'existe plus depuis longtemps. Alors on se condamne soit même à subir une souffrance insupportable, dont on ne parlera jamais pour ne pas dévoiler la vérité. Trop peur de se retrouver tout seul parce que tout le monde a aussi mentit autour de nous, et personne ne veut ouvrir les yeux, se retrouver face à soi-même. On avance dans le vacarme et la hâte que tout cela se termine vite. Bienvenue dans le cercle des corrompus. Pour la plupart des gens, devenir une personne adulte, c'est se corrompre, accorder de l'importance à l'argent et aux choses superficielles...dont il faut prendre bien soin. Inverser son échelle de valeur, vivre en fonction de tout sauf de soi et de ses vraies envies, subir un système et toutes ses contraintes arbitraires, quitte à vivre toute sa vie par défaut et vivre chaque jour avec le dégout du jour présent. Se marier avec telle personne, parce qu'elle est en place, elle. Entreprendre un cursus universitaire, qui nous permettra de sucer tout les dirigeants et les grands décisionnaires de ce monde en tenant un discours parfait, remplit de propos parfaits, de petites victimes parfaites. Arrêtez d'aller à l'essentiel et parlez. Parlez, parlez, le plus possible pour ne surtout pas entendre cette petite vérité grinçante qui nous prend aux tripes à peine on y pense. Faites du bruit, tapez des mains de toutes vos forces, parlez fort dans le métro et dans la rue, riez aux éclats au restaurant. Riez d'un couple qui dîne à la table voisine. Venez ici pour le calme réputé de l'endroit. Soyez désagréable gratuitement avec les gens dans la rue. Donnez l'impression d'avoir beaucoup d'assurance dans votre démarche parce que tout le monde sait que c'est en fonction de la tenue et de la posture que nous jugeons une personne. Lorsque quelqu'un parle d'un sujet dont vous ignorez complétement le sens, faites semblant de comprendre et rajoutez en, même. Vous accordez tellement d'importance à la culture générale et pensez qu'on vous juge en fonction de tout ce qui ne sert à rien, que vous préférez rester ignorants. Pas très cohérente comme approche, mais bon. Essayez de posséder tout le superficiel dont vous vous foutiez éperdument auparavant, à l'époque où vous faisiez encore la part des choses, cela vous permet de vous enfoncer encore plus et de vous noyer dans votre faux bonheur. Subir des interventions policières injustes parce qu'on a peur du coup de matraque, élire un dirigeant pour ses qualités d'orateur et non pour ses idéaux, qu'il a abandonné depuis bien longtemps d'ailleurs. Faire croire à un enfant que le monde n'est pas si rose que ça, alors que la vie n'est que ce qu'on veut qu'elle soit. Mais comme nous-même n'avons pas fait ce que nous voulions, on ne peut pas les voir vivre leurs propres rêves. Le monde est devenu fou et tout le monde le sait parce que tout le monde est fou. L'humanité est une énorme trahison et tout le monde le sait parce que tout le monde s'est trahit. On se soucie des fausses causes pour donner l'impression qu'on se soucie de notre monde bancal. Mais on évite les justes causes arbitrairement pour ne pas avouer ses mauvais choix, prétextant que le monde ne changera jamais. Qu'il y a trop de paramètres à prendre en compte, que c'est trop difficile, que le système et toutes ses contraintes sont trop importants. Qu'à cette période actuelle, cette situation ne permet pas un changement brutal, radical. Seulement depuis le temps qu'on dit ça, le monde aurait pû changer des milliers de fois. On est capable de justifier des guerres et des massacres en utilisant des prétextes qui remus les rancoeurs du passé et une peur violente du futur. On est capable de tuer pour des raisons qui n'ont plus de sens aujourd'hui, ou pour du superficiel, comme des terres, des accords commerciaux, une éventuelle union entre plusieurs états, une nation...je ne sais plus, il y a trop de mots pour parler de la même chose, pour s'éloigner les uns des autres, pour mettre des barrières entre nous, pour dire qu'on est polis ou vulgaires, se juger faussement. Ce ne sont pas les mots qui font les personnes. La plupart du temps, les gens ne font que parler. Hors, une parole sans action est vaine. Seulement tout le monde sait que les mots sont sur-puissans et permettent à ceux qui parlent mais n'agissent pas, de survivre auprès des passifs et d'esquiver les actifs, car eux, les mots ne leur suffisent pas. c'est vrai, on ne peut plus discuter avec moi. Une remarque que me font constamment ces personnes qui parlent mais n'agissent pas. Il est temps d'arrêter de parler mes chers parleurs. Ca fait trop longtemps qu'on discute. Il est temps de passer à l'action. Qui a dit que rien ne changerait, à part ceux qui n'ont jamais changé ? Vous avez un meilleur argument pour me dire que c'est impossible ? J'en ai marre de vous écouter cracher les uns sur les autres. Mais ça vous permet de vous sur-élever un peu aux yeux de ceux qui sont déjà bien bas. J'en ai marre de vous voir vous déchirer pour n'importe quelle raison, jetez vos enfants de la maison parce qu'ils ne veulent pas vivre la même vie que vous. Faire plus petits que vous êtes pour rassurer ceux qui vous entourent. Ne plus savoir apprécier les choses à leur juste valeur parce que vous avez perdu goût à la vie. Mentir à vos amis parce que vous êtes sûrs qu'ils vous en voudront, et si c'est le cas, s'ils vous en veulent vraiment, alors votre amitié ne vaut pas bien chère. Quelqu'un qui est en paix avec soi-même est en paix avec le reste de l'humanité. Condamner quelqu'un, c'est se condamner soi-même. S'il vous condamne, ne vous condamnez pas vous-même, cette raison n'est pas valable. Nous sommes tous conçus pour briller comme les enfants. Le libre arbitre ? On ne sait même plus ce que c'est. Toute notre vie se base sur un doute énorme, universel, nous ne sommes sûrs de rien, encore moins de nous. Alors on fait n'importe quoi, en tout cas, pas ce dont nous rêvions, convaincus de l'échec futur. On se résout à vivre une vie de merde pour ne pas tenter une vie de rêves, parce qu'on a vu nos parents échouer et le monde avec. On a peur de se sentir un peu seul, alors on préfère s'entourer de 6 milliards de connards et n'ouvrir sa bouche que pour signifier qu'on est absolument d'accord avec toute la merde que tout le monde raconte pour éviter de sortir les vieux dossiers. Le libre arbitre, c'est le droit, pour celui qui est dans la merde, de ne pas finir dedans, et pour celui qui est dans le coton, de ne pas étouffer avec. Il est universel, il dépasse les conditions, les situations, les contextes, le temps, l'histoire, l'espace... toutes ces notions superficielles sur lesquelles tout le monde se base pour vivre, pour prendre des choix, entammer une relation, déclarer une guerre, juger quelqu'un ou apprécier la vie. L'essentiel est universel parce qu'il est absolu et déconditionné. Il nous lie tous les uns aux autres. Nous disposons d'un fond commun qui est la meilleure des raisons pour arrêter de se diviser et de se tuer. Vérité universelle qui n'est pas bon d'admettre pour un président d'une quelconque république. Président corrompu qui a passé sa vie entière à entamer des faux processus de paix et à nettoyer des populations grâce au consentement résilié d'une humanité absolument victimisée.
On y est tous pour quelque chose, avouez le. Et repartez à zéro. Les bébés sont les êtres les plus extraordinaires et les plus vrais. Pour eux, nous sommes des gens fabuleux. Ils croient en l'humanité. Un rien les émerveille. Ne les décevez pas. Ne faites pas d'eux ce que vous êtes devenus, là est le pire des crimes. Ces bébés n'ont aucuns préjugés sur vous. Ils ne vous jugent pas sur ce que vous êtes aujourd'hui, mais sur vos capacités à être des gens fabuleux. Ils sont une chance pour vous de repartir à zéro et d'être des gens fabuleux. Ceci dit, toutes les raisons sont bonnes pour repartir à zéro. Comme toutes les raisons étaient bonnes, pour vous, à l'époque où vous ne vouliez surtout pas repartir à zéro. Si la fierté et l'amour propre brisent nos relations, alors je n'en aurai pas. Il est temps de tourner la page mes chers amis. Nous sommes là , nous ne vous condamnons pas. Si vous vous plaignez vraiment d'un monde bancal et si vous avez peur de prendre enfin un vrai choix, alors vous n'avez plus aucune raison d'hésiter. Parce qu'il existe encore des gens biens sur Terre. N'ayez plus peur de vous retrouver seuls, car vous n'êtes plus seuls. Maintenant que tout est dit, il est temps pour vous de vivre." ezzinROSE-LE manifeste
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