Last Exit Records

LAST EXIT RECORDS
Last Exit Records – record label, music publishing and concert promoter – focuses on artistic development. In the ever-changing music industry, our priorities lie first and foremost with the quality of our artists - considering music as an art not just as a business. Last Exit Records gives as much importance to the audience’s expectations as to artists’ needs: from studio recording to live performances on stage. Our catalogue is constantly developing and reflecting what we consider to be some of the best of today’s music. Our artists have proved their ability to outshine the local scene and are now attracting national and international attention thanks to their outstanding rock, electronic and trip-hop albums. We try to keep a certain balance of label and artists working together with the not-so-utopian idea that we can still make very good music available to everyone.

Last Exit Records, producteur, éditeur de musique, mais aussi organisateur de concerts, mise sur le développement et la pérennité des carrières d’artistes. Dans la jungle de l’industrie du disque, nous sommes d’abord attentifs à la qualité des œuvres et voulons continuer à considérer la musique comme un art avant de la voir comme un business. Le label attache en effet autant d’importance aux attentes du public qu’à celles des artistes qu’il accompagne de l’enregistrement jusqu’à la scène. Notre catalogue n’a de cesse de s’enrichir et reflète aujourd’hui ce que l’univers musical bouillonnant qui nous entoure compte de plus intéressant : des musiciens qui ont fait leurs preuves localement et qui gagnent aujourd’hui en notoriété au niveau national et international grâce à la qualité de leurs œuvres rock, électro, trip-hop. Sans déséquilibre, nous avons pour but de faire avancer ensemble label et artistes dans l’idée pas si utopique que l’on peut encore produire de la très bonne musique accessible à tous.
OU…
Last Exit Records, producteur et éditeur de galettes bretonnes, mais aussi organisateur de concerts dignes des plus grands stades a pour but de devenir le maître du monde. Nous avons ainsi pour philosophie le fait que la musique peut se vendre aussi bien que des yaourts 0 %, et c’est pourquoi nous allégeons le plus possible la qualité de nos disques pour sortir des albums jetables qui ne font pas grossir la culture du public, des opus destinés à être rentables une année tout au plus pour payer nos vacances aoutiennes aux Canaries. Notre but : signer des artistes sans âme que nous allons par la suite pouvoir formater à notre guise pour coller le plus possible aux standards du moment, à savoir la Star Academy 7 ou les boys bands sur le retour. Par un marketing agressif et destructeur de confiance, nous adorons formater le cerveau des gens pour leur dire ce qu’ils doivent acheter et c’est pourquoi nous acceptons uniquement des artistes déjà très très connus au sein de notre label. Comme le disaient si bien certains tourneurs : nous n’avons pas le temps de faire du développement ! Il faut payer les factures et surtout l’Audi A6 du patron, sans compter les frais de maquillage et d’habillement de l’assistante en communication ou les multiples dons à l’Eglise catholique de notre directeur commercial. L’idée que l’on peut encore produire de la très bonne musique accessible à tous ? Ha ha laissez nous rire. Le disque est un support que même les hommes des cavernes n’utilisaient plus (ben oui, pour un mp3 téléchargé sur i-Tunes, une peau de jaguar pur synthétique offerte !)
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