Bernard Joyet

Ce qui est fait est fait. L'important est ce que je vais faire... Je commence tous les matins. Voir mon site : www.bernardjoyet.com
La presse
...Bernard Joyet, dont la carrière solo est encore récente, enthousiasma littéralement un public qui, dès le troisième morceau, savait qu'il lui ferait un triomphe. Sa prestation fut l'un des temps les plus forts du festival. Un artiste dont l'humour, la mélancolie, la poésie pudique, la présence scénique et les qualités d'interprète sont un vrai bonheur. Et puis, quelle écriture ! A voir absolument et de toute urgence ! CHORUS.
...Tantôt comique carnassier, tantôt tendre (amoureuse douceur de Francheville), tantôt conjuguant image féminine rayonnante et humanité incendiaire (Djamila), Joyet a le verbe pulpeux, la rime sensuelle, l'alexandrin gourmand. On joue volontiers les Prolongations...Télérama.
... Bernard Joyet promet: On donnera des cerises au merle moqueur. C'est une belle idée surtout à notre époque où la chanson se refuse souvent à l'intelligence et aux douceurs finement pesées. Orfèvre de la plume et de la note, il a donné à Juliette quelques chansons superbes, après avoir longtemps été chanteur fantaisiste. Le voici maintenant qui chante seul ses propres oeuvres : des discordes délicieuses, des planisphères minuscules, des promesses intenables, des miniatures sarcastiques, toute une poésie peinte au pinceau à un poil. Certes inconnu du grand public, fidèlement absent des programmations de la FM, Bernard Joyet a toutefois publié un des disques les plus attachants de l'année...Bertrand Dicale, Le Figaro.
...Dix sur dix pour Bernard Joyet, qui a su, avec un talent éclectique et une grande présence nous faire passer du rire aux attendrissements. Diable d'homme dont les dérisions sont poésie et la poésie dérision... un grand auteur de chansons. Le public de ce festival, décidément connaisseur ne s'y est pas trompé; plus de quatre cents spectateurs dressés, lui ont fait une véritable ovation à la fin de son tour de chant...La Marseillaise.
... Triomphe pour Bernard Joyet, un des plus fins auteurs actuels, parolier de Juliette et fabuleux interprète. Du savoureux "Gérontophile" à l'éloge de la paresse, de "Djamila" à cette "Petite balle perdue", Bernard tira les larmes du public qui ne savait plus si c'était de rire ou d'émotion et conquit Barjac qui le salua par une ovation. Epoustouflant! Chant'Essonne.
... Un public chaviré s'est laissé mener par le bout du coeur sur cet itinéraire que chaque chanson marque d'une pierre blanche ... c'est une véritable ovation qui a conclu ce concert où l'on aurait pu jouer les" Prolongations" sans souci...
Le Dauphiné Libéré.
...Bernard Joyet illumine le festival ... Var-Matin.
...Chansons de noblesse... Bernard Joyet enthousiasme son public deux concerts durant. On a affaire ici à une histoire d'amour avec la langue française . Wetterauer Zeitung (Allemagne).
...Bernard Joyet a offert à une salle archi-comble sa poésie lunaire, élégante distillation d'émotion et de rire sur fond de quotidienneté.
La Nouvelle République.
...Epoustouflant le Joyet. On rit, on jubile, on se révolte : on vit... Pour une fois qu'on ne nous sert pas la soupe commune, ayons l'ambition d'y être. D'avoir du talent. Même si c'est par procuration...Christine Georget, La Provence.
...Bernard Joyet, épicurien du verbe... Cyber monde en fusion, discordes délicieuses, antagonismes amers, verbiages abscons, humanité incendiaire, notre monde et nos vies sont moulinés aux mots d'esprit et à l'esprit sarcastique de ce poète qui place la surprise au détour de ses couplets."Aux commissures de mes rêves les mots sont des gouttes de temps", des gouttes que l'artiste distille à bon escient avec la complicité de Nathalie Miravette. Bravo l'artiste ! L'Est Républicain.
...Un morceau de bravoure, un numéro d'équilibriste étonnant de maîtrise. Les spectateurs lui ont fait un triomphe ...Le Quotidien (Québec).
...Un nectar gouleyant et jubilatoire ... Nathalie Miravette jongle avec les notes comme Bernard Joyet avec les mots.Chaque chanson est un chef-d'oeuvre taillé avec la précision du diamantaire.Un flot d'images inattendues, déversées avec une violence de connivence, une douceur émotionnelle, une fraîcheur jamais vulgaire, même si l'épice est parfois osée. A chaque gorgée de rire, le spectateur K.-O.de plaisir passe de l'émotion vive à la déraison, de la tendresse diffuse à la vérité, glissant sur le velours de l'art. La République du Centre.
...Joyet à la table des grands... Nathalie Miravette, femme-piano, belle et talentueuse jusqu'au bout des doigts. Joyet, le verbe et la classe, la grande, la soyeuse, tant il est vrai que Joyet ne brille ni dans la demi-mesure ni dans la classe économique. On est doué en entier ou on ne l'est pas. Joyet est avant tout élégance. Si le monde se meurt de ne plus en avoir, lui en fait une culture extensive qui ensemence nos sensibilités en trop fréquentes jachères. On se sent bien beaux et intelligents, à participer à telle fête de mots et d'émotions, à tout comprendre, à tout entendre d'un festin rare qui alterne le grave et le facétieux.Le Progrès