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LE COMPAS DANS L'OEIL - Pierre LERICQ

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L’histoire :« 235 coups de compas dans le corps de papa. Et le dernier coup, dans l’œil. Tu l’avais jamais eu papa, le compas dans l’œil, et bien maintenant, tu l’as, je te l’ai enfoncé dans le crâne, et pour longtemps» ==================================================== Voici comment commence Le Compas dans l’œil ! Paul est coupable, face aux jurés, face aux hommes, face à Dieu, d’avoir tué son père. Mais il est libre, tellement libre qu’il ne peut plus se censurer, ses souvenirs et ses repères vont revenir, durant son procès, comme une ré(s)urgence. Première boum, première télévision, première communion, les vacances à la ferme et leur insoutenable secret, la rencontre avec un vieux prof de français grincheux qui lui ouvre les portes du théâtre. Paul, entre rires et larmes, joue au funambule sur le fil de sa mémoire. Il s’accroche au vide comme s’y accrochent les nuages pour s’envoler dans une liberté légère et joyeuse. ==================================================== Pierre Lericq, dans ce monologue, nous livre toute la folie, les fêlures et la fantaisie de son théâtre intérieur. ====================================================


=================================================== ILS NOUS EN PARLENT... "Pierre Lericq vise juste et fort ! Pierre Lericq a 9 ans, dans « le Compas dans l’œil » il raconte un enfant jeté en patûre à des monstres. Le fermier, la fermière et l’ouvrier agricole sont laids. Le dernier louche et il a un bec de lièvre. Quand Lericq l’imite, c’est Quasimodo sur scène et c’est drôle. Il glisse une touche de rose aussi. Et puis, il chante, il crie la vie, comme dans les spectacles entrainants qu’il partage avec sa compagnie, Les Epis Noirs. Les spectateurs sont pris dans le tourbillon du vent mauvais qui souffle sur une enfance, un destin singulier qui parle de tous les autres. » CAROLE ANDRIEU - LE PARISIEN ==================================================== ==================================================== "Pierre Lericq est un orfèvre des mots. Tel un artisan, il en fait des perles, des armes, des fleurs selon le besoin, Pierre Lericq est aussi un grand comédien, il est partout sur la scène. Il saute, il danse, s'exclame, pleure, rit, crie, se tait, il entraine ses auditeurs dans un rythme époustouflant. Puis s'arrête, s'adresse au public, lance un jeu de mot pour rire. Vraiment, la nouvelle création de Pierre Lericq est extraordinaire par sa richesse et la qualité de sa mise en scène. » ==================================================== ==================================================== "Du lourd, du très lourd ... et du très léger à la fois. Car Pierre Lericq est un homme envoûtant en mouvement. Ce texte d'une beauté brute sans être forcément brutale fait forcément mouche, c'est le titre qui le dit !" L'EST REPUBLICAIN ====================================================
Mon grand père
===================================================="Mêlant comme toujours le burlesque au tragique, Pierre Lericq passe avec une agilité déconcertante d’un personnage à l’autre !" LE PARISIEN ==================================================== ==================================================== "La petite enfance de Pierre Lericq (Les épis noirs) : l'apprentissage des travaux des champs à 8 ans... ou les jolies colonies de vacances ? Un One Man Show qui, outre la vérité vraie, alterne jeux de mots - drôles mais très logiques, somme toute ! - et poésie : imagination et amour des mots... Avignon, ne pas rater !" JEAN-YVES BERTRAND - WWW.REVUE-SPECTACLE.COM ==================================================== ==================================================== C’est un homme qui nous fait face mais ce pourrait être le diable ou un ange. Cet homme est charismatique et enjôleur comme le diable, beau et limpide comme un ange. Mais le diable est un ange et il ne faut pas se méprendre. Cet homme nous regarde droit dans l’âme et s’excuse, s’accuse pour mieux nous culpabiliser de ne pas avoir été là dans son enfance pour le sauver au bon moment. Cet homme nous accuse de ne pas être lui pour mieux se débarrasser d’histoires qui lui collent à la peau et va même jusqu’à puiser dans nos propres histoires de jeunesse pour mieux nous titiller. Cet homme est diable et cet homme est Dieu, Dieu de la parole et du geste qui touche et fait mouche. Pierre est un homme, un vrai fragile et fort, beau et laid ; un homme comme Dieu dans sa grande fatigue à eu l’idée d’en inventer, de ces hommes qui ont la rage de vivre pour partager avec largesse. Cet homme qui hors de scène ne parle pas beaucoup de lui c’est Pierre Lericq et je l’aime car il est tout le théâtre. Néry


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Influences: PIERRE LERICQ - Auteur -comédien Après sa formation avec Claude Brécourt au Cours Simon, Pierre Lericq est immédiatement engagé par Luce Berthomé au Théâtre du Lucernaire, école de la rigueur et rencontre fondamentale dans son parcours de créateur, il se met à écrire et créer sa compagnie LES EPIS NOIRS. Il continue de se former en parallèle au théâtre avec Victor Haïm et à la chanson avec Marianne James. Il trouve son style, développant un univers bariolé de burlesque, de fraîcheur, de folie et de poésie. Mélange de théâtre et de chansons où la mise en scène, la musique et le jeu des acteurs sont bruts, sincères et sans retenue. Ses créations avec LES EPIS NOIRS, « Quand trois poules … », « Opéra des Champs », « Flon Flon », «Bienvenue au Paradis » et « L’Odyssée des Epis Noirs » se sont toujours entremêlées avec des spectacles en solo « Expérience mégalomaniaque … », « Contractions » ou « Vive le vent »Aujourd’hui, il présente un monologue délirant et poétique Le Compas dans l’œil, genèse de ses spectacles et de sa vie. On plonge dans les méandres de ses souvenirs et au cœur de ses sources d’inspiration.-------------------------------------------- ---------------------------------------------------- SOPHIE PASCAL - Mise en scène C’est en classe théâtre et au conservatoire d’Avignon que Sophie Pascal a suivi sa formation théâtrale. A l’âge de 18 ans, elle crée sa troupe et son premier spectacle « Canards » dont elle signe le texte et la mise en scène. Ce spectacle, qui suscite l’intérêt et l’enthousiasme de la presse et du public avignonnais et suivi d’une nouvelle création « Arthurine et Clémentine» et en 1998, par sa première collaboration artistique avec Pierre Lericq sur le spectacle jeune public « On dirait qu’on serait … » dans lequel il met en scène et en musique ses chansons. Après quelques années de collaboration avec Les Epis noirs, Jacques Weber la prend sous son aile et l’emmène en tant qu’assistante et comédienne pour 170 représentations du spectacle « Ondine » de J. Giraudoux avec Laetitia Casta au Théâtre Antoine et en tournée. Aujourd'hui, elle se produit avec son groupe LAMOUCHEDUCOCHE dans divers lieux parisiens ------------------------------------------------------------ ------------------------------------------------------------ -SEBASTIEN LIBOLT- Musique Sébastien Libolt a écumé pendant 10 ans les scènes alternatives hexagonales et internationales avec le groupe « cinglés et cinglants » Les VRP (3 albums chez Universal). Il crée en 1995 le groupe LA TRABANT et écrit ses premières compositions pour les spectacles de DCA/PHILIPPE DECOUFLE (« Denise », « Decodex », « Shazam ! », Tricodex » et dernièrement « Sombréro ») Sébastien Libolt travaille aussi pour le théâtre, la télévision, le cinéma ; réalise des enregistrements pour d’autres artistes (Bertrand belin, Le Quartet Buccal, Néry, Les Epis noirs, Sing Sing …) et donne des concerts aux formations multiples, accueillant chanteurs, musiciens, comédiens et danseurs sur ses différents projets.
Sounds Like: ============================================================ ======= DERNIERE CRITIQUE EN DIRECT DU OFF ============================================================ ======= UN FESTIVAL DE MOTSSeul en scène pendant une heure qui passe trop vite, Pierre Lericq déroule les instants choisis de sa vie. Du tragique au comique, on se ravit à l’écoute des mots qu’il manie comme un virtuose.De la pénombre émerge Pierre Lericq. Il regarde le public. Nous sommes devenus les jurés imaginaires devant lesquels il explique pourquoi, de 235 coups de compas il a tué son père.Pour cela il fouille dans sa mémoire. Ses souvenirs, à fleur de peau, affleurent à la surface dessinant un univers peuplé de personnages plus vrais que nature. Ceux-ci prennent vie à la grâce des mots et viennent habiter le récit de leur présence, tantôt cauchemardesque, tantôt drôlissime.Pierre Lericq passe en revue son enfance et son adolescence au prisme des instantanés qui ont pesé sur son destin. Il égrène ses souvenirs : des vacances à la ferme au dénouement tragique, à sa première fois aux accents innocents et amoureux en passant par l’arrivée de la télévision à la maison, pour voir la lune sur grand écran, qui le priva de voir la lune du balcon.Des mots dans tous les sensLes mots de Pierre Lericq éclatent comme des bulles de savon dans l’air dévoilant un personnage tour à tour facétieux, irrévérencieux, tendre ou parfois démoniaque. Ils sont joueurs, se posent sur le public tantôt doux tantôt crus mais toujours poétiques et pleins d’esprit. Ils sont protéiformes, ciselés et décortiqués avec soin .Dans ce monologue Pierre Lericq prend tous les visages et toutes les voix. Avant de se libérer, il passe par tous les états : révolte, tendresse, irrévérence, malice, folie.Le fond sonore qui accompagne la pièce aide à la résurgence des souvenirs et nous promène dans plusieurs époques. Quant à la mise en scène, elle donne du rythme à la pièce qui passe de l’instant feutré à la transe techno en un instant.Un moment délicieux dans l’intimité du comédien ; où l’on découvre les mille facettes de son monde intérieur.Anne CLAUSSE
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