About Me
« En 1958, le Père Noël l’oublie dans sa hotte. Dès le lendemain, la cigogne répare cette monumentale erreur : Didier GUIGNARD naît le 26 décembre à Sainte-Foy la Grande, une petite bastide du treizième siècle, dans le sud-ouest de la France. Première déchirure, un cadeau en moins (dû au mariage de Monsieur Noël et de mademoiselle Annie Versaire).
Pour pallier ce manque cruel, il fonde à quinze ans sa première troupe de théâtre après une enfance en Dordogne (24) heureuse. Le chanteur Jean-Jacques Ortéga et le professeur Olivier Cacouault, maîtres de musique, l’ancrent dans l’océan musical de la chanson.
A l’âge où l’on se prend pour Rimbaud, il baigne dans un bouillon artistique avec une petite bande de potes formée, entre autres personnalités, de Gérard Ansaloni (devenu auteur compositeur à Saravah de Pierre Barouh) , de Patrick Durand délaissant la poésie et la sculpture pour défendre les rapaces, de Patricia Juthiaud, Marc Sarahoui et Jean-Philippe Chaumont, météores surréalistes, créateurs dans les années 80 de « Radio Esgourde » dont l’éclat irise encore le Pays Foyen, en gironde.
A l’âge où l’on renonce à se prendre pour Rimbaud, il quitte l’amère patrie, muté fonctionnaire à Paris où son copain Pierre Cassignard recevra (quelques années plus tard) le Molière du meilleur acteur. De retour au pays, les « compagnons du théâtre », « les Ronfles », « les Café-théâffreux » assouvissent son goût du spectacle dans lequel il commence à injecter quelques chansons stupéfiantes.
A l’âge où l’on ne se prend plus pour Rimbaud, il est sélectionné en 1996 aux « Rencontres d’Astaffort », chères à Francis Cabrel. Il y rencontrera Alain Souchon, Laurent Voulzy, Pierre Barouh, … Et tant et tant de collègues dont Michel Gullo à qui il confiera de nombreux textes que celui-ci mettra aussitôt en musique. Il a donc poursuivi son apprentissage d’auteur et, en apprenti sage, a aiguisé sa plume en la frottant à de prestigieuses vedettes.
Depuis, il persiste et signe de plus en plus de chansons, car chez cet hyperactif, la révolte se décline en mots. Suivons le donc « Sous les arcades » autour de sa « Ronde planète en tôle ». Au comptoir, nous dégusterons ses chansons aux refrains pétillants comme son chaleureux sourire… » (Christian Jindra).
Depuis, il a écrit, joué et mis en scène quatre pièces de théâtre (dont une en quatre mains avec son ami Patrick Durand), visibles et téléchargeables gratuitement sur www.leproscenium.com , puis a participé et tourné un court-métrage « Nez rouge » de Jean-Marc Marchat et Olivier Dupas qui devrait être projeté dés Mai 2007 (avant de participer à divers festivals).
Mais sa passion musicale étant trop forte, il a décidé de sortir « son » CD : « Décalage immédiat ». Pour ce faire, il fait appel à François Ayres du studio E2M Audio à Pellegrue (33) qui, emballé, lui fait rencontrer Philippe Charlot (notamment guitariste et chanteur de « Tonton Georges trio »). Celui-ci assurera tous les arrangements et les guitares, invitera Jean-Luc Fabre à la contrebasse, Nicolas Martin aux percussions, et Jean-Pierre Vinit à l’accordéon. La Peintre Danielle Sigot-Mezuret assurera la création de la pochette du disque.
C’est ainsi que (fort bien entouré !) sur ses musiques et celles de Jean-Marc Marchat, Jean-Jacques Ortéga, François Ayres, Philippe Charlot et … de son fils Jean-Baptiste Guignard (du groupe « Static Observer ») ce bel opus à vu le jour en 2006, salué par la critique, ainsi que par … Hugues Aufray, Yves Duteil, Mama Béa, etc.
Aussitôt repéré, il est sur www.friendship-first.com, www.virtualabel.com, et www.myspace.com/didierguignard, ainsi que téléchargeable sur Fnac Music, Music Me, rhapsody, etc.
En plein cinéma et théâtre, il nous promet un retour à la chanson en 2008. Rendez-vous est pris, avec impatience !...