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ARNAUD ROMAN "c’est comme les chansons d’un petit homme blond", "les bobos et les bosses et le mercure au chrome". Le teint pâle d’un Bowie, il chante notre siècle avec lucidité et sensibilité.
De l’alto au piano, cet auteur, compositeur, interprète incarne une pop française basée sur une solide formation classique. Dans ses chansons très mélodiques qui oscillent entre variété légère et celle dite à texte, ses notes sonnent juste pour que ses mots résonnent. Alice Dona lui a même confié un jour : « vous avez le talent et la force d’écriture d’un Brel. Croyez-moi, ce n’est pas un compliment que je fais fréquemment ».
Un envol pour un nouveau millénaire.
ARNAUD ROMAN ne pensait pas qu’une belle étoile accompagnerait sa vie d’artiste quand enfant, il débutait à Nice sa vie d’altiste.
Les années d’exigence au conservatoire le mènent de saison en saison, entre solfège, déchiffrage, chorale, orchestre et concerts jusqu’au « Sacre du printemps » sous la baguette de Philippe Bender à Cannes.
Diplômes en poche, il range l’alto au-dessus d’une armoire, c’est la fin de l’époque classique ! Adolescent solitaire, il panse son écorchure intérieure avec le blanc à noircir du papier : nouveau rythme, nouvelles blanches, nouvelles noires que l’écriture. Il se met alors au piano, mélodise pour ajouter une harmonie à la sonorité des mots.
Les années passent … Il reprend l’archet pour jouer du blues dans les pubs et soigne son "blues" en jouant de la plume.
D’une oreille curieuse, il découvre la musique autrement avec une prédilection pour le rock progressif (Genesis, Supertramp, Marillion, Alan Parsons Project, …) et la chanson française de Brel à Goldman. Peu à peu, il forge son style musical : il sera mélodiste à l’instar d’un Michel Berger, trouvant l’essence d’un subtil mélange entre classique et pop. Il entre ainsi dans une famille particulière et restreinte d’auteurs compositeurs dont William Sheller, qui l’a beaucoup influencé, serait le chef de file.
Après différentes expériences de groupes en tant que musicien, il donne alors ses premiers récitals en solo.
De la 1ère récompense aux 1ères armes d’interprète
Avec le « Songe de l’Innocence », théâtre musical dont il signe et interprète la musique, il est lauréat national du prix Culture Action. Et c’est un soir d’été de « Francofolies » à la Rochelle, à la terrasse d’un café, avec Philippe Albaret, qu’ ARNAUD ROMAN décide de vivre la folie de la chanson à Paris. Loin de la garrigue, de l’odeur des pins et de la brise maritime, l’école des Ateliers Chanson de Paris lui ouvre ses portes.
Tantôt acteur, plutôt chanteur, ses premières scènes le confortent dans sa vocation.
Arnaud travaille sans relâche à la qualité de ses textes, y glisse peu à peu de l’humour et de l’ironie, affine ainsi son style. C’est dans cette rigueur que naît un « Etrange Carnaval », 1er album autoproduit, dans lequel Arnaud, impressionniste, dénonce une société d’apparences et dépeint son jardin intérieur en broussaille, où éclate un amour fou et romantique à la lumière de la vie … si baroque.
Homme de scène, il captive le public avec son regard vif et enjoleur, sa voix claire et puissante. Il entraîne ses compagnons d’un soir dans un univers où il joue "sur un fil, équilibriste, sans se casser la gueule, à face ou pile, sa vie d’artiste", entre légèreté et intell’actualité.
Ils ont dit de lui
"Minot, à Nice, il est altiste au Conservatoire, puis, ado, il écrit ses écorchures et compose au piano. A l'aube de sa vie d'adulte, le voilà avec un premier autoproduit sous le bras. Entre classique et pop, il s'inspire de ses aînés Sheller ou Berger, pour des chansons fortes qu'il défend à merveille sur scène, captivant littéralement son public. (...) Ce jeune auteur-compositeur-interprète est à découvrir absolument pour son potentiel impressionnant, pour son univers hors du commun et pour ce qu'il dégage sur scène. On en reparlera... "
Le 24/11/2004 par Serge Beyer , Longueur d'Ondes
"Regardez mon réalisateur, il n’a pas souvent ce sourire bienveillant, il ne le fait pas à tout le monde."
Serge LEVAILLANT, France Inter
" L’artiste ressent et transmet l’émotion qu’il suscite. Une intense communion avec le public naît en cet instant, la musique a gagné nos âmes, elle est devenue le vecteur d’une vitalité autonome. L’artiste s’est baptisé Roman, roman, --uvre de fiction. Mais qu’y a-t-il de fictif dans la représentation de ce soir? Ce soir, c’est la vie qui s’est imposée sur scène. "
Marie PÉTILLOT, Centre Culturel Suisse
" Altiste de formation, Arnaud demeure sensible aux mélodies mais voyage au travers de courants musicaux comme il traverse l'existence, avec cette force romantique, cette exaltation, cette soif de liberté propre à un aventurier de la chanson. "
Alain LAURENCEAU