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MAIOTEV

POIGNéEsD'AMOUR Londres & Paris

About Me

& " Ma reine fidèle "
Personality Disorder Test Results
Paranoid |||||||||||||||| 66%
Schizoid |||||| 30%
Schizotypal |||||||||||||||||||| 90%
Antisocial |||||||||||||| 58%
Borderline |||||||||| 34%
Histrionic |||||||||||||||| 66%
Narcissistic |||||||||||||||||||| 82%
Avoidant |||||||||||||||| 66%
Dependent |||||||||||||| 54%
Obsessive-Compulsive |||||||||||||||||| 74% Take Free Personality Disorder Test
personality tests by similarminds.com
" SUMMER IN L.A." - Dir. by Chloé Dreyfus - On family and some of them who's gone -ChloéinBali©2006
Campagne PUB Anti-tabac - Réa: A.Accart with G.Dreyfus - Al'ArashProd©2006

.
La vie, la mort et la coiffure. Life, Death & Hairdress.
Graphic & Model Designer, Illustrator, Photograph...
Note de Mise en Scène (29.03.2005) & Affiche De Grégory Dreyfus « ASILE ou Les Prophéties de Kabbaleb »
_ Dévoilées par Aziel… Asile est un conte initiatique, un mythe romantique, une comédie
dans le traitement qui alterne - ou laisse place - à la mystique des prophéties, à l'Histoire des Idées.
Une terre promise annoncée… Un « âge d’or »… Un élu, un candide. Et le dormeur doit se réveiller…
_ On pourrait n’en dévoiler qu’une humeur de ce dialogue, pour voir, juste comme ça ?
Mais non en fait parce que c’est une belle histoire... que celle d’Aziel.
Un fou, un poète… échappé d’un asile probablement et de Kabbaleb qui l’aurait suivi...
Sceptique mais désabusée. Sa foi en elle-même s’en étant allée.
Ils s’aiment bien au fond ces deux là, plus qu’ils ne disent. Ils veillent l’un sur l’autre.
Même si les tensions croissent...
_ Quels sont ces personnages Monsieur ?
Aziel est un naïf au grand c,,ur et à l’enfance collée au corps.
Un acrobate béat d’admiration devant Kabbaleb qu’il sait vouée à une toute autre destinée.
Elle, est une jeune femme rebelle, duelle et insécure dont le seul souci pourrait être de protéger
ce grand dadet autant que d’essayer de se rappeler de ses propres rêves, chaque matin que dieu fait.
De « Fameux » rêves d’ailleurs, au sens biblique du terme, au sens de : « tristement célèbre ».
_ Quel est leur voyage, monsieur, qui avec leurs non-dits, leurs trucs et machin-choses, chouettes
et pas chouettes... donnent à cette grande kermesse un air de vie ?
Leur voyage est une " Révélation ".
Celle de Kabbaleb d'abord - volontairement pessimiste – emmenée par Aziel – qui, fantaisiste mais
déterminé à voir le soleil - s'achemine vers une Elévation dans l’arbre... Affective puis spirituelle.
A tel point qu’elle ne peut qu’y céder et s’envoler. Lui, ne pourra que la regarder s’éloigner, heureux,
mais n’échappant pas à sa propre vie : l’arbre, les chateaux, les docteurs, les passants, les tours,
l’Afrique…
Tout çà.
La scène où ils évoluent est un lieu clos virtuellement séparé en deux espaces : un échafaudage qui se dresse
jusqu’en haut, le coin, la tour d’Aziel. Le mur et un tabouret, le coin de Kabbaleb. L’un vit au sol,
l’autre pas…
Une autre partie en fond de scène est réservée à un musicien et ses instruments qui délivrent les humeurs
du lieu, de jeu, des scènes. Ce virtuose était ambulant, il s’est posé là ? Il s’est pris à les suivre.
Les sons et musiques racontent et amplifient souvent mieux les sentiments, les moments, les intimités,
les cruels souvenirs.
Le coin est une cachette. Une cachette où sont réfugiés ces deux jeunes vauriens sans toit et que tout oppose.
_ Comment est-ce que çà commence ?
Kabbaleb rêve donc toutes les nuits au sol ou jonchée sur un tabouret.
Elle n’a aucune velléité pour dormir pendue à une branche comme une chauve-souris, imitant Aziel, de fait.
Les voilà donc tous deux réveillés par un ultime cauchemar de Kabbaleb, dans une sorte d’endroit clos
gouverné par cet « arbre de vie » - une zone franche muée par un échafaudage – dans lequel vit et progresse
Aziel, tel un petit singe fougueux et impatient.
Kabbaleb est éveillée à d’inconscientes prophéties, qu’elle distille sans mal apparent dans son sommeil,
mais qui obsède le jeune Aziel. Il est son premier « apôtre » pourrait-on dire, tel le compagnon d’infortune
qui retient les paroles de sa prophétesse endormie. Son rôle devient clair alors : dire, agir, provoquer,
raconter et convaincre sa belle et difficile Kabbaleb de «monter» dans l’«arbre» avec lui.
De croire en ses propres prophéties afin de les recouvrer et de les accomplir.
Mais en premier lieu de la persuader que celles-ci existent vraiment.
_ Qu’est-ce qu’il est drôle vôtre arbre monsieur ?
Le socle du décor réside dans cet échafaudage. Dans et autour duquel tout se joue.
Il est bâti comme une échelle et donne cette idée, de jeu des cabanes de nos enfances où le merveilleux
habitait et côtoyait nos rêveries. Où nous étions des rêveurs de cimes.
Mais il amorce également « l’Echelle de Jacob » dans la Cabale qui portée entre terre et ciel
annonçait les niveaux de conscience que symbolisaient à chaque hauteur de barreau
une vacuité autre à Jacob, se rapprochant alors de Dieu.
Ou bien aussi dans le Bouddhisme, plus proche d'un TOUT : un Tout universel relié au Tout et libéré
de la souffrance, accomplissant un état d’éveil total au monde et à l’univers, en pure conscience de l'être...
Qui s’apparente, pour Kabbaleb, à retrouver cette force-compassion du prophète… (rapide mais bon) et enfin
sauver le monde.
_ Le jeu !
C’est donc entre Aziel et Kabbaleb, en occupant l’espace autour de cet « arbre de vie »,un fantastique
chassé-croisé, incessant où les diverses parties ou tableaux de jeu qui s’enchaînent résumeraient assez bien,
paradoxalement, l’annulation respective de leurs actions. Tout comme deux extrémités diamétralement opposées
dans un cercle en mouvement, effaçant par son passage continuel l’action de l’un par l’action de l’autre.
Mais où, incontestablement, la progression du chaos à l’arbre n’en serait que plus visible.
Le chassé-croisé des deux protagonistes en lumières et tableaux s’enchaînent parfois dans l’installation
de leur personnage comme de leur environnement. Parfois dans le drame et le souvenir, dans les infinis
questionnements ou dans les phases clowns, mîmes et autres voltiges truffés de gags à leurs provocations,
insoumissions ou autres dons pour la contradiction.
Et puis c’est un parcours initiatique, une révolution spirituelle, jalonnés de questions à soi, faisant état
au travers de ces deux personnalités complexes, pleines d’enthousiasmes, de doutes… d’un entrain,
d’un caractère gageant de toutes les couleurs, ruptures et nuances de jeu pour ces deux fabuleux acteurs.
Qui n'auront d'ailleurs de cesse d'utiliser toute l'ampleur de la salle, des rangées et des portes
pour vous faire frissonner, vibrer...
_ Est-ce que c’est long Monsieur ?
1H30 à 1H35. La pièce se vit tonique, d’un trait sans entracte avec vie et énergie, alternant des moments lents
et émouvants.
_ En fait, il n’y a pas d’autres histoires à raconter que celles des gens ?
De toute éternité : non, je ne crois pas.
L’Histoire, les prophéties, celles de Nostradamus par exemple, nous font replonger dans la vie, dans les
époques, les humeurs, les épopées de ces familles qui elles aussi avaient leurs points morts, leurs zones
neutres, un poids sur la conscience. Une sorte d’intimité saccagée qui quelque part mise ..é, sur le bord
d’un chemin jadis emprunté, ne peut être encore oubliée. Aziel va nous en raconter des histoires, il les a
tellement entendues, sorties de la bouche de Kabbaleb qu'il les compte avec passion,
saveur et délicatesse. Quand bien même l’incroyable idée du déjà vu se dresserait à raison,
parce qu'elle a déjà tout vu... Il lui racontera dans les moindres détails les voyages, les oraisons
de l'histoire et des révolutions, dans le monde. Près des gens.
_ Comment nous sentirons nous monsieur, bientôt assis ?
Voisins, nous nous sentirons voisins. Nous sommes voisins déjà, depuis l’ère du palier. Je vais à votre
rencontre, à votre reconnaissance, sans vous ignorer le temps de notre voyage, dans notre théâtre.
_ Alors, je m’approche ? Je m’approche encore, encore plus près, plus justement, et tente de les comprendre,
ces voisins. Trouver l’espoir, quoi. Oui ! C’est le règne de l’instant ?
C’est çà !
Au fait, nous prenons le train en marche et le quittons de la même façon, il faut comprendre l’histoire
avec cette logique de cheminot.
A la fin… heu. Non. Je ne vous dis plus rien.
" _ Dis papa... c'est quoi le bonheur ?
_ Le bonheur ? C'est... c'est quand les emmerdes se reposent. "
Claude Lelouch " Itinéraire d'un enfant gâté "


Mmmmm ?! Aujourd'hui ?

...On voit Quand j'ai... ... j'ai bbUu bU ...
On voit PAS ...Quand j'ai Soif ...

Jean Carmet
FAMILY CREW
Campagne PUB : / Chambre 69.com & Brandt -
Dir. by Vincent Lorca staring Grégory Dreyfus - Al'ArashProd©2006
COURTS-Métrage : " MA3 " - Ménage à III (B.A.) / " NGS " - Nuit Gravement à la Santé -
Dir. by Vincent Lorca staring Grégory Dreyfus - Al'ArashProd©1998-2003
LONG-Métrage 90' : 100 JOURS ( Teaser 1&2 ) - Dir. by Alexis Accart staring Grégory Dreyfus - Al'ArashProd©2000-2006
Au JOUR 0 : Un homme au bord de la crise de nerf rentre chez lui, épuisé, vidé, exsangue...
Tout le monde l'a quitté, son banquier, son galeriste, sa femme, sa providence... Sa vie dérape, son envie fout le camp.
JOUR 1 : Réveil en urgence, Max déboule dans la rue, déserte, immobile, personne alentours...
La vie, les gens, Paris... Le monde s'est arrêté sauf lui... Il est seul. Tout seul.
Les gens affalés sur le pavé ou contre les balustrades sont en apnée. ...Il va devoir les réveiller ?
La toile de Max est un personnage à part entière du film 1OO JOURS, Elle vit et se meut...
Ma soeur Martine :
_" Tiens ? Aujourd'hui, il va pleuvoir...
Mon portable passe pas."


LE DÃŽNER DE CONS de F. Veber :
_ Mr. Pignon ?
_ Oui
_ Si je vous dis, précisément, ce qu’il faut lui dire, vous pensez que vous pouvez le faire ?
_ Y a des moments, j’ai vraiment l’impression que vous me prenez pour un imbécile ?
… Mais bien sur que je peux le faire ! … Qu’est-ce que je dois dire ?
_ On pourrait se servir du bouquin qu’ils ont écrit ensemble…
_ Oui.
_ Vous appelez Leblanc et vous dites que vous êtes producteur de film…
_ Oui.
_ Vous avez lu le roman et vous voulez acheter les droits pour le cinéma...
_ Ah oui, c’est bien çà !
_ Et en fin de conversation vous lui demandez, où vous pouvez joindre sa collaboratrice…
_ … Quelle collaboratrice ?
_ … Ma femme ! … Je vous ai dit qu’il avait écrit un bouquin avec elle !
_ Mais oui, exact, ok, d’accord… excusez-moi.
_ Çà marchera jamais.
_ Mais si, j’ai compris… C’est pas simple, mais j’ai compris.
_ Mais quoi, c’est pas simple ? C’est tout simple ! Vous êtes producteur, ok ?
_ Ok, ok…
_ Vous avez une maison de production à Paris… Non, pas à Paris, il connaît tout le monde...
Vous êtes un producteur, étranger !
_ Ok ! … Américain, allemand… ?
_ … Belge, …voilà, c’est parfait çà, belge !
_ Pourquoi belge ?
_ Parce que c’est très bien, belge. Vous êtes un gros producteur belge, vous avez lu :
« le petit cheval de manège », c’est le titre du roman, et vous voulez lui acheter,
les droits pour le cinéma, ok ?
_ … C’est un bon livre ?
_ … Très mauvais, quelle importance ?
_ Çà m’embête un peu çà…
_ Pourquoi ?
_ Si le bouquin est mauvais, pourquoi j’irai acheter les droits… ? … Ah ?… Ah ?… Ah ?
… Ah ?… Ah ! ? … Aaaahiiouh…
_ … Mr. Pignon ?
_ Ouih ?
_ Vous n’êtes pas producteur ?
_ EuhNon…
_ Vous n’êtes pas belge non plus ?
_ EuhNon…
_ Çà n’est donc pas pour acheter les droits du livre que vous téléphonez,
mais pour essayer de savoir où est ma femme ?
_ Oouuuhh… Alors çà, c’est très tordu mais bougrement intelligent… Hh, c’est quoi son numéro ?
_ 01 47 4…ahhh … Je vais le faire moi-même… Il s’appelle Juste Leblanc…
_ … Ah bon, il a pas de prénom ?
_ … Je viens de vous le dire, Juste Leblanc…
_ … … …
_ Leblanc, c’est son nom et c’est, Juste, son prénom…
_ … … … hn
_ … … … euh, Mr. Pignon… Votre prénom à vous, c’est François, c’est juste ?
_ … … oaui…
_ Hé bas lui c’est pareil, c’est Juste.
_ … … …
_ … Bon ! On a assez perdu de temps comme çà ! … Ma femme a signé le roman de son nom de jeune fille :
Christine Leguerrec.
_ Ah bon ? ! Elle est bretonne… ?
_ … Je vous en prie ! … Restez concentré !
_ Excusez-moi.
_ Vous n’oubliez pas en fin de conversation, vous lui demandez, où, vous pouvez joindre Christine Leguerrec.
… Çà sonne je vous mets sur haut-parleur, c’est à vous.
_ Je prends l’accent belge… ?
_ NON !
_ … ALLÔÔÔ… … ALLÔÔÔ…
(…)
… À DEMAIN… M. LEBLAAANC… … ET… VOILÀ ! ! ! … ON… À LES DROITS !…
HOUUuuuu, HOUUlalalalapfffff… Et pour pas cher à mon avis ?
Il a marché, il a marché à fond le gars !
_ … Et ma femme ?
_ … … Quoi… ?
_ … … … Il a oublié ma femme… Il fait le clown pendant 5mn, et il oublie ma femme.
_ … Ah la boulette !
_ … … Çà dépasse tout ce que j’ai pu imaginer.
_ ... Ah oui, j’ai fait la boulette.
_ On a repoussé les limites, là.
_ Je’le rappelle !
_ Donnez-moi ce téléphone !
_ Je’le rappelle, je lui dis, à propos M. Leblanc, j’ai oublié de vous demandez comment je pouvais joindre,
votre collaboratrice... Christine Leguerrec, c’est tout simple.
_ Rendez-moi ce téléphone !
_ C’est dommage, on allait être fixé.
_ … … … Vous ne lui direz rien de plus que : à propos, j’ai oublié de vous demandez où je pouvais joindre votre collaboratrice,
Christine Leguerrec.
_ Pas un mot de’plus !
…
… ALLÔÔÔ…
(…)
… 01 45…
_ Oooh, non de dieu !
_ … NONENTE 56 03… Allo, allo, il a coupé ?
_ Mais non c’est moi abruti !
_ Comment çà abruti !
_ … Vous lui avez donné mon numéro de téléphone !
_ Et bas oui ! Il me demande où il peut me rappeler…
_ … … … Vous ne vous reposez jamais, vous, hein ?
_ … Excusez-moi, j’avoue que je suis un peu perdu, j’essaie de comprendre, mais heu…
_ … La Classe Mondiale… Peut-être même Le champion du monde ?
_ … … … Çà sonne ! Hihhhi…
_ … Il est content… Çà sonne, et... il est content…
_ C’est lui qui rappel… ! On répond pas… ?
_ Hhahhhh !
…

Maiotev
mAioTeV

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My Interests


Claude & Romy - François & Françoise - Jean-Luc & Anna

la Création - Mouvement sur l'acte de la création -

Les yeux, les oreilles, les narines, les papilles, le tout tactile, pleins de mutuelles intelligences, c’est en cela que "créer" n'est que :
Regarder le quotidien dans sa forme la plus simple. Juste vivre, juste sentir, juste contempler et voir. Se laisser guider et ...surprendre.

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http:// www. f o to lo g. co m /p oi tr ine f u m e e 1

Ahr ! Les Choses de la Vie.. . & Les Petites Choôses... a fortiori

Merci ma Chloé, je l'adore... Gene T.

I'd like to meet:

Le monde derrière. The way, the world behind.http://www.fotolog.com/poigneesdamour
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Judy Garland - Get Happy

Mon frère Gérard :

"Depuis que j'ai arrêté de fumer...
Je me suis rendu compte que çà servait à rien."



by voyage immobile

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Maiotev
mAioTeV

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Music:

&ot&t La Nuit Je Mens - Alain BASHUNG filmé par Jacques Audiard / Bjork -

Alain Bashung
- Prefab Sprout - Lloyd Cole - ...And the Commotions - The Academy Is - Christophe - Texas - Moby - Outkast - Craig Armstrong - Anaïs - Björk - U2 - Tears For Fears - Coldplay - David bowie - John Lenon - Serge Gainsbourg - Tété - Dépêche Mode - Placebo - Sinclair - Autour de Lucie - Hans Zimmer - Klezmer - ...

;/a
U2 - Pride (In The Name Of Love) / Alexander O'Neal - Criticize

Simple Minds - Alive And Kicking / Nick Kamen - Tell me

Peter Paul & Mary - Leaving On A Jet Plane / Stereophonics - maybe tomorrow

Movies:

&uot Les Choses de la vie Souvenirs de C. Sautet...
Mon Claude.
"Les Choses de la Vie. "
La chanson, Paroles de Jean Loup Dabadie (Mathilde Lorit)
Hélène : « Ce soir, nous sommes septembre
Et j'ai fermé ma chambre
Le soleil n'y entrera plus
Tu ne m'aimes plus...
La haut, un oiseau passe,
Comme une dédicace
Dans le ciel... »
Pierre (parlé) : «Je t'aimais tant Hélène, Il faut se quitter
Les avions partiront sans nous
Je ne sais plus t'aimer Hélène... »
Hélène : « Avant dans la maison,
J'aimais quand nous vivions
Comme dans un dessin d'enfant
Tu ne m'aimes plus...
Je regarde le soir
Tomber dans le miroir
C'est ma vie... »
Pierre (parlé) : « C'est mieux ainsi Hélène,
C'était l'amour sans amitié
Il va falloir changer de mémoire
Je ne t'écrirai plus Hélène»
Hélène : « L'histoire n'est plus à suivre
Et j'ai fermé le livre
Le soleil n'y entrera plus
Tu ne m'aimes plus... »
"Claude Sautet dit adieu aux Choses de la vie." Article de l'huma...
César et Rosalie en deuil
Il était l’un des plus sensibles réalisateurs français, témoin des années soixante-dix, filmant l’émotion et le non-dit comme nul autre. Claude Sautet est décédé, hier, d’un cancer du foie. Hommage.
Depuis plus de trente ans, il promenait son regard bleu sur notre société en homme discret et élégant. Claude Sautet est mort hier à soixante-seize ans, emporté par un cancer du foie dont il souffrait depuis des années. Rosalie est partie, César s’en est allé, Claude Sautet n’est plus. Avec la disparition du réalisateur, c’est notre jeunesse qui n’en finit pas de mourir. Le cinéma de Claude Sautet avait un pied dans l’après-guerre et un autre dans les années soixante-dix dont il fut l’un des meilleurs chroniqueurs. Son style tenait tout entier dans le regard de Montand, la voix de Piccoli et la détresse contenue de l’inoubliable Romy Schneider, qu’il avait si bien su magnifier. Qui dira jamais le ciré noir de l’actrice battant le pavé parisien dans Max et les ferrailleurs ou les rebonds de la voiture de Michel Piccoli dans les Choses de la vie ? Comment choisir entre Samy Frey et Yves Montand, tous deux amoureux de Romy dans César et Rosalie ? Claude Sautet n’est plus là pour nous départager, lui qui n’avait pas son pareil pour révéler les acteurs. Il affectionnait s’exprimer à travers ses personnages " le vrai médium, disait-il, c’est le comédien ". Il savait les filmer avec générosité et tendresse, révélant des aspects de leur personnalité qu’ils ne soupçonnaient pas. Le réalisateur travaillait à l’instinct : " C’est la chose la plus précieuse que je possède ", racontait-il. Sautet, c’était du cinéma " d’honnête homme " loin de toute démarche racoleuse dans lequel le 7e art est tombé depuis longtemps. Aux coups de feu, aux poursuites de voiture, aux bagarres de rue, il préfère raconter des histoires empreintes d’amitié qu’il filme de manière limpide et précise. D’une certaine façon, il était un romantique, mais un romantique sobre, dépouillé, qui savait traduire nos doutes, nos silences, nos désenchantements.
Né à Montrouge le 23 février 1924, Claude Sautet doit son amour du cinéma et sa volonté de devenir réalisateur à sa grand-mère cinéphile qui lui donnera l’envie " d’en faire un métier ". Il sera sculpteur, puis peintre de décor de films après un rapide passage aux arts décoratifs. Féru de musique, il va d’abord être critique musical durant un an (1949-1950) au journal Combat, adhérant à la Libération au Parti communiste, qu’il quittera en 1952. Durant la guerre, sa rencontre avec un monteur de films va lui permettre de faire son premier stage de montage. C’est ainsi qu’il bifurquera vers le cinéma suivant des cours à l’IDHEC, ce qui l’amènera à travailler durant une dizaine d’années comme assistant réalisateur auprès de Claude Autant-Lara (Occupe-toi d’Amélie) ou de Franju (les Yeux sans visage). Après un court-métrage en 1951 (Nous n’irons plus au bois) et un premier long métrage Bonjour Sourire avec Henri Salvador et Annie Cordy, les véritables débuts de Claude Sautet remontent à 1960 avec la réalisation de son premier film au ton personnel Classe tous risques, avec Lino Ventura - qui deviendra son ami - et Jean-Paul Belmondo. C’est à ce moment que l’on remarque la qualité très sûre de sa mise en scène, dont il ne se départira plus au long de ses quarante-cinq ans de carrière marquée par ce qu’on appelle une certaine " veine française " dans la façon qu’il avait de filmer. Parallèlement, Sautet est un scénariste efficace recherché auprès des professionnels du cinéma, qui font appel à lui lorsqu’ils butent sur une histoire bancale. Peu connu du grand public, il collabore à des dizaines de films sans que son nom n’apparaisse au générique, consolidant sa réputation " d’homme de terrain ". Jusqu’à la sortie en 1970 des Choses de la vie qui vont le propulser sur le devant de la scène. De là naîtra sa réputation de réalisateur sociologue aimant se pencher sur la description des peines sentimentales ou des problèmes financiers de la bourgeoisie française. Il devient alors le cinéaste des années soixante-dix. Il savait ausculter les mours de manière concise, presque classique filmant le groupe, figure marquante de son ouvre. À l’image de Vincent, François Paul et les autres..., où Sautet excelle dans la direction d’acteurs - Montand, Piccoli bien sûr, mais aussi Serge Reggiani, Gérard Depardieu ou encore Stéphane Audran ou Marie Dubois. Car, s’il aimait faire tourner les hommes, Sautet avait un faible pour les rôles féminins très présents chez lui et dont il appréciait retenir le nom pour titre de ses films : César et Rosalie, Nelly et M. Arnaud, etc. " Les femmes ont un rôle de révélatrices, expliquait-il. J’ai toujours été frappé par cette marche en avant concrète chez elles alors que les hommes ont plus tendance à se protéger. "
Claude Sautet, qui se défendait d’être un sociologue ou un psychologue derrière sa caméra, apprécie ainsi filmer les êtres dans leurs qualités et leurs contradictions reflétant la palette des sentiments humains.
Mais si la décennie soixante-dix correspond à un succès public et critique, le réalisateur va avoir du mal à s’adapter aux années quatre-vingt, allant jusqu’à s’interroger sur sa propre démarche de cinéaste : " Au moment de Garçon !, je me suis senti au bout du rouleau. C’est un jeune producteur qui m’a encouragé à continuer de tourner mais en me débarrassant de tout ce qui faisait " manière ". " Alors qu’il s’était attaché jusqu’ici à dépeindre la classe moyenne qui doute de son " apparente réussite sociale ", il se penche avec Un mauvais fils sur la génération des vingt-trente ans, évoquant les problèmes liés à la drogue, abordant au passage le rapport conflictuel de la jeunesse et de ses aînés. Sautet, comme toujours, filme " entre les lignes " se faisant l’apôtre du non-dit. Toutefois, Garçon ! ne saura pas l’ouvre favorite du cinéaste, victime, disait-il, d’un " trou noir " côté imagination. Le réalisateur, qui craint de se répéter et de tomber dans des automatismes, se tourne alors vers la publicité. Juste le temps de se ressourcer et de reprendre goût à la vie. En témoignent ces derniers longs métrages, Quelques jours avec moi mais aussi et surtout Un cour en hiver, film orchestré comme une partition de musique de chambre autour d’une violoncelliste soliste et Nelly et M. Arnaud (avec Emmanuelle Béart et Michel Serrault), qui en 1995 lui valut le césar du meilleur réalisateur. Il renouait alors avec le mouvement de la vie, travaillant sur la corde sensible de personnages ambigus et complexes prisonniers de leur solitude, au crépuscule de l’amour. Preuve que Claude Sautet avait encore beaucoup à dire sur les choses de la vie...
Victor Hache
The Godfather / The "Dude" Big Lebowski
The Shining
Le Pacha
Elle se reconnaîtra mon Helenita ( mais non pas là... là ?, pffuh ? par là... voilà ??

Television:



Love this creativ stuff
Love this kiitchy stuff
Love this classic stuff
The Sopranos, Six feet under, Seinfeld, Dream On, Harold Lloyd, E.R, 24, Les Arpents verts, Goldorak, Les Mystères de L'Ouest, Cosmos 1999, Friends, Kung Fu, Dallas, Galactica, San Ku Kaï, La Petite maison dans la Prairie, Goldorak, LOST, The L-world, Deseperates Housewives,FBI porté disparu, CSI Las Vegas, 44OO, Medium, The Twilight Zone, Boomtown, MI5, The Shield, La Maison Blanche, Starsky & Hutch, L.A Law, Fame, Hulk, Hawaï police d'état, San Ku Kaï, ...

Heroes:


To JACK- revised edition / The Waterfront

Des gens qui comptent :H.Cartier Bresson, Claude Sautet, Michel Petrucciani, Bertrand Blier, Michael Kenna, Fouli Elia, Yörg Hermlé, Chostakovitch P.Mendès France, David Carson, Bruce Davidson, Stan Lee, Prefab Sprout, Claude Debussy, François Nourissier, Tapiès, U2, Dvorcjak, David Lynch, Françoise Sagan, Bernard Moitessier, Björk, Bashung, Michel Piccoli, Claude Berri, La Callas, la Môme Piaf, Romy Schneider, L’école Viennoise, Alichinsky, Paul Auster…

My Blog

SUperBPoitrineFUmee1, les choses s'éveillent...

07/11/06 Retrouver de quoi écrire ? Sur quoi s'épancher, sur quoi débrouiller le présent, l'avenir, l'advenir... Hum, j'ai raconter, hier, dans la journée, j'ai parlé, dans la rue, joute verbale, dév...
Posted by MAIOTEV on Fri, 27 Jul 2007 08:39:00 PST

Testing Kit

GuestbookVoyage_immobile @ 2006-07-10 09:53 said:Dans toute les bonnes pharmacie?Et la posologie docteur? Hihihivoyage_immobile @ 2006-07-11 01:06 said:Toutes...poigneesdamour @ 2006-07-11 03:37 said:...
Posted by MAIOTEV on Fri, 27 Jul 2007 08:39:00 PST

Thank you very... to bella dona

888888__________888888_8888888________8888888_88888888______ 88888888_8888_8888____8888_8888_8888__8888__8888__8888_8888_ __88888888___8888_8888____888888____8888_8888_____8888_____8 888_8888______88____...
Posted by MAIOTEV on Fri, 27 Jul 2007 08:39:00 PST

Thank you very... to U, bella dona ; humm !

888888__________888888_8888888________8888888_88888888______ 88888888_8888_8888____8888_8888_8888__8888__8888__8888_8888_ __88888888___8888_8888____888888____8888_8888_____8888_____8 888_8888______88____...
Posted by MAIOTEV on Fri, 27 Jul 2007 08:39:00 PST

Lettre, en rupture de Max, '100 jours'

- Lettre de rupture pour Max - version 'by Greg' - "100 jours" / Narration Off : Lent et lourd de ton, emprunt d'amer et de désirs, contradiction prééminente, aux possibles à l'espoir, au 'what if'.....
Posted by MAIOTEV on Fri, 27 Jul 2007 08:39:00 PST

Je vais reprendre au début cette conversation

Cétait la mise en calandre du style Dun « Bernebrille » daujourdhui. Probables déliquescence des apparences dans mes uvres ? Pelotes dhistoires conductrices aux concours de stress chez mes personnages...
Posted by MAIOTEV on Fri, 27 Jul 2007 08:39:00 PST

Autre chose... Un petit retour, bonjour !

" La joie serait une action, la tristesse une passion ? La joie comme passage à une perfection plus grande, la tristesse comme à une perfection moins grande. Autrement dit, tu rentres en enfer pour ne...
Posted by MAIOTEV on Fri, 27 Jul 2007 08:39:00 PST

louuytbuiyfg

"ollghiyiijuvcèk bnpmojpçàh,nùpouvys..." KRYPTONITE AIGÜE(§uiophoidbfgklùùfxycruhèuutrcz'y...
Posted by MAIOTEV on Fri, 27 Jul 2007 08:39:00 PST