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QUÉBEC

Je me souviens

About Me

Archives Montmorency: Hydro-Québec QUÉBEC!! Je suis un pays de lacs et de rivières. Et mon drapeau embrasse du regard maintes autres beautés cachées... Mon nom vient de Kebek, en langue amérindienne. Je compte près de 7,5 millions de gens, dont une bonne part (4,5 millions) parlent le français. Je suis donc une île sur un continent qui, lui, compte près de 250 millions d'anglophones et d'allophones. Mon peuple, d'abord formé d'aborigènes puis d'immigrants, se bat depuis des centaines d'années pour obtenir, et maintenant garder ses droits. Ce peuple rapporte aujourd'hui une large part du produit national brut canadien, et paie plus de taxes que bien d'autres provinces, en fait, constitue l'un des pays les plus taxés. Or, on a gaspillé l'argent de ces taxes afin de décider si oui ou non je suis une nation, pour finalement ne semer que dissension. Maintenant c'est Monsieur Dumont qui veut renier ma nation! Mais mon drapeau a longtemps flotté, et toujours flottera librement dans le vent. Ces affronts resteront gravés dans ma mémoire! Car ma devise est: JE ME SOUVIENS!

Amis lecteurs, les chanteurs et chanteuses que vous

entendrez seront ceux que je choisirai aux quatre vents.

Mon choix ne les engage donc aucunement dans quelque cause ou parti politique que ce soit. Liberté j'ai dit!

Dear reader, the music you can hear now

is my own choice. Therefore, you'll understand that my choice

does not bind the singer(s) to any cause or political party. Liberté!

1759 – Bataille de Montmorency Québec était en ruines, les campagnes environnantes avaient été dévastées; Dumas, avec un millier d’hommes, occupaient les hauteurs du Cap Rouge, tandis que Montcalm paraissait s’être immobilisé avec son armée dans le camp de Beauport. Wolfe, voyant la saison avancée, résolut d’attaquer Montcalm de front. Le matin du 31 juillet, à marée haute, on vit le Centurion, de 60 canons, venir mouiller au large pour de là ouvrir le feu sur le camp français. Deux transports, armés chacun de 14 canons, s’approchèrent le plus possible de la côte pour tirer sur la première redoute, et s’échouèrent avec le jusant, qui les laissa complètement à sec dans la vase. De plus, une batterie de 60 pièces, perchée sur la crête de la côte, ouvrit, sans cependant beaucoup de succès, une canonnade furieuse sur le flanc des retranchements français. Les batteries du Centurion recommencèrent le feu avec une ardeur décidée. En même temps, celles de Pointe de Lévy tonnaient contre la ville. Les batteries françaises, très faibles, ripostèrent prestement. Une colonne anglaise de 2000 hommes mit alors pied à terre sur la grève boueuse du saut Montmorency et s’avança au pas de course vers la redoute française, située au pied de la côte. Cette colonne fut immédiatement suivie d’autres corps, qui portèrent le chiffre des assaillants au total de 6000. Les premiers arrivés à la redoute l’attaquèrent sans attendre le commandement. Aux premiers coups, les Français se retirèrent, mais dès que les Anglais furent maîtres de la place, des milliers de mousquets, des hauteurs voisines, firent tomber sur eux une grêle de balles. Les Anglais, tentant d’escalader l’escarpement, furent violemment repoussés, et l’ont vit morts et blessés rouler pèle-mêle sur le flanc du coteau. Les colonnes anglaises se rompirent et prirent la fuite. Une pluie torrentielle survint alors pendant laquelle Wolfe, comprenant qu’il ne pouvait avancer, ordonna la retraite, qui se fit en bon ordre. La pluie cessa et les sauvages dévalèrent précipitamment du coteau pour scalper ceux qui étaient tombés. Après avoir mis le feu aux deux transports, les Anglais se retirèrent le long des battures et à travers la rivière. Dans cette infructueuse attaque, où l’on tira au moins 3000 coups de canon sans compter les bombes et les grenades, Wolfe perdit quatre à cinq cents de ses meilleurs soldats. [Parmis ces soldats se trouvaient peut-être certains de mes ancêtres, venus des Highlands, Écosse, qui étaient utilisés parce qu'on leur avait enlevé leurs terres. ] L’Histoire du Canada (1914) – Frères des Écoles chrétiennes Montmorency: Château fort de la résistance syndicale (1901-1947) Montmorency vit alors au rythme d’une filature de coton, la Montmorency Cotton Mills-Dominion Textile. L’importance socio-économique de l’usine est considérable pour la communauté surpeuplée (atteignant une densité de 8681 habitants/km carré en 1956, la plus élévée au pays). 1901 Les conditions physiques de travail dans plusieurs divisions de l’industrie textile apparaissent des plus désagréables à quiconque visite une filature pour la première fois. Il faut que le degré d’humidité soit élevé. La filasse et les poussières dans l’air se remarquent dans les ateliers des premiers procédés du filage et du tissage des fibres, tandis que dans presque tous les ateliers, le fonctionnement des machines est extrêmement bruyant [...] Il n’existe pas de vestiaires proprement dits. Le travail requiert une surveillance sans relâche ainsi qu’une grande dextérité dans l’exécution des tâches. Nombreux sont les employés qui ont une apparence générale médiocre et un état de santé subnormale. Le coton [importé du sud des États-Unis] avait cette désagréable particularité d’attirer et de garder bien au chaud les coquerelles[...] Les salaires octroyés par l’industrie textile figurent parmi les plus bas de l’industrie manufacturière [...] Les heures de travail dans l’industrie du textile n’ont guère changé depuis la généralisation de la journée de 10 heures après 1884 [...] M. Whitehead conseille l’adoption de la semaine de 55 heures comme suit : dans les mois d’hiver les heures seraient de 6h à 11h du matin, et de midi à 4 h de l’après-midi pendant 6 jours de la semaine, et qu’il y aurait une heure supplémentaire de 4 à 5 heures le vendredi pour le nettoyage. Durant les mois d’été les heures seraient de 7h du matin à midi et de 1h à 6h pendant 5 jours de la semaine; le samedi de 7h du matin à midi. 1935-1937 À l’instigation de l’abbé Georges Côté, l’assemblée de fondation du Syndicat du textile de Montmorency a lieu le 5 avril 1935. Trente-huit employés assistent alors à la réunion. Pendant ce temps, on s’active ailleurs [au Québec]. Une première grève est déclenchée le 2 août 1937. Pour les journaliers qui ont deux ans d’expérience, que le taux horaire de salaire soit fixé à 30 cents. Que le salaire minimum soit de 15,00$ par semaine. Que les ouvriers soient payés à toutes les semaines. Que le temps et demi soit accordé à tous les employés féminins. [...] Lendemain de grève et désenchantement total. «Il y avait cette propagande de compagnie selon laquelle elle disait qu'elle allait fermer les usines et en ouvrir ailleurs, pour essayer de faire croire aux gens de Québec que l'industrie du textile disparaîtrait d'ici s'ils revendiquaient trop. Une manière de menacer que les capitaux s'en aillent ailleurs.» (Arcand et Godin, 1976) Au bout de 24 jours de grève, le cardinal Villeneuve réussit à convaincre les contestataires de retourner à l’usine. Affamés, les syndiqués décident de reprendre leur travail [...] 1938 Au mois de juillet 1938, les travailleurs des salles de filage se plaignent que leur tâche a été augmentée de 50% sans aucune augmentation de salaire correspondante. Certains travailleurs prétendent même que le remaniement des tâches signifie pour eux une augmentation de leur travail et une diminution de salaire. Le 11 juillet 1938, l’équipe de nuit, environ 75 fileurs, se mit en grève. Le lendemain, devant le refus de la compagnie d’étudier les revendications des travailleurs, une centaine de compagnons de travail se joignirent aux piqueteurs. Ces derniers réclamaient un salaire de 34$ par quinzaine au lieu de 28,40$ Le 13 juillet 1938, le gérant de la Dominion Textile, Blair Gordon, arrive de Montréal. «La cour de l’usine était pleine de monde. Mon père était là, lui aussi. Sans toucher à la chaudière, il m’ordonna de retourner à la maison. J’obéis à contrecoeur. Chaque fois que je me retournais, je le voyais qui m’observait. Il finit par ne plus regarder dans ma direction; je revins sur mes pas. J’arrivai juste pour le début. Les hommes commençaient à lancer des pierres sur l’office où, je l’appris plus tard, tenait conseil M. Gordon, le président de la Dominion Textile. Un groupe enfonça la porte, envahit les bureaux. D’autres montaient sur le toit de l’usine des pièces de machines. Un ouvrier appliqua son poing dans la figure du surintendant Fisher qui se trouvait sur son passage. Le président Gordon fut suspendu au-dessus de la turbine. Blessé légèrement au front, une ambulance vint le chercher à la requête des travailleurs. La police en profita pour pénétrer sur le terrain. Chargé avec d’autres de vérifier les allées et venues à l’usine, mon oncle Adélard brisa la clé de l’automobile d’un patron en examinant le contenu du coffre; il regrettait sa maladresse en répétant qu’il manquait d’habitude, ne possédant pas d’auto.» (Fernand Dumont, 1997). [...] Cette fois, le militantisme syndical ne sera pas sans conséquences positives pour les ouvriers de Montmorency. Les ouvriers obtiendront gain de cause, c’est-à-dire 34$ par 15 jours. Jean-François Simard. Montmorency: Histoire d’une communauté ouvrière (passages). Mécaniciens - Dominion Textile (1910) Coll.: Lucien Plante Employées - Dominion Textile (1910) Coll.: J.-M. Plante

My Interests

La LIBERTÉ. Ma liberté commence là où commence celle d'autrui.

I'd like to meet:

Les gens de mon pays et ceux qui m'aiment libre
Les gens qui RECONNAISSENT et veulent la liberté des autres nations.

LIBERTÉ J'AI DIT!
«Ce n'était pas ma guerre
Alors j'ai déserté
J'ai fui dans les forêts
Et je m'y suis caché
Refusant de servir
De chair à canon
Refusant de mourir au loin pour la nation.

Une nation qui ne fut
Jamais vraiment la mienne
Une alliance forcée
De misère et de peine
Celle du génocide des premières nations
Celle de l'esclavage et des déportations.»
CORRIGAN FEST, Je suis (extrait) STOP THE WAR - Do not become a monster in order to defeat a monster. Friedrich Nietzsche

Music:

Celle de mes gens, et celle de leurs racines. Bien d'autres aussi.

Movies:

15 février 1839

Television:

Les belles histoires des pays d'en haut

Books:

Albert Memmi: Portrait du colonisé, portrait du colonisateur. «Du refus d’autrui au nom de n’importe quelle différence.» Le nomade immobile. Pierre Schneider: Paroles d'amour et de liberté. Toute l'oeuvre d'Yves Thériault. Archives de la bibliothèque Nationale du Québec. Ouvrages de Conrad Kirouac, alias Frère Marie Victorin: fondateur du Jardin botanique de Montréal, membre actif de la Société Saint-Jean Baptiste de Montréal (théâtre et poésie patriotiques), de la Société Saint-Jean Baptiste de Québec dans les années 20 (militant pour la formation de sociétés scientifiques régionales québécoises et pour l'avancement en éducation), auteur des Croquis laurentiens et de La Flore laurentienne.

Heroes:

Louis-Joseph Papineau et l'Irlandais Edmund Bailey O'Callaghan, qui orchestrèrent la rébellion des patriotes de la vallée du Richelieu, en 1837-1838. Les Patriotes, regroupés un temps sous le nom des Fils de la Liberté, se rebellèrent contre la tyrannie qui maintenait mon peuple dans une pauvreté innommable. En raison de leurs faibles moyens, les Patriotes se virent immédiatement écrasés par l'Anglais, et une bonne part de ceux-ci furent punis par la pendaison. 30 ans plus tard, cependant, Honoré Mercier, d'Iberville, put terminer les travaux amorcés par Papineau, et jeta les bases de la réforme constitutionnelle qui donna des droits en chambre a mes gens. N'oublions pas non plus René Lévesque, qui fit reconnaître mon peuple comme une nation distincte.
RACINES MUSICALES QUÉBÉCOISES
For the good are always the merry
Save by an evil chance
And the merry love the fiddle,
And the merry love to dance!
William Butler Yeats Si l'on dit, des grands arbres, «qu'ils enlacent inextricablement leurs troncs et leurs branches» (Gautier), l'on peut dire, des racines musicales québécoises, qu'elles enlacent inextricablement le passé. Parce qu'il existe peu d'archives sur son histoire, qui est à la fois vaste, embrouillée, et même parfois obscure. Ballets, bals et danses suivent de près la fondation de Québec, en 1608: les archives en font mention dès 1645. Selon le Journal des Pères Jésuites, le premier bal officiellement tenu en Nouvelle-France eut lieu le 4 février 1647, chez le sieur Chartier. Un immigrant français, arrivé à Montréal vers 1770, raconte dans ses mémoires, que jamais il ne vit nation aimant plus à danser. Le violon fut d'abord le principal instrument d'accompagnement de ces danses. En anglais, le violon était souvent appelé fiddle, parce qu'on en jouait de manière telle qu'il était impossible, en l'entendant, de ne point bouger les orteils! (Violin était utilisé lorsque le violon servait à jouer de la musique classique.) Ces instruments accompagnaient le violon: le tambour, pour donner la mesure, ainsi que la flûte et le mirliton. Le fredonnement, dit turlutage (di-dam, da-da-di-di-dam, et wing tra-la, la-di-tra-la-la-) et les chants traditionnels français complétaient le tout: À la claire fontaine, Belle hirondelle, Wing Trala... Vers la fin des années 1800, on commença à jouer de l'harmonium et de l'accordéon diatonique ou de celui à boutons. Début 1900, le piano et l'harmonica firent leur apparition dans les zones rurales et devinrent fort populaires dans tout le Québec. Les danses québécoises, quant à elles, furent d'abord celles en vogue en France et dans les colonies britanniques: valses, cotillons, contre-danses, polkas et menuets. Vinrent ensuite, début des années 1800, la gigue, la danse de pas, et les quadrilles. De nos jours, les reels (gigués) sont encore dansés dans certaines régions du Québec, en solo ou en groupe, de même que certains quadrilles. La musique traditionnelle irlandaise et écossaise eut une influence prépondérante sur la musique traditionnelle québécoise. Ce fait peut sembler étrange car le Québec fut principalement colonisé par des Français, les immigrants irlandais et écossais ayant été moins nombreux. Pour expliquer cela, certains avancent que les nations ayant une très forte tradition musicale, tel l'Écosse et l'Irlande, peuvent exercer une influence exceptionnelle sur la musique des autres. Ainsi, la musique traditionnelle québécoise s'inspira principalement des mesures 4/4 et 2/4 typiques des reels joués en Irlande et en Écosse. Ces mesures sont encore couramment utilisées. On intégra aux reels certaines mesures apparentées, tel les hornpipes, les clogs, et les galopes. Les jigs simples et doubles (6/8), ainsi que les slip jigs (9/8) d'Écosse et d'Irlande furent aussi très populaires. Les jigs 6/8 furent remodelés en reels gigués*, car au Québec, dit-on, on gigue sur du reel, par sur de la jig. De quoi en perdre pied! (Et la tête!) De nos jours, les mesures 3/2 (ou 6/4), et 3/4 sont encore utilisées, de même que les combinaisons 6/4 - 4/4, et les medleys. La musique traditionnelle québécoise traversa le temps grâce à la transmission orale seule, tant du point de vue des paroles que de la mélodie. Le Québec a donc une forte tradition musicale. *Le terme reel gigué aurait été introduit par l'accordéoniste PHILIPPE BRUNEAU dans les années soixante. Pour plus de détails: http://www.galarecords.ca/reel.htm LE PLUS BEAU VOYAGE Claude Gauthier J'ai refait le plus beau voyage De mon enfance à aujourd'hui Sans un adieu, sans un bagage, Sans un regret ou nostalgie J'ai revu mes appartenances, Mes trente-trois ans et la vie Et c'est de toutes mes partances Le plus heureux flash de ma vie! Je suis de lacs et de rivières Je suis de gibier, de poissons Je suis de roches et de poussières Je ne suis pas des grandes moissons Je suis de sucre et d'eau d'érable De Pater Noster, de Credo Je suis de dix enfants à table Je suis de janvier sous zéro Je suis d'Amérique et de France Je suis de chômage et d'exil Je suis d'octobre et d'espérance Je suis une race en péril Je suis prévu pour l'an deux mille Je suis notre libération Comme des millions de gens fragiles À des promesses d'élection Je suis l'énergie qui s'empile D'Ungava à Manicouagan Je suis Québec mort ou vivant! STILL MISSING - TROUVEZ CÉDRIKA Louis-Joseph Papineau - 1851 Michael Speaking To M L K III In Richond,CA

Sauvegardez TARA - SAVE TARA Site archéologique plus ancien que Stonehenge et les Pyramides que l'on veut détruire pour une autoroute. Plus que quelques semaines avant la destruction. (Voir TARA WATCH pour signer la pétition). Je me souviens: 30 janvier 1972 - Derry, Irlande

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