LittleBigMan

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Little Big Man est originaire de la commune des Abymes en Guadeloupe où il grandit dans le quartier de Boissard, baigné dans une culture d’une famille guadeloupéenne et anglaise.Adolescent, il approfondit son héritage culturel en développant son aptitude au chant, et participe à des Sound System. Il fait la rencontre de Manyvan dont le local se trouve à la Section de Lafont, lieu où tous les Deejay et chanteurs de Dancehall avertis, s’entraînent avec des instruments live afin de parfaire leur flow.A ses côtés, les plus talentueux d’entre-eux comme Ras Abbia, Kingky Eddy, Tiwony, ainsi que Nèg’Radical (Sista Tchad et Laion P.). Il fait aussi la rencontre de Brother Jimmy qui l’initie à l’esprit du Sound System en l’intégrant dans KSS (Karukera Sound System).Aux côtés de Pupa Alain, Teddy, Oliver Stone, Lovy Jam et Fight, Little Big Man fait partie des plus jeunes, d’où le choix de s’appeler Little Big Man (petit grand homme). Grand par le gabarit, petit par l’âge, le préfixe “Little”, est surtout pour casser la notion de grandeur que l’on peut lui donner car : “Un homme n’est qu’un homme et reste minuscule devant Dieu”.LBM décide ensuite d’aller vivre en Guyane poursuivre ses études. De nouveau, il va à la rencontre d’artistes guyanais du mouvement Ragga, Reggae tel que Blackwood, Niko, Doog, Penseul et Rubben. Il rejoint Natural Roots, un groupe de la Guyane anglaise avec lequel il a eu l’opportunité de jouer. Jason, le batteur actuel d’Admiral T, faisait partie de cette formation. Little Big Man fit aussi la première partie de Nuttea lors de son concert en Guyane.Avec l’aide de Pascal Adams (chanteur, auteur, compositeur et arrangeur), Philippe Bonaire (compositeur, arrangeur) et de Raymond Balourd (auteur, compositeur et bassiste), il sorti le single “Matéryalist” produit en Guadeloupe et en Guyane. L’opus remporta un vif succès auprès du public guyanais. Le titre resta plusieurs semaines en tête du Top Créole de Radio Guyane ainsi que les autres radios du département.Enrichit de toutes ses expériences, l’artiste revient en Guadeloupe. Il travaille à l’élaboration d’un nouvel album qui retranscrit une bonne partie de ses acquis en matières de musique, (reggae, dancehall, soul, R’n’B, ragga, zouk, gwo ka, hip-hop). Accompagné cette fois par Jacques E. Camara, directeur de Taïnos-Records (producteur exécutif de cet opus au Crazy Sound Studio), Little Big Man vous présente le premier titre extrait son futur premier album solo, et en prélancement, “La Femme”, une ode à la femme.Sa musique en général, sent bon les parfums de la Caraïbe en parcourant quelques registres chers à son cœur comme le Reggae, le Ragga, la Dancehall, le Gwo Ka... Et comme le disent nos amis anglo-saxons : “Right now enjoy !”.