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Dan LIEFOOGHE - VIEWS OF TAO

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Né en 1969 dans les flandres françaises, s'illustre dès l'âge de 12 ans à la basse électrique, en autodidacte. Après avoir intégré plusieurs formations de jazz-rock, à 20 ans il devient premier assistant de lutherie chez MUSELET à Lille, spécialisé dans les instruments de la contrebasse et du violoncelle. C'est alors qu'il fait la rencontre des plus grands contrebassistes, notamment Michel HATZI-GEORGOU (AKAMOON), qui lui propose d'intégrer sa classe au conservatoire Royal supérieur de Bruxelles. Là, il s'impose rapidement au-delà de l'académie, à travers l'improvisation et la composition. Il forme le trio jazz-fusion VIEWS OF TAO, et obtient, pour la sortie d'un premier album, quelques premières parties de musiciens renommés comme JOE ZAWINUL (WEATHER REPORT).En 1998, la marque FENDER lui propose un contrat de 2 ans en tant que démonstrateur basse électrique. A partir de là, il se voit de plus en plus sollicité et compose pour diverses prédilections telles que la sophrologie, le théâtre, ou encore l'audio-visuel, domaine dans lequel il se voit primé lors du 60eme anniversaire de la MOSTRA de Venise, pour le documentaire "Ne dîtes pas à ma mère..." de Sarah Moon Howe. Parallèlement, Dan LIEFOOGHE exerce une activité intense dans la recherche picturale, où ses oeuvres font l'objet de plusieurs expositions en Europe. La découverte de la musique électronique lui permet de franchir un nouveau virage dans sa recherche qu'il veut d'actualité. L'envie de confronter ses créations électroniques aux milieux de l'écriture et du chant se concrétise dans sa collaboration avec l'auteur interprète Florence LËON. Après 1 an de travail, ils réalisent un double-album inspiré d'une grande diversité d'influences. A ce jour, le groupe electro-acoustique VIEWS OF TAO se produit à Paris, Bruxelles et Londres.

Born in 1969 in French Flanders, Dan drew attention as a self-taught bass player from the age of 12. After having played in several jazz-rock bands, he trained as a craftsman for MUSELET, a stringed-instrument maker in Lille, specialising in the double bass and the cello. This allowed him to meet some of the great double bass players, and in particular Michel HATZI-GEORGOU (AKAMOON), who offered Dan a place in his class at the Conservatoire Royal Supérieur in Brussels, where he made an impact outside his formal studies, excelling in improvisation and in composition. He created the jazz-fusion trio VIEWS OF TAO and for the release of their first album, played a supporting role for several well-known artists such as JOE ZAWINUL (WEATHER REPORT). In 1998 he got a contract with the FENDER company as an electric bass demonstration player. From that time on, he was in ever greater demand for various projects, ranging from sophrology to the theatre to cinema productions. He received an award at the 60th anniversary of the MOSTRA in Venice, for his work on Sarah Moon Howe’s documentary film, “Ne dites pas à ma mère”. At the same time as his musical activity, Dan LIEFOOGHE has developed his talents in the visual arts, and his work has been displayed in several exhibitions around Europe. His discovery of electronic music has enabled him to remain at the cutting edge of musical research. Dan’s desire to join his compositions with the human voice and the written word has been made possible due to his collaboration with the singer-songwriter Florence LEON. After just one year working together, they made a double album which reveals a wide variety of influences. Now, the electro-acoustic group VIEWS OF TAO appears in Paris, Brussels and London MyWackoSpace MySpace Icons Online Flash Games MySpace Graphics MySpace Layouts
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"(...)Musicalement, les chansons (on serait plutôt tenté de dire: les pièces de puzzle musical) se réduisent à leur plus simple appareil: quelques boucles rythmiques élaborées et jamais répétitives, qui apparaissent plus comme des pulsations proches du silence. Elles sont, au-delà de leur aspect artificiel, vivantes et organiques; elles nous permettent de vibrer, soit en ressentant les piqûres qu'elles nous assènent, soit en se faisant douces et en retrait. Elles apportent une impulsion musicale, sont une base minimale, parfois dissonnante, un terrain sur lequel chaque style musical rencontré peut trouver une nouvelle valeur. Ces rythmes synthétiques sont impressionnants d'originalité et de recherche sur les sonorités, composantes d'un seul et même contexte rythmique à la fois novateur et délicat. Car plus que de simples boucles, ce sont des vagues, des claquements, des rythmes cardiaques pour les chansons. A elles seules, elles deviennent langage, propos sur lequel musique et chant vont pouvoir argumenter, et se développer.Sur ces bases rythmiques, les mélodies synthétiques peuvent alors revêtir une liberté totale pour chacune des chansons. Soient elles se résument à quelques notes à peine effleurées, mélodie minimaliste et dépouillée de tout fioriture inutile, comme si la recherche ici menée était axée sur l'origine du son lui-même et de sa portée sensible immédiate. Mais parfois, on rencontre de sublimes élans harmonieux et inspirés par des origines aussi diverses que surprenantes et agréables: du trip-hop le plus émotionnel et poignant à des consonnances africaines et arabisantes, ces arabesques musicales permettent d'insuffler aux compositions une valeur de repos et de plénitude, une respiration avant de continuer à flotter dans ces mélodies artistiques si belles, et permettant à l'auditeur d'aller de découverte en découverte, en lui permettant de vivre une écoute des plus actives et concentrées. Mais loin de n'être qu'une musique cérébrale, elle se veut émotionnelle et directe, sans attrait inutile. De plus, elle forme un écrin dans lequel l'exercice vocale peut reposer, et trouver toutes ses libertés." SLUG