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2 millions d'animaux font l'objet d'expériences, et ce, seulement au Canada. Au total, 800 millions à travers le monde: chats, chiens, singes, rats, souris, lapins, sont massacrés annuellement au nom de la science, de la recherche médicale, et du pouvoir industriel, pharmaceutique ou militaire. (suite)Sachez que,C'est un non-sens que d'affirmer que les animaux ne souffrent pas parce qu'ils ont une intelligence inférieure. La douleur est conduite au cerveau par les nerfs, ce qui n'a rien à voir avec l'intélligence, mais avec la sensibilité. Chez la plupart des animaux ces nerfs sont bien plus développés et plus sensibles que chez l'homme.L'angoisse, la souffrance des animaux privés de leur entourage habituel, terrorisés, altèrent à tel point leur état mental et leurs réactions organiques que tout résultat est fausé à priori. (suite)Une grande partie des citoyens ressent avec une intensité croissante la nécessité d'une médecine à la mesure de l'homme, d'un système sanitaire adéquat et struturé de manière à garantir une prévention réelle. Le consommateur exige des biens de consommation qui ne soient pas dangereux, il veux pouvoir se servir de produits sains, qui répondent aux besoins pour lesquels ils ont été achetés et qui n'engendrent aucun dommage.Cette phrase, par laquelle les défenseurs de la vivisection cherchent à mettre les naïfs dans l'embarras "VOUS PRÉFÉREZ LE SACRIFICE D'UN CHIEN OU D'UN ENFANT ?", est une hypocrisie faisant partie de l'appareil de mensonges établis par les intéressés: le sacrifice d'un chien ou de quelque autre animal qui soit n'a jamais aidé à sauver la vie de personne. Au contraire: ces sacrifices ont contribué à tuer un grand nombre d'êtres humains, à travers les produits et les techniques dérivés de l'expérimentation animale. (suite)Une autre phrase hypocrite répétée par l'entourage de la vivisection est la suivante: "SI NOUS NE POUVONS PAS EXPÉRIMENTER SUR LES ANIMAUX, SUR QUI ALLONS NOUS LE FAIRE ? "SUR LES ÊTRES HUMAINS ?"
Cette phrase, au delà de l'hypocrisie, révèle une incroyable ignorance. En effet, il n'existe, du point de vue scientifique aucun être vivant sur lequel on peut expérimenter sur le vif, dans le sens donné de ce terme par les partisants de la vivisection, chaque individu étant différent de l'autre. Cela dit indépendamment des implications éthiques et du fait que l'indistrie chimique encourage aussi l'expérimentation sur l'homme.SI L'APPROCHE ACTUELLE DU TRAITEMENT DES MALADIES ÉTAIT VALABLE NOUS DEVRIONS DEPUIS LONGTEMPS ÊTRE ENTRÉS DANS UNE ÈRE DE SANTÉ UNIVERSELLE. AUCUNE DÉCOUVERTE MÉDICALE N'EST DUE À L'EXPÉRIMENTATION ANIMLE. TOUTES CES ATROCITÉS SONT INUTILE.Maintenant il existe le mouvement antivivisectionniste, de portée mondiale, qui ne peut plus attendre. Nous possédons des arguments scientifiques, nous les utilisons, de la même manière que les arguments éthiques, sociaux et économiques. Mais même si nous voulions laisser tous ces arguments de côté, nous ne pourrions éviter de regarder la vivisection pour ce qu'elle est, son vrai visage et les actes qui sont accomplis en son nom.Ces actes, que le Mahatma Gandhi a qualifé du crime le plus noir qu'on puisse perpétrer contre des créatures sans défense. Et c'est là, la racine de tout, dans une mentalité polluée par la mort et la destruction, qui s'oppose à la vie. Si les animaux peuvent un jour retrouver la confiance dans les hommes, l'homme retrouvera la confiance en lui-même. CELA SIGNIFIE ALORS : Que l’expérimentation animale est inutile et dangereuse (pour la santé humaine) pour 2 raisons principales : Une maladie obtenue artificiellement n’a rien de commun avec une maladie spontanée ET Les réactions des animaux en laboratoire diffèrent de celles de l’homme car le modèle animal n’est pas applicable à l’homme.Si les vivisecteurs peuvent citer des centaines d’idées concernant la médecine humaine obtenue avec l’aide des expériences sur animaux, ILS OMETTENT CEPENDANT DE NOUS PRÉCISER que ces idées ont été prouvées utiles à la compréhension d’une maladie humaine après qu’elles furent confirmées par des observations cliniques (patients humains). Durant leur formulation (tests sur animaux), elles ne nous disent rien de quoi que se soit utile pour l’humain.Une espèce animale ne peut être un modèle pour aucune autre espèce, et seulement un jugement superficiel peut être contenté par des similarités morphologiques de types : le chien, comme l’humain, a une tête, deux yeux, un foie, un cœur... Nous différons sur le niveau cellulaire et moléculaire et, c’est important, car c’est à ces niveaux que la maladie se produit.Chaque espèce a des réactions biologiques déterminées par son patrimoine génétique, qui est unique. Elle a donc sa propre façon de réagir face à une substance donnée. Il est par conséquent impossible, à partir d’études sur une espèce animale quelconque, quel que soit le nombre et la variété des espèces, quel que soit le nombre des individus sacrifiés, d’avoir ne serait-ce qu’une vague idée, donc, un minimum d’assurance, de la réaction humaine à cette même substance.La raison qui explique pourquoi les rongeurs (particulièrement le rat albinos) sont les animaux les plus massivement utilisés dans les laboratoires (2/3 du nombre total des animaux utilisés) est d’ordre pratique et économique, bien loin de toutes considérations scientifiques. En effet, les souris, rats, cochons d’Inde et autres lapins sont très "commodes" car :- Ils ne prennent pas de place (leur cage est petite, plusieurs animaux peuvent y être mis...). - Ils ne coûtent pas cher (comparativement à d’autres espèces comme les singes). - Ils ont une alimentation omnivore. - Le temps de gestation est très court. - Ils sont dociles et se manient facilement.Selon l’éditorial du New Scientist, du 31 août 1996 : "Si vous voulez développer des médicaments pour traiter des maladies humaines, alors les sujets idéaux sont, naturellement, des gens. Aucun autre animal ne partage toute notre biochimie, donc nous ne pouvons jamais être sûrs qu’un médicament qui marche sur des animaux, marchera également sur nous."Des tests LD 50 (LD pour Lethal Dose : dose mortelle, trouver la dose mortelle qui tue 50 % des animaux testés afin de déterminer les limites de sécurité d’un médicament, selon les vivisecteurs) conduits sur des rats l’après-midi les tua tous, pour ceux conduits le matin, tous survécurent. Des tests conduits en hiver, le taux de survie était le double de ceux conduits en été. Quand des substances toxiques étaient administrées à des souris surpeuplées dans des cages, presque toutes moururent, tandis que toutes les souris survécurent aux mêmes substances dans des conditions normales dans les cages. Comment peut-on deviner la dose correcte pour les humains ? Comment peut-on même vouloir la donner aux humains ? En 2002, 2 691 animaux furent utilisés pour des tests cosmétiques dans l’UE (soit une baisse de 19,6% depuis 1999). 4 253 animaux furent utilisés dans l’UE pour tester des produits ménagers (soit une hausse de 108% depuis 1999).L’industrie des cosmétiques : des ventes passées de 7 milliards de dollars en 1970 à la somme colossale de 28 milliards de dollars en 1994.Les tests cosmétiques - même s’ils restent très marginaux par rapport à ceux effectués pour l’industrie pharmaceutique, pétrochimique et agroalimentaire (moins de 10 mille contre 10 millions, en Europe pour la seule année 2002) - gardent l’attention quasi exclusive des associations protection animale.De 10 à 15 millions d’animaux sont torturés et tués chaque année dans des laboratoires américains pour tenter de déterminer la sûreté de cosmétiques et de produits ménagers.Divers tests sont quotidiennement conduits sur les animaux de laboratoire pour mesurer l’irritabilité de la peau et les dégâts causés par inhalation ; mais les plus insidieux de ces tests sont le test oculaire de Draize ou Draize Eye Irritancy et le test de toxicité aiguë ou LD50.Le test Draize: Inventé en 1944, est utilisé pour tester des produits comme le mascara et les shampoings et déterminer leur degré d’irritabilité pour les yeux et les dégâts qu’ils peuvent engendrer sur les tissus du corps. Des lapins sont maintenus dans des carcans et des pinces en métal gardent leurs yeux ouverts tandis que des paillettes ou des granules du produit chimique concentré ou du produit testé sont placées dans la paupière inférieure de chaque œil. Les dégâts sont mesurés en fonction du degré de gonflement, de rougeur et d’irritation qui se produisent durant une période de 7 jours. Pendant le test, ces animaux peuvent subir de très graves gonflements, brûlures et hémorragies, des déchirements de l’iris et finalement devenir aveugles.Le test LD50 : LD50 est l’acronyme de Lethal Dose (dose mortelle) 50%. Ce test mesure la quantité nécessaire d’un composé pour conduire à la mort de 50% du groupe d’animaux de laboratoire sélectionnés pour le test - la plupart du temps des chiens, des chats, des cochons et des singes. Durant une période allant de 2 semaines à 7 ans - selon le composé - on fait ingérer de force aux animaux de laboratoire des ingrédients couramment utilisés dans le vernis à ongles, la teinture pour cheveux, le rouge à lèvres, le parfum et les crèmes pour la peau. Une fois que le seuil de tolérance du produit chimique est atteint, les animaux peuvent souffrir d’un manque d’appétit, de diarrhées, de vomissements, de convulsions ainsi que de saignements des yeux, du nez et de la bouche avant finalement de mourir.Selon le Dr. Herbert Gundersheimer de l’association Physicians Committee for Responsible Medecine : "Les résultats des tests sur animaux ne sont pas transférables d’une espèce à une autre et par conséquent, il ne peuvent garantir la sûreté des produits pour les êtres humains." Le magazine commercial de l’industrie cosmétique, Drug and Cosmetic Industry, admet même que : "QUE CE SOIT ANATOMIUQEMENT OU PHYSIOLOGIQUEMENT, AUCUN ANIMAL N’A UNE PEAU SE RAPPROCHANT VRAIMENT DE CELLE DE L'ÊTRE HUMAIN."Pour la seule année 1993, Procter&Gamble a investi 2,4 milliards de dollars dans des campagnes publicitaires alors qu’ils n’ont dépensé que 450.000 dollars en subventions d’ordre scientifique pour développer de réelles alternatives aux tests sur les animaux.Selon l’association Physicians Committee for Responsible Medicine : "Il semble que les tests fassent partie du processus par lequel les entreprises évitent les responsabilités judiciaires de dommages-intérêts causées par leurs produits."

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