Zardoz s Way______Photopoésia profile picture

Zardoz s Way______Photopoésia

Avant de te connaître, je mangeais et j'avais faim, je buvais et j'avais soif, bien et mal m'indiff

About Me



fin gourmet, dandy fou, diminué divin, absurde? n'aime pas les clichés
Qui suis-je ?

x-ray de l'âme, le magicien d'ottoz fils spirituel d'Al-Qâsim al-Harîrî fils de l'homme entreprenant;
J'erre sans cesse dans les mondes futiles, observateur des ridicules, dénonciateur des péssimistes, créateur du Rire.
Je suis celui par qui le sourire naît.
Absurde toujours. Ceuilleur d'instants, chasseur de rêves, pêcheur de sourire.
il n'y a rien à dire, ce ne sont que des maux.
quel vanité cet espace confondant,
quelLE triste humanité, tant et tant de VIDES
mAIS ICCCI, il y a des gens, des hommes, des femmes, des vous, des vivants.
Alors vivons, résistons : MULTIPLIONS-NOUS

My Interests



vous mais pas ils;
Poésies
photo graphie "l'art de la lumière",
les parcelles d'espaces,
les échanges intersidéraux

Cool Slideshows

I'd like to meet:

vercingétorix, georges perec,turner, rodchenko,un bouquetin, cendras, tati, beuys, phillipe léotard, saint françois d'assise, franck loyd wright, ,goosens, ,rimbaud, mastroanni,les surrealistes,dep,camus,des amis, le mec qu'a inventé les fisherman's friend, celui qu'a testé la première fois le monoski et qui s'est cassé les deux jambes, le créateur du béton armé,et celui qu'a créer les couleurs, ABOU ZAID

Feuillets d'Hypnos
1943-1944
René CHAR à Albert Camus.

1: Autant que se peut, enseigne à devenir efficace, pour le but à ateindre mais pas au delà. Au de la est fumée. Ou il y a fumée il y a changement.



2 : Ne t'attarde pas a l'ornière des résultats.
3 : Conduire le réel jusqu'à l'action comme une fleur glissée a la bouche acide des petits enfants. Connaissance ineffable du diamant désespéré (la vie).
4 : Etre stoique, c'est se figer, avec les beaux yeux de Narcisse. Nous avons recensé toute la douleur qu'éventuellement le bourreau pouvait prélever sur chaque pouce de notre corps ; puis le coeur serré, nous sommes allés et avons fait face.

5 : Nous n'appartenons a personne sinon au point d'or de cette lampe inconnue de nous, inaccessible a nous qui tient eveillés le courage et le silence.

6 : L'effort du poète vise a transformer "vieux ennemis" en "vieux adversaires", tout lendemain fertile étant fonction de la réussite de ce projet, surtout là ou s'élance, s'enlace, décline, est décimée toute la gamme des voiles ou le vent des continents rend son coeur au vent des abîmes

7 : Cette guerre se prolongera au-delà des armistices platoniques. L'implantation des concepts politiques se poursuivra contracditoirement, dans les convulsions et sous le couvert d'une hypocrisie sûre de ses droits. Ne souriez pas. Ecartez le scepticisme et la résignation, et préparez votre âme mortelle en vue d'affronter intra-muros des démons glacés analogues aux génies microbiens.

45 : Je rêve d'un pays festonné, bienveillant, irrité soudain par les travaux des sages en même temps qu'ému par la zèle de quelques dieux, aux abords des femmes.

130 : J'ai confectionné avec des déchets de montagens des hommes qui embaumeront quelques temps les glaciers.

88 : Comment m'entendez-vous? je parle de si loin...

127 : Viendra le temps où les nations sur la marelle de l'univers seront aussi étroitement dépendantes les unes des autres que les organes d'un même corps, solidaires en son économie.
Le cerveau, plein à craquer de machines, pourra-t-il encore garantir l'existence du mince ruisselet de rêve et d'évasion? L'homme, d'un pas somnambule, marche vers les mines meurtrières, conduit par le chant des inventeurs...

<

Je sais,
l'invisible est cette rose,
l'invisible est cette femme,
et le visage est l'envers du ciel

je sais, nuage par nuage
mes ciels remontent des paradis terrestres,
bienvenue alors à l'histoire

et à ses atomes de poussière,
l'éphémère, comment peut-il désespérer
alors que le vent est son chemin

Adonis Mémoire du vent
Poèmes 1957-1990
Poésie/Gallimard 1991 © Gallimard



SÉJOUR-CLUB

séjour-club

le poète est celui qui se recouvre d'huile
avant d'avoir usé les masques de survie
hier aprés-midi le monde était docile,
une brise soufflait sur les palmiers ravis

et j'étais à la fois ailleurs et dans l'espace,
je connaissais le Sud et les trois directions
dans le ciel appauvri se dessinaient des traces,
j'imaginais les cadres assis dans leurs avions

et les poils de leurs jambes, trés similaires aux miens
et leurs valeurs morales, et leurs maitresses hindoues
le poète est celui, presque semblable à nous,
qui frétille de la queue en compagnie des chiens

j'aurais passé trois ans au bord de la piscine
sans vraiment distinguer le corps des estivants,
l'agitation des corps traverse ma rétine
sans éveiller en moi aucun désir vivant.

la lumière évolue à peu prés dans les formes.
Je suis toujours couché au niveau du dallage.
il faudrait que je meure ou que j'aille à la plage ;
il est déjà sept heures. probablement, ils dorment.

je sais qu'ils seront là si je sors de l'hôtel,
je sais qu'ils me verront et qu'ils auront des shorts,
j'ai un schéma du coeur. prés de l'artère aorte,
le sang fait demi-tour ; la journée sera belle.

tout prés des parasols, différents mammifères
dont certains sont en laisse et font bouger leur queue ;
sur la photo j'ai l'air d'être un enfant heureux ;
je voudrais me coucher dans les ombillifères

Michel Houellebecq in le sens du combat



TU ES PLUS BELLE QUE LE CIEL ET LA MER


Quand tu aimes il faut partir
Quitte ta femme quitte ton enfant
Quitte ton ami quitte ton amie
Quitte ton amante quitte ton amant
Quand tu aimes il faut partir

Le monde est plein de nègres et de négresses
Des femmes des hommes des hommes des femmes
Regarde les beaux magasins
Ce fiacre cet homme cette femme ce fiacre
Et toutes les belles marchandises

Il y a l'air il y a le vent
Les montagnes l'eau le ciel la terre
Les enfants les animaux
Les plantes et le charbon de terre

Apprends à vendre à acheter à revendre
Donne prends donne prends
Quand tu aimes il faut savoir
Chanter courir manger boire
Siffler
Et apprendre à travailler

Quand tu aimes il faut partir
Ne larmoie pas en souriant
Ne te niche pas entre deux seins
Respire marche pars va-t-en

Je prends mon bain et je regarde
Je vois la bouche que je connais
La main la jambe Le l'oeil
Je prends mon bain et je regarde

Le monde entier est toujours là
La vie pleine de choses surprenantes
Je sors de la pharmacie
Je descends juste de la bascule
Je pèse mes 80 kilos
Je t'aime

BLAISE CENDRAS



Poésimage / Intentionné



je suis un voyeur, intèrieur, interressé, patenté, vicieux, vérolé ; par mes yeux je vois le pire et la beauté qui sont intimement liés. je vis caché dans les soupirs, ivre d'ombres éphèmères, branlant les souches mortes pour les faire vivre, soufflant dans les carcasses d'animaux morts pour les faire respirer. je suis un voyeur, je regarde votre vie de l'extèrieur, mon oeil est exercé au pire, au doux, aux riens. souvent je suis là mais vous ne le savez même pas, j'épie, je vous scrute, vous étudie,

vous êtes sans le savoir le meilleur spécimen depuis des décennies...



Catastrophe allégorique Saisons des chaleurs pestilentielles Saisons sécheresse pénurie d’eau Saisons des vieux qui sèchent au soleil Saisons des anciens assoiffés des os Saisons des rayons cancéreux Saisons où il ne fait pas bon être nu Saisons des lunettes pour protégé tes yeux Saisons enfermés sans pouvoir être vu Saisons sans pluies fines ni mousses Saisons ni aqueuses ni porteuses Saison où rien vraiment ne poussent Saisons pénuries punies les bouches heureuses Saisons d’aveugle et d’affamé Saisons des catastrophes et désolation Saisons qu’on voudrait oublier Saison des vrais questions et adaptations Zardoz's Way 07

?



TRAVAILLE - FOURMILLE - PARTIE



Octavio Paz



O Bouteille,
Pleine toute
De mystères,
D'une oreille
Je t'écoute :
Ne diffère,
Et le mot profère
Auquel pend mon cœur
En la tant divine liqueur,
Qui est dedans tes flancs reclose,
Bacchus, qui fut d'Inde vainqueur,
Tient toute vérité enclose.
Vin tant divin, loin de toi est forclose
Toute mensonge et toute tromperie.
En joie soit l'aire de Noach close,
Lequel de toi nous fit la tempérie.
Sonne le beau mot, je t'en prie,
Qui me doit ôter de misère.
Ainsi ne se perde une goutte
De toi, soit blanche ou soit vermeille.
O Bouteille,
Pleine toute
De mystères,
D'une oreille
Je t'écoute :
Ne diffère.



Rabelais : " la Dive Bouteille ", Cinquième Livre (XVIème siècle)

°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°PR OTECT ME FROM WHAT I WANT°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

Tous ceux que l'on connaît sans les aimer sont déjà morts.

Nous sommes tous déjà morts pour beaucoup.

Georges Perros, in papiers collés, p 65, mars 1960



Est-ce ainsi que les hommes vivent
Tout est affaire de décor
Changer de lit changer de corps
À quoi bon puisque c'est encore
Moi qui moi-même me trahis
Moi qui me traîne et m'éparpille
Et mon ombre se déshabille
Dans les bras semblables des filles
Où j'ai cru trouver un pays.
Cœur léger cœur changeant cœur lourd
Le temps de rêver est bien court
Que faut-il faire de mes nuits
Que faut-il faire de mes jours
Je n'avais amour ni demeure
Nulle part où je vive ou meure
Je passais comme la rumeur
Je m'endormais comme le bruit.
C'était un temps déraisonnable
On avait mis les morts à table
On faisait des châteaux de sable
On prenait les loups pour des chiens
Tout changeait de pôle et d'épaule
La pièce était-elle ou non drôle
Moi si j'y tenais mal mon rôle
C'était de n'y comprendre rien
Est-ce ainsi que les hommes vivent
Et leurs baisers au loin les suivent
Dans le quartier Hohenzollern
Entre La Sarre et les casernes
Comme les fleurs de la luzerne
Fleurissaient les seins de Lola
Elle avait un cœur d'hirondelle
Sur le canapé du bordel
Je venais m'allonger près d'elle
Dans les hoquets du pianola.
Le ciel était gris de nuages
Il y volait des oies sauvages
Qui criaient la mort au passage
Au-dessus des maisons des quais
Je les voyais par la fenêtre
Leur chant triste entrait dans mon être
Et je croyais y reconnaître
Du Rainer Maria Rilke.
Est-ce ainsi que les hommes vivent
Et leurs baisers au loin les suivent.
Elle était brune elle était blanche
Ses cheveux tombaient sur ses hanches
Et la semaine et le dimanche
Elle ouvrait à tous ses bras nus
Elle avait des yeux de faÏence
Elle travaillait avec vaillance
Pour un artilleur de Mayence
Qui n'en est jamais revenu.
Il est d'autres soldats en ville
Et la nuit montent les civils
Remets du rimmel à tes cils
Lola qui t'en iras bientôt
Encore un verre de liqueur
Ce fut en avril à cinq heures
Au petit jour que dans ton cœur
Un dragon plongea son couteau
Est-ce ainsi que les hommes vivent
Et leurs baisers au loin les suivent

Aragon

Music:



LA SCIE MUSICALE !
LE CHANT DES CIGOGNES, LES BLES QUI POUSSENT, LEURS CRIS DANS LA NUIT !
slam; hip hop,jazzz, rocko KATERINE MON MAÎTRE
,
FLORENT MARCHET. DOMINIQUE A? FRANZ FERDINAND? STEREOLAB? BLACKALICIOUS?
STEVE REICH? THE KILLS? THE DOORS?
divine comedy; benjamin zephaniah, boby lapointe,
amon tobin, sonic youth,DINAH WASHINGTON,TTC

Movies:



MEMBRANE ???
OU
déroulements d'évênements

les films de mon oncle : jacques TATI

peter SELLERS;
TOUT ROCHEFORT. TOUT TARKOVSKY
Nostalghia TOUT GILLIAM.
qing HU. takashi miike.2001 .
LEO THE LAST TSUI HARK.old boy.
PETER GREENAWAY : 100 windows, the bathroom, baby of macon....casavetes...
FEDERICO FELLINI TRUFFAUT :

"Les jambes des femmes sont des compas
qui arpentent le globe terrestre en tout sens,
lui donnant son équilibre et son harmonie"

Television:

My Name is earl. la cuisine de sarah wiener.

karambolage.tracks; rome; soprano; rescue me;
stargate atlantis 2;millenium
; twin peaks; les boules de cristal; the twilight zone; die nacht;
nourri aux TEMPS X, et aux ENFANTS DU ROCK

Books:



J-G BALLARD .
GEORGES PEREC

Georges Perec - Un homme qui dort
envoyé par LTT .
RENE CHAR : "

J'ai confectionné avec des déchets de montagnes
des hommes qui embaumeront
quelque temps les glaciers

" in Feuillets d'Hypnos , 1943-1944 .
LEOTARD. HUYSMANS. NEAL STEPHENSON. FREDERIC LEAL.

FABRICE MELQUIOT HOUELLEBECQ. CASANOVA.BOULGAKOV.jack london,
dany laferrière "cette grenade dans la main du jeune nègre est-elle une arme ou un fruit?
jacques Réda, alain borer, Rimbaud,RIMBAUD?
insensatez
Par les soirs frais de juin, j’errai dans les ruelles
Picolé comme au foin, fouler mes deux poignets
Farceur, j’en feinterais le poids des ans
Je laisserai le sang baigné l’intérieur de mes chaussures
Je ne rigolerais pas, je ne casserais rien
Mais l’ivresse folie me donnerais des larmes
Eh va à pied, à deux pieds comme un terrien
Par les égouts, détendue comme dans une barque.
tentative raté de plagiat : la honte
RIMBAUD Le Bateau ivre
envoyé par Sacripan
dan simons, mes vies, QUENEAU, yves Pages, miller, pessoa,
mes nourritures célestes, mon souffle métapoétik, louis calaferte,
will self, "tonton Nietzsche",
ambroise bierce : " le dictionnaire du diable"
Politique : Lutte d'intérêts déguisée
en débat de grands principes.
Conduites d'affaires publiques pour un avantage privé.
Jean Claude IZZO, Don Delillo, Dictionnaire Historique de Langue Française
dirigé par Alain Rey,
clifford d simiak, Mac orlan, dick, capote, iceberg slim,
victor Hugo "l'homme qui rit",
Moravagine de cendras, antoine volodine, martin winckler, buckovsky..
Bukowski
envoyé par XLanig

Heroes:

ALAIN REY (linguiste et lexicographe)
MICHEL SERRAUT (philosophe)
Diogène de Sinope (413-327 avant J-C, cynique)
L'homme qui avait arrêté une colonne de char place tien an men en juin 1989

marcel

rené CHAR
toi
Cool Slideshows
La photographie est un Art, elle nous permet au delà de l'image
de faire naître des émotions.
Derrière l'image, il y a toi, c'est ton regard,
ton coeur qui capte l'invisible.
Ce que j’aime dans la photographie,
c'est que tu peux passer
une vie entière à comprendre,
à saisir,
à entendre une seule image.
La technique n'est qu'un moyen,
en fait elle n'est rien,
seul l'instant reste.
Nous ne fabriquons rien, nous rêvons les yeux ouverts.
La photographie c’est comme la poésie, parfois il n’y a aucun sens,
mais sans inspiration, il n’y a pas de danse…
par Zardoz’s Way en 2007
Interstellarium
I
Qu’on me dédie
Aux porteuses
Au rose
Fuselage
Des cuisses de demain
Au calme maintien des étoiles visibles
Au stable fusible des raisons galactiques
A l’infini rêveur de l’ère éternisée
Au soleil didactique
A la microscopique
Rhétorique des fusées
II
Je sais les cieux chantés de voix anciennes,
Prises dans les antennes,
Les météores parallèles
Aux échos d’Archimède,
Aux cris d’Euclide,
Le peu de vent encore vivant,
Dans chaque point pris hors d’un monde,
Ou d’une droite ondulatoire,
Au physique de star…
Et que nul n’entre ici, s’il n’est pas poète !
O changeant géomètre !
Il te faudra tourner,
En rond, encore longtemps,
Avant de concevoir ces voix proportionnelles,
Inverses, attirées,
Par le piège à leurs pieds.
III
Le centre des étoiles est plein d’incertitude ;
On sait mal comment s’y tenir, un beau jour,
Quand on atteint le c..ur,
Quand les lèvres ouvertes,
On se penche pour boire à la source encore nue.
Il n’y a rien d’exact au fond de l’inconnu.
Philippe Léotard
« pas un jour sans une ligne », édition les belles lettres, 1992
RÊVE, Traum, Dream, SognoA. Au propre, suite de phénomènes
psychologiques se produisant pendant le sommeil
et dont on se souvient plus ou moins complétement après le réveil.
"le premier résultat du Sommeil,
c'est l'éclipse au moins partielle des rapports sensitivomoteurs
avec le milieu,
par relachement du tonus musculaire,
absence de la réactivité, élévation des seuils sensoriels ;
comme aussi l'abaissement du niveau mental.
H. DelacroixB. AU figuré, pensée sans consistance et sans accord avec la réalité.
"Les rêves d'un visionnaire éclairés par les rêves de la métaphisiques" Kant
Die Traüme eines Geisterschers, erlaütert durch die Traüme der Metaphysik. 1760

Lui c'est une île,
perdu dans les rivages des mers vertes.
Lui c'est une errance, incessante.
Il est omniprésent à lui,
lui fuit une île à la recherche d'ailes ;
ce fut Elle.
Et sur la rive droite se tenait elle
détonant dans l'Astre vie, comme dans ces rêves.
Il songe,
elle pluie de ses désirs,
falaise de son envol.
île dans son éceuil ...

.
zardoz's way 1987
ESARTINULO + G L A N G E S O U R I T A L O R S G E I N T U N G L A S T I R E O U G R E L O L A S U N I E R S A L U T O N G I S A I T O L U R N E G O U R A N T L E S I G U I G N A R T L E S O R T I S A N G E L U O I T E U G A R A S L O T I O N A S U R G E L L'ange sourit. Alors geint un glas tiré où grelot a su nier salut. On gisait O, l'urne gourant si guignart, le sorti sang, élu, oint, eu, gras lotion à sur gel
by Georges PEREC
> archive photopoésia 7
archive photopoésia 6
archive photopoésia 5
archive photopoésia 4
archive photopoésia 3
archive photopoésia 2
archive photopoésia 1
Je voudrais pas crever Avant d'avoir connu
Les chiens noirs du Mexique Qui dorment sans rêver
Les singes à cul nu Dévoreurs de tropiques
Les araignées d'argent Au nid truffé de bulles
Je voudrais pas crever Sans savoir si la Lune
Sous son faux air de thune A un côté pointu
Si le soleil est froid Si les quatre saisons
Ne sont vraiment que quatre Sans avoir essayé
De porter une robe Sur les grands boulevards
Sans avoir regardé Dans un regard d'égout
Sans avoir mis mon zobe Dans des coinstots bizarres
Je voudrais pas finir Sans connaître la lèpre
Ou les sept maladies Qu'on attrape là-bas
Le bon ni le mauvais Ne me feraient de peine
Si si si je savais Que j'en aurais l'étrenne
Et il y a z aussi Tout ce que je connais
Tout ce que j'apprécie Que je sais qui me plaît
Le fond vert de la mer Où valsent les brins d'algue
Sur le sable ondulé L'herbe grillée de juin
La terre qui craquelle L'odeur des conifères
Et les baisers de celle Que ceci que cela
La belle que voilà Mon Ourson, l'Ursula
Je voudrais pas crever Avant d'avoir usé
Sa bouche avec ma bouche Son corps avec mes mains
Le reste avec mes yeux J'en dis pas plus faut bien
Rester révérencieux Je voudrais pas mourir
Sans qu'on ait inventé Les roses éternelles
La journée de deux heures La mer à la montagne
La montagne à la mer La fin de la douleur
Les journaux en couleurs Tous les enfants contents
Et tant de trucs encore Qui dorment dans les crânes
Des géniaux ingénieurs Des jardiniers joviaux
Des soucieux socialistes Des urbains urbanistes
Et des pensifs penseurs Tant de choses à voir
A voir et à z-entendre Tant de temps à attendre
A chercher dans le noir

Et moi je vois la fin
Qui grouille et qui s'amène Avec sa gueule moche
Et qui m'ouvre ses bras De grenouille bancroche

Je voudrais pas crever Non monsieur non madame
Avant d'avoir tâté Le goût qui me tourmente
Le goût qu'est le plus fort
Je voudrais pas crever Avant d'avoir goûté

La saveur de la mort... Boris VIAN
heho !!
Pourquoi Guignol porte t'il une natte ? Si Guignol possède une natte,
qu'il appelle salsifis ou queue de rat, c'est tout simplement qu'à l'époque où il fut créé
(fin XVIIIème début XIXème siècles), le catogan était à la mode.
Le catogan désigne un noeud utilisé pour attacher
les cheveux en une coiffure ramassée sur la nuque.
Par extension, il désigne une coiffure
où les cheveux sont attachés et ramassés sur la nuque.
Le mot fut créé au 18ème siècle,
à partir de Cadhogan, nom du général et comte anglais
qui mit cette coiffure à la mode.Du reste aujourd'hui, bon nombre de gones
reporte ce genre de coiffure.
rectificatifs d'ordre personnel et esthétik :
en 1997 j'ai dû partir sous les drapeaux, faire mon temps donné au pays,
à l'époque je me suis abandonné
au sacrifice ultime dans une belle chapelle templière du XII ème siècle
, à genoux dans le choeur,
j'ai coupé ma natte chevelue à l'aide d'un grand couteau.
je ne m'en suis jamais vraiment remis,
le désespoir me fis sombrer un temps dans la folie,
et l'autre temps inégal dans les affres des alcools blancs
, où l'on perd des parcelles de neurones.
quelques années plus tard, et aprés ce sacrifice (au japon les samourais perdais
tout leur honneur et étaient bannis,
les summériens se retrouvaient la nuque
non protégé et étaient exclus des champs de bataille,
les pirates en perdaient leurs latin de tripot
et devenaient ringard, bref, bref bref...) la natte à repris sa place,
mystique de mon dos,
c'est une antenne en fait
reliè au peaux-êtes,
aux peut-être,
aux têtes velus vivaces ET LIBRE.
hé !!
éh oh, c'est pas bientôt finis toutes ces conneries !
ah l'égo qu'il faut décapiter...
>

Philippe Katerine

Mort à la poésie

Je fais de ma vie un chef d'oeuvre
que l'on visite pour 100 franc tous les deux ou trois ans

j'écrase des insectes merveilleux

sur des visages adolescent

et absolument consentent

je marcherais nu sur le pont neuf

le 7 avril de 2009
en criant "mort à la poésie"
"mort à la poésie"
je suis un homme libre
je fais de ma vie un chef d'oeuvre

en buvant des alcool blanc

dans des endroit très déguoutant

je nagerais jusqu'à Tunis

le 7 avril de 2010

en criant "mort à la poésie ",

"mort à la poésie "

je suis un homme libre


Ce Je qui ne t’ignore pas Qu’il soit à sa place assis Et dont on ne nommera pas Ceux qui font pencher les vies Le mal verra qui vivra Sans qu’un seul mot ne sois dit Ni ici même ailleurs sentira Que ces forces décuplés ont mentie… De tout cela on s’en souviendra… Ce je t’isole à sa place Ne se rendra pas, ignorant ! Ces gens qui guette tes traces Ça donne ta fuite en courant Tu sais ton air partout agace Ce je n’a jamais peur que du sang Et les corbillards anonymes passent Et tes larmes se distille dans le vent Ce Jeu qui ne t’épargne plus Brûle les sueurs et fait sourire Du rictus tueur viens en sus Il faut partir (à la mémoire des 15 lascars, Tout habillé de noir Je viens sans armes Avec mes mots Ayez peur…) _br>

Create your own visitor map!

<a href="http://www.msplinks.com/MDFodHRwOi8vd3d3LmNvZGVzd G9nby5j

My Blog

voix captées au fond de ta sépulture (air 1)


Posted by Zardoz s Way______Photopoésia on Mon, 20 Oct 2008 05:37:00 PST

le post exotisme en 10 leçons, leçon 11

...
Posted by Zardoz s Way______Photopoésia on Tue, 14 Oct 2008 03:15:00 PST

photopoésia

******photopoésia****** pas de discours, juste une invitation dans cette nouvelle page du z.c'est en cours de construction-déconstruction, les commentaires et amitiés sont de mises....zardoz's way inv...
Posted by Zardoz s Way______Photopoésia on Fri, 19 Sep 2008 03:58:00 PST

PORTES UTILES ?

...
Posted by Zardoz s Way______Photopoésia on Fri, 12 Sep 2008 09:14:00 PST

ôter lostentation (photopoésia summer 08)

...
Posted by Zardoz s Way______Photopoésia on Mon, 08 Sep 2008 05:36:00 PST

DUB : radionomy

...
Posted by Zardoz s Way______Photopoésia on Mon, 11 Aug 2008 10:54:00 PST

La fête du quartier

...
Posted by Zardoz s Way______Photopoésia on Fri, 20 Jun 2008 03:45:00 PST

au loin les nuages étaient gros (photography)

...
Posted by Zardoz s Way______Photopoésia on Thu, 05 Jun 2008 02:35:00 PST

blanc, octavio Paz, 1966 (poésie/poetry)

...
Posted by Zardoz s Way______Photopoésia on Thu, 05 Jun 2008 01:38:00 PST

Campagnes Burgondes- Burgundy fields (pHoToPoEsIa)

...
Posted by Zardoz s Way______Photopoésia on Tue, 22 Apr 2008 02:10:00 PST