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REGARDES ATTENDS !My english is so poor, sorry for the others ! ...
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Les démarches impersonnelles et de Chapelles closes, les profils qui se privent du passant qui passe ...SIC:EXCLURE POUR EXISTER !
les jargoneux de la jaquette, Les intelligences qui se dorent.
Les qui ne savent pas même saluer !!
Les clics sans conscience, les cliques conscientes de leurs systèmes,
Les modeux besogneux.
Les pseudo - trash de la zigounette qui ne savent pas déjouer la censure,
Les vindicatives du clitoris en berne à la diphtongue molle.
Les inquiets du copié-collé.Les zéros héros de l'amour.Les cultureux du graphisme de la catastrophe;
Les agents actifs de la pompe vide.
Les rouges à lèvres vides,
Les colorants 421 lumineux d'être.
Les obsédés du genre nouveau,
Les répondeurs permanents,Les radins généreux de la fausse phrase courte.
Les bio-bio et leur nirvana de livres neufs.
Les horrifiés de la faute et d'orthographe !
Les partout et nulle part
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Les cultivés du "or not", incultes du coeur en actes.
Les sûrs - actifs de la signature,
Les faux perdus ...
☛ Au plus haut de nos certitudes, un vol d'oiseaux nous humilie !
Honneurs aux Fées concrets maladroits
©©© ☛☛ ...le seul fil je ne l'ai pas, de bas en haut et de haut en bas, de pages en pages et de TEMPORA, l' ami est inclassblE ET PEUT TOUT plaquer pour un seul baiser ...Echo ::::::" L'homme moderne n'ose pas penser que chaque jour, à chaque instant, il peut mourir, rendre l'âme, à fortiori être prêt à rendre ses comptes.
L'homme qui n'a pas sculpté la face de sa vie tremble de peur devant la mort parce qu' elle lui apparaît sans face.
Il n'a pu créer la face de sa vie, de même il ne peut créer la face inverse de sa mort.
...Et nous enfantons sur un lit de souffrance
le faux fruit de notre mort ...
Et tous nous finissons comme des filles
au ventre déchiré
qui meurent en enfantant.En ce monde avili où la mort en série est seule "légale", peut-être n'est-il pas utile que se fasse entendre à nouveau la voix du solitaire dont la répugnance pour l'anonymat du choc mortel fut telle, qu'à l'heure ultime, sur son lit de mort, il ne faisait que répéter ce qu'il avait tant de fois exprimé dans son oeuvre : "Je ne veux pas mourir de la petite mort. Je veux mourir de ma mort à moi."
Et la pauvreté c'est encore la mort. Elle aussi dénude l'homme de tout, son rôle à elle aussi est de mettre l'homme à nu.
La pauvreté comme la mort, c'est le dépouillement en nous de tout ce qui n'est pas le feu de l'amour.
La vraie pauvreté, c'est la mort à soi-même dès cette vie.
J'ai le droit de dire de tout mes contemporains qu'ils ne sont que gonflés de leur propre vide, pourris d'amour propre jusqu'à la putréfaction.
Chacun se croit une entité centrale, autonome,capable d'attirer tous les biens vers elle.
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Parce qu'en nos temps d'horreur, l'homme a dénoué les liens qui le reliaient au monde, qui lui donnaient la preuve de sa propre inexistence en lui prouvant qu'il appartenait au tout du monde,maintenant qu'il a tout perdu, solitaire comme un fou, il voudrait que le monde lui appartienne.
Je le dis incapable de se remettre à sa place et de comprendre que quoi qu'il en pense croie ou fasse, il ne saurait être au mieux qu'un visité et un possédé soumis aux lois profondes.
Il ne sait plus que renverser les rôles, penser à l'envers. Cet être qui a perdu le sens de la vie, vidé de tout inapte à être possédé, voudrait à son tour posséder le monde.
Mais le mal ne s'arrête pas là .
Avant de posséder le monde, l' homme veut posséder ses semblables."Je l'ai eu, je l'aurai", mais "moi, on ne m'a pas". Amour- propre=propriété. Les mots ne sont pas vains.
Le besoin de possession de l'homme c'est là le grand blasphème, la grande usurpation...Cet homme qui tient à sa famille, à son rang dans la société, à sa fortune qui s'accroît, à ses propriétés qui s'élargissent, à la réussite de ses dérisoires ambitions civiques, que fait - il d'autre que de prendre des assurances contre l'inévitable accident: La mort.
Il cherche à se bâtir une immortalité de pacotille, que le dernier instant viendra saper d'un seul coup.
L'homme est désaxé. Il a perdu son centre. Il ne sait plus que tout ce qu'il chérit et caresse de tout son amour-propre, celui qui dit : je, en lui, est au plus loin de l'être véritable qu'il pourrait devenir. Son amour propre est l'ennemi de tout ce qui lui est essentiellement propre.Certes, la richesse aussi peut-être grande et lourde de sens.Le luxe, n'est-ce pas le reflet de la lumière ?Et la magnificence a pu servir autrefois à magnifier la manifestation, à dire sa gloire, la richesse aussi est sainte.
Mais pour qu'existe de nouveau une vraie richesse, il faudrait que le monde extérieur puisse être encore le miroir fidèle du monde intérieur de l'homme.
Or, cela n'est plus possible, cela est hors de notre temps.
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..... . ....car les riches ne sont plus riches...
Ils ne sont pas comme ces princes aux moeurs altières
pour qui l'or était fade et sans attrait
et qui passaient chaque jour de leur vie dans l'ivresse...Pauvres ils ne le sont pas, ils ne sont que privés de biens essentiels
...et dépouillés de tout, même du sens de la pauvreté...... .... .
. .... ....Les anciennes sagesses sont perdues, les formes oubliées à jamais.
Le mal est accompli,
il n'y a plus rien à faire.
Pas de salut de ce côté.Jadis, un adolescent pouvait rêver, devenir prêtre, roi, juge, soldat, sans se couvrir de honte, sans se ridiculiser devant les clairvoyants du siècle.
Cela avait un sens terrible et resplendissant. Cela, hier encore, gardait un semblant de sens. Mais maintenant, c'est la mort, c'est la fin...ou la résurrection des siècles.
Aujourd'hui, à chaque homme reste une tâche, arracher toutes les peaux mortes,
les dépouilles sociales, se dénuder jusqu'à se trouver lui-même.
Le temps des noms vivants est mort, bien mort.
Dans la nuit, plus de noms, plus de formes.
C'est maintenant même qu'il conviendrait de lire l'oeuvre de Rilke, parce qu'elle pose dans toute son horreur le problème qui nous rend fous, parce qu'elle dit le mal qui nous tue : la mort des religions.A. Adamov, préface au " Livre de la Pauvreté et de la mort" ; Rainer Maria Rilke.Je t'ai souligné certaines phrases qui me hante depuis toujours.
Je t'aime ne prends pas froid !..
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