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Try the BEST MySpace Editor and MySpace Backgrounds at MySpace Toolbox !Vidéo-maison Mon bel espoir filmé à Paris en avril 05. Merci Fred !
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TOUT ARRIVERien ne peut anéantir quelqu’un autant que de voir ses rêves voler en poussières / Le mauvais sang que j’me fais souvent n’éteint pas mon feu qui bouille en d’dans / Je persévère /Va ma fille / La vie t’attend / Souviens-toi, protège-toi / Laisse-toi pas faire /Va pas croire à l’illusoire y a rien d’plus vrai qu’la trajectoire Conseil de mère /Tout arrive à qui sait attendre / Tout arrive à qui sait attendre /Rien ne peut anéantir quelqu’un autant que de voir ses rêves réduit en poussières / Va pas essayer la fusée qui veut te projeter vers l’inespéré / Garde pied sur terre /Le temps file si vite faut faire bien, évite les précipices et les gouffres des mal aimées / Prends ton temps; allez, comprends comment on traverse une rivière sans se noyer /Tout arrive à qui sait attendre / Tout arrive à qui sait attendre /Rien ne peut anéantir quelqu’un autant que de voir ses rêves voler en poussières /Rien ne peut anéantir quelqu’un autant que de voir ses rêves réduit en poussières /On peut pas tout avoir … en même temps … /Tout arrive à …. qui sait attendre---------------VIDÉOCLIP - Filmé à Berlin en avril 06 - Réalisé par Christopher Langston www.cyclopefilms.com« Tout arrive à qui sait attendre », chante Ève Cournoyer à sa fille dans la chanson d’ouverture de ce deuxième album. L’auteur-compositeur-interprète sait de quoi elle parle. Elle a commencé à jouer de la guitare à 25 ans et se fait une niche avec son rock sorti du bois à la mi-trentaine. Son premier disque avait le nom d’une fleur (Sabot-de-Vénus) et le plus récent s’appelle L’écho, ce qui peut faire songer à écologie. Pourtant, ses musiques n’ont rien de bucolique. Elle bricole des arrangements crus pour nous parler de surconsommation, de rébellion et de c--ur tout abîmé.TAM TAM MACADAM de déc 05Sabot-de-Vénus, premier album d’Eve Cournoyer, se veut l’antidote à la pop conformiste et sans personnalité. De la chanson urbaine, un peu bordélique, mordante et authentique sur le plan musical et poétique. La preuve qu’avec du talent et de la patience, on peut faire de petits miracles. Alexandre Vigneault La presse 28 décembre 2002