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Fati - Ausencia Fiel

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Je suis un extraterrestre
La nuit derière ma porte, gémissent les mots maltraités. Je les laisse entrer, les réchauffe contre mon sein, veuve de toute parole masacrée

Vera Pavlova

Cartes Postales

Porto janvier 2007

Porto

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Barcelone novembre 2006

Barceelone

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Voyage au Portugal
..
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As ondas Quebravamuma a uma Eu estava so com a areia e a espuma Do mar que cantava so para mim

No mar passa de onda em onda repetido O meu nome fanrastico e secreto Que so os anjos do vento reconhecem Quando os encontro e perco de repente

O mar rolou as suas ondas negras Sobre as praias tocadas de infinito

O poesia sonhei que fosses tudo Eeis-me na orlavà abandonada Uma por uma as ondas sem defeito Quebram o seu colo azul de espuma E è como se um poema fosse nada

Sophia de Mello Breyner Andresen (Mar Antologia)

My Interests

Quelques poètes et leur poèmes

Al Berto

On ma donné le coté mouillé de la maison pour vivre Tout autour la terre saturée de graines volantes Les réservoirs d’eau abondante et la nuit fertile Qui fend la soie calcinée des ultimes visions

Je balbutie un chant inaudible… parfois En me levant le matin je pense encore à toi…j’aperçois le fleuve Qui s’approche de la porte et cours au ras du sommeil Lave les cheveux troubles de la jalousie.. réveille L’imbroglio silencieux de l’amour

Ils sont à moi ces lis haletants Elle m’appartient cette fulguration de l’or sur le visage Qui vacille dans le miroir de mon age… à moi ces yeux Effrayés par la joie précaire des pierres Et des violettes arrachée aux poignets…La passion du sang

Les doigts qui courent sur l’arête de verre brisé La respiration étouffée de la ville…Le corps exigu Des mots où j’oublie la voix et me reconnais En toi j’écoute battre le c,,ur du poème

deram-me o lado molhado da casa para viver em redor a terra saturada de voláteis sementes os tanques de abundante água e a fértil noite fendendo a seda calcinada das últimas visões

balbucio um canto inaudível... por vezes ao amanhecer ainda penso em ti... avisto o rio que se aproxima da porta e corre rente ao sono lava os cabelos turvos do ciúme... desperta a confusão silenciosa do amor

são meus estes ofegantes lírios pertence-me esta fulguração de ouro sobre o rosto que se move no espelho da minha idade... meus os olhos assustados pela precária alegria das pedras e das violetas atadas aos pulsos... a paixão pelo sangue

os dedos correndo sobre a lâmina de vidro quebrado a respiração sufocada da cidade... o exíguo corpo das palavras onde esqueço a voz e me reconheço em ti escuto o coração do poema latejar

Pedro Lyra

Vision de l’être / visao do ser anthologie L'Harnatan 2000

As duas faces- olhe bem citadao, e veja o mondo que construimos para seus filhosAbsoluta tranquilidade na ruas Nehuma voz de discordancia Todos num produtivo laborÈ paz, è ordem, è trabalho E motivo nehum para insatisfaçao- Vejo Paz, ordem, trabalhoSeu mundo è seguro como um quartel A vida surgio para o risco de vivé-laNem as folhas da avores balaçam Mas eu Sonho com um mundo de movimento equilibrado Nao com a anulaçao do movimento ;Mesmo as pedras obedecem : Mas eu quero Um mundo onde os contrarios se harmonizem Nao a iliminaçao dos contrariosAtè as almas suam : Mas eu luto pur um mundo Nao apenas onde o homem realiza atividades Tabem onde as atividadesrealizem o homemUm mundo de paz, de ordem, de trabalho (e de justica, E liberdade E de Prazer Decizao

Les deux visages

- Regarde bien citoyen, et vois Le monde que nous construisons pour les enfants :Une tranquillité absolue dans le s rues ; Aucun cri discordant ; Tout le monde au labeur productifC’est la paix. C’est l’ordre. C’est le travail. Aucun motif d’insatisfaction.- Je vois Paix, ordre travailVotre monde est sûr comme une caserne Et la vie a surgi pour le risque de la vivreLes feuilles des arbres ne se balancent même pas : Mais moi Je rêve d’un monde au mouvement équilibré, Pas de l ‘annulation du mouvement ;Même les pierres obéissent : Mais moi je veux Un monde où les contraires s’harmonisent, Pas l’élimination des contrairesMême les âmes transpirent : Mais moi je lutte pour un monde Où non seulement l’homme réalise des activités, Mais où les activités réalisent aussi l’hommeUn monde De paix, d’ordre, de travail(Et de justice, Et de liberté, Et de plaisir.)

Extrait de décision

Herberto Helder

Um poema cresce inseguramente na confusão da carne, sobe ainda sem palavras, só ferocidade e gosto, talvez como sangue ou sombra de sangue pelos canais do ser.Fora existe o mundo. Fora, a esplêndida violência ou os bagos de uva de onde nascem as raízes minúsculas do sol. Fora, os corpos genuínos e inalteráveis do nosso amor, os rios, a grande paz exterior das coisas, as folhas dormindo o silêncio, as sementes à beira do vento, — a hora teatral da posse. E o poema cresce tomando tudo em seu regaço.E já nenhum poder destrói o poema. Insustentável, único, invade as órbitas, a face amorfa das paredes, a miséria dos minutos, a força sustida das coisas, a redonda e livre harmonia do mundo.— Embaixo o instrumento perplexo ignora a espinha do mistério.— E o poema faz-se contra o tempo e a carne.

Incertain grandit un poème dans le désordre de la chair. Il monte sans mots encore, purs plaisir et férocité Peut-être comme du sang Ou ne ombre de sang irriguant l’êtreDehors il y a le monde, dehors, la splendide violence Les grains de raisins d’où naissent Les infimes radicelles du soleil Dehors les corps premiers, inaltérables, De notre amour, Des fleuves, la grande paix extérieure des choses, Les feuilles dormante le silence - l’heure théâtrale de la jouissance.Et le poème grandit recueillant tout en son seinEt déjà nul pouvoir n’abolira le poème Insoutenable, unique, Il envahit les maisons reposant dans les nuits, Les lumières, les ténèbres, autour de la table La force soutenue des choses, la pleine et libre harmonie du monde - En bas l’instrument perplexe ignore l’échine du mystère- Et le poème se fait contre le temps et la chair.

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Les cours de la rivière qui va jamais ne tarit, et pourtant ce n'est jamais la même eau. L'écume qui flotte sur les eaux dormantes tantôt se dissout, tantôt se reforme, et il n'est d'exemple que longtemps elle ait dure. Pareillement advient-il des hommes et des demeures qui sont en ce monde

Kamo no Chomei (Japon)

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Les mêmes personnes et d'autres...

Aux artistes


Le chant des anges


Ces Anges là, ont parfois un coté sombre, mais ils brillent par leur talent. Ils transmettent cette lumière à tout ceux qui les approchent, les écoutent; certains ne font que les entendre, ils ne tendent pas l'oreill ; Ils se laissent éblouir par des néon, et en oublient la lumiére du soleil. Le chant des anges,coule comme une sources pour les assoifés de mots et de notes dorées.Elles ne se tarissent jamais ; on y puise une eau claire ou sombre, selon notre humeur. Le chant des Anges déclanche des tempêtes interieur qui secouent. Il fait couler des rivières au bord des yeux. Un murmure fait écho à leur chant, il est de plus en plus fort : c'est la marée humaine qui reprennent ce chant et forme une unité. Humanité


Estes Anjos, às vezes tem um lado escuro, mas brilhao . Transmitem esta luz aos que ouvem-os; alguns fazem apenas entender-os, não escutao. O canto dos anjos core como fontes para os que têm sede de belas palavras e de notas douradas. nunca se secam , se extrai uma água clara ou escura, de acordo com o nosso humor. O canto dos Anjos acende um fogo interior que agita. Faz corer rios a beira dos olhos. Um murmúrio faz eco o canto dos anjos , é cada vez mais forte, retoma este canto e forma uma unidade. Humanidade

Obrigado à vocês os Anjos, por todos os grandes momentos d'émoçaos fortes. Merci, dank, obrigado, thank you….


A mes amis

Je vous sens près de moi ; à ras du sol , où sur les toits. Ici ailleurs, sur un des échelons de votre vie : en haut, au milieu où en bas. Vous êtes toujours là même si je ne vous ai pas vu depuis des mois, même si je ne vous ai vu qu'une fois, une minute, une heure, un jour, une semaine un mois, une année…J'ai toujours un moment pour vous penser. Je vous entends dans mes moments d'isolement, dont j'ai parfois besoin pour vous retrouver. Vous écouter, vous laisser rire ou pleurer, sans vous juger, sans vous envier et sans pitié. Je ne vous tend pas les mains, je vous les tiens ; pleines, de joie ou de peine, chaudes ou glacées, je vous les tiens avec fermeté. Je vous veux heureux ! Je vous le souhaite de tout mon c,,ur.


Aos meus amigos

Sinto-vos perto de mim; rente a terra o sobre os tectos. Aqui, ali, sobre um dos escalões da vossa vida: em parte superior, ao meio o em partes inferiores, penso em vos mesmo se não os vi a muitos meses, mesmo se vos vi apenas uma vez, um minuto, uma hora, um dia, uma semana um mês, um ano, Encontro sempre um momento para vos pensar. . Entendo-vos nos meus momentos de isolamento, dos quais tenho às vezes necessidade para reencontrá-vos. Ouvir-vos, deixar-vos rir ou chorar, sem estar a julgár-vos, sem envejas e sem piedade. Não vos estendos as maos mas estao segurasr nas minhas; cheias, de alegria o de penas, quentes o geladas, as minhas maos seguras nas vossas Quero-vos felizes!.


Ect, ect...

Movies:

Les films de Coline Serreau et de Claude Lelouche en général

Television:

Toujours éteinte

Books:

La poesie plus particuliérement, et toute la journé", Je vis en plein milieu, mais en voici quelques uns...

Heroes:

Don Quichotte, Cyrano, Albator et les pirates en général, Tous les héros de la quête du graal...

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momento intimo

Se deixar engolir pelo o vazio. Como cai-se num barranco, arrastado pôr uma onda de lágrimas e de sangue, e afogar-se nela. Asfixiar este grito de dor, evacuar-se. Magoas  cada vez mais profunda...
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Parce qu'elle est difficile à manipuler, bien souvent, on fait passer l'intelligence pour de la stupidité, ou de l'arogance. Et le systéme met tout en oeuvre pour formater les esprits, les modeler, po...
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solidão

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Solitude

Il y a ce ruisseau qui coule sous le soleil à l'ombre d'un souvenir présent en manque d'attention ; une caresse à la surfface de l'eau, d'une solitude au goût amer de cette journée qui ressemblle...
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La fuite des sentiments

La fuite du regard au départ sur le quai d'une gare, des sentiments laissés derrière soi. La fuite du cSur s'écoule en larmes au goutte à gouttes, filet ruisselant sur le visage.  Les mains asséc...
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Un Etat dépressif

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Posted by Fati - Ausencia Fiel on Wed, 19 Mar 2008 02:56:00 PST

Suicide social

On m'avait dit que la meilleur façon de disparaître, étais de jeté mes papiers par la fenère : j'ai donc coupé ma carte d'didentité,  déchiré mon pasport, , brûlé mon acte de naissaance, ainsi qu...
Posted by Fati - Ausencia Fiel on Sat, 01 Mar 2008 01:44:00 PST

Les mots infectés

Un des recepteur est brouillé par des parasites qui s'emparent de la voix et des mots, les infectent et leurs font dire n'importe quoi. Ils courent plus rapidement que la pensé. Impossible de les ratr...
Posted by Fati - Ausencia Fiel on Sat, 01 Mar 2008 01:53:00 PST