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TIMOUN A JAH

tout est question d'éducation

About Me



TIMOUN A JAH
Tout est question d'éducation

Projet simple : une famille d'artistes qui se regroupe autour de riddims concoctés dans les home-studios du posse. Ces riddims s'appellent 'Praise', 'Meditation', 'Red Sea', 'Conscious', 'River', 'Ambassador' et 'Zion Boat'. Rien de tel que cette énumération pour saisir la dimension mystique du collectif. Timoun A Jah fait partie de ces artistes de reggae dédié à la prière et qui se moque des modes pour ne faire que ce qu'il ressent. Et ce qu'il ressent, c'est certainement une profonde affliction face à ce monde qui serait bien désespérant pour eux si le Most High, Jah Rastafari, ne venait pas mettre du baume sur leurs coeurs. Ils le disent eux-même : c'est une rencontre spirituelle qu'ils proposent. On pense au travail effectué, il y a peu par Jah Wisdom et le collectif Sunu Gal qui redonait une vitalité au reggae du Sénégal et à la musique des Lebous. Mentionnons le slogan qui sert de titre à leur disque et qui rappelle l'éducation. A faire péter avec les watts pour que la méditation soit puissante. (Bruno Debord pour Ragga Magazine)

My Interests

Music:

Member Since: 9/6/2006
Band Website: CONTACT 06.89.40.40.53:infohilionstudio@yahoo.fr
Band Members:

Tilion :

Tilion commença sa carrière musicale en 1995 en tant que chanteur et percussionniste Nyabinghi.
En 1996, Il se met au clavier et fonde un trio vocal composé de Gaidi Gad et Kaptain ayant pour nom Rainbow warriors.
Après deux années de collaboration et quelques scènes, ils forment ,en 1999, le groupe Sijahlé toujours dans la même direction artistique, paroles militantes et incisives.
Tilion commence alors à investir dans du matériel d’enregistrement afin de pouvoir fixer les morceaux du groupe, il produiront un quatre titres. En 2001, le groupe se dissout.
Tilion débute alors sa carrière solo en tant que compositeur et s’enferme dans son studio.
Parallèlement, il continue d’enregistrer pour le Shaka Notty Band.
En 2003, il rencontre Mani levy, Shaman et Jah Good. Avec ces deux derniers, ils réaliseront une mixtape intitulée « Pitit a Jah » ainsi qu’un titre sur le second volume « Soldats a Jah » enregistrée au studio Apache.
En 2004, il commence a recruter des artistes lors des concerts avec l’objectif de produire une compilation Roots. Un an plus tard, naît le projet de la compilation Timoun a Jah et pendant une année et demi, Tilion va composer et enregistrer plus d’une vingtaine de titres, 77 minutes de son mixé non stop.
En 2005, Tilion commence à travailler sur son propre double album Tilion Dub &friends qui s’intitule « Part of my life », une collaboration avec le musicien Far East et certains artistes Timoun a Jah.
En 2006, il coproduit 17 titres pour l’album de Natanjah et Nephtaly, qu’il compose, enregistre et arrange au Hi-Lion studio.



Ganja tree :

Installé depuis quelques années à Paris, Ganja Tree a quitté les Blue Mountains de la Jamaïque pour venir grossir les rangs de notre scène reggae hexagonale. Son credo : Roots & Culture, Love & Reality.
Après ses deux premiers albums « Inspiration » et « International », le « ganjahman » sort le 15 janvier son troisième opus intitulé « Babylon Big Street ». Inutile de réviser son code de la route ou d’emprunter les passages cloutés, les rues de Babylone sont à sens unique et pavées de mauvaises intentions. Avec Ganja Tree comme copilote, vous trouverez aisément la prochaine bretelle d’accès pour Zion. Tree of Life...






Colin I :

Colin I est né en 1965 à New Amsterdam en Guyane anglaise.
Élevé par sa grand mère, il y passera toute sa jeunesse. Très tôt, il se découvre une passion pour la musique et s'exerce constamment à donner le rythme en tapant sur des boites (Table boxes).
Une passion qui va le suivre jusqu'à l'école où il commence à chanter puis à écrire ses propres lyrics, ce qui, en 83, l'amènera à enregistrer son premier morceau intitulé "Married and Dis"
En 1985, il décide de partir pour la Guyane française. Il chante toujours mais la musique n’est pas sa première préoccupation. A cette époque, il est vendeur sur le marché et se contente alors de faire des reprises de Dj’s comme Beenie man ou encore Terror fabulous.
C’est avec le Chosen Few, un groupe devenu mythique en Guyane, qu’il va faire ses premières armes, et en 88, sortira le titre « Oulé en ville ».
Les thèmes de Colin I sont toujours conscients et véhiculent certaines valeurs telles l'honnêteté, l'obéissance, le respect et la confiance, la solidarité et le partage. Il y dénonce souvent la corruption, les inégalités et la frustration....
Si sa principale inspiration lui vient du grand Bob marley, son style se rapproche plus des sing-jay, influencé par des artistes comme King Yellowman et son flow rappelle parfois big youth, un deejay jamaïcains des 70‘s.
En 98, il enregistre "House broke ", un titre écrit suite à 7 cambriolages dont il fut victime. En peu de temps, le morceau devient un Hit en Guyane et dans les caraïbes, Colin I se produit alors sur de nombreuses scènes dont celle du célèbre Blue Note. La même année, suivra un album maxi intitulé "Life corrupt " et suite a ses différents succès, Colin I devient de plus en plus populaire. Il réalise les meilleures ventes en Guyane et est élu meilleur nouveau talent.
En 99, il fera un concert solo à Dackra creek accompagné par Mingeh Music Machine, un orchestre trés réputé en Guyane anglaise où Il jouera aussi avec Masha Montana à Tors Park avant de se retrouver à partager la scène avec Beenie man au National Park, en 2001.
En 2000, il participera à un concert du Secteur A en Guyane française aux côtés de Mc Janik, Guy’al Mc, Admiral Sim, etc...
En 2001, une de ses relations va le convaincre de venir en France pour enregistrer.
Colin I fera le déplacement mais malheureusement pour lui, le projet n'est pas à la hauteur des promesses qu'on lui avait faites.... Il réussira quand même a sortir un titre sur la compilation " Ragga connection" mixée par Dj XELA (2001_sony music).
En 2002, il réalise le maxi " Jah love is true " suivi de " Big druma " en 2004, sorti chez Universal.
L’année suivante, il enregistre « Band de don » qui est sorti sur « Reggae night fever » , le maxi du chanteur Baby G. Au studios s’enchainent les scènes et Colin apparait dans bon nombre de salles parisiennes (batofar, ) ou en province avec Ras Mac Bean et Irie Ites sound system, ainsi qu’en allemagne avec le Lazy Band.
En 2006, il rencontre Tilion et enregistre les titres « Hell » et « Granny rule » sur la compilation Timoun A Jah Sound. Il travaille actuellement avec Tilion sur son album et collabore aussi au prochain album de Tilion « Part of my life ».



Ashanti :

Ashanti, alias "Princess black", est une jeune artiste de 24 ans originaire des Bermudes.
Dés son plus jeune âge, elle fait partie de la chorale de son école et de l’église, ce qui lui donnera cette voix digne des plus grandes diva de la musique noire.
Puis elle s’initie à la musique dans une école où elle apprend le piano, le violoncelle et le saxophone.
Arrivée en France en 2005, elle commence à enregistrer pour un groupe de bordeaux, le Zion Project. Puis elle fera les backs pour Lyricson et d’autres membres du Black Unite Crew.
En 2006, elle rencontre Tilion avec qui elle enregistre le titre "Give I Strenght ", une prière remplie d’émotion dans laquelle elle demande au tout puissant de lui donner la force de résister. De sa voix puissante et cristalline, teintée de soul et de gospel, elle vient toucher nos âmes au plus profond sur une musique acoustique envoûtante.
Elle travaille actuellement sur son album.




Gaidi Gad:

Originaire de la Guadeloupe, GAIDI GEORGES GUIOK a grandi en France, se passionnant trés tôt pour la musique Soul.
Il y découvre le Reggae dans les années 70/80, ce qui lui fait prendre conscience de son rôle à jouer en tant que Rasta. Il se consacre donc à faire passer un message à travers la musique. « Chanteur pour Jah ! » voilà comment il se définit.
En 1994, il forme son premier groupe, le Roots Riddim, puis n 1996, il rencontre Tilion et Kapt , deux artistes avec qui il forme le « Rainbow Warriors ».
Président de l’association Shaka Notty, il fonde aussi le Shaka Notty Band avec lequel il enchaîne les concerts associatifs et humanitaires avec toujours le même mot d'ordre: « Vivre pour unir les frères et les soeurs ».
En 2005, il enregistre pour la compilation TIMOUN A JAH SOUND.
Son titre « Ambassadeur Jah Jah », véritable hymne à la prise de conscience Rastafari, reflète parfaitement le combat qu’il ne cesse de mener jour après jour dans sa vie et sa musique.



Sista Blunty :

Depuis toujours, Sista Blunty baigne dans la musique.
Très jeune, elle commence l’apprentissage du solfège par le biais du piano qu’elle pratiquera jusqu’à son adolescence. Elle découvre ensuite le Reggae avec une amie de ses parents alors manageuse de Zoanet Comes, un artiste reggae ivoirien.
C’est une révélation! Elle commence à collectionner des 45 tours de productions jamaïquaine et, en 1997, elle fonde le « Love & Unity Sound System » avec d’autres soeurs.
Elles organisent de nombreux Sound Systems sur des péniches ou encore dans des salles comme Espace Massena.
Son premier voyage en Jamaïque, en 1999, lui permet de rencontrer des artistes comme U-Brown et Braveheart avec qui elle fait une combinaison ayant pour titre: « Tell Me ».
En rentrant à Paris, elle fera un temps les choeurs pour Bruno Blum.
Sa rencontre avec Tilion aboutira sur l’enregistrement d’une chanson dédiée à la Terre Mère et intitulée « Mama Afrika » sur la compilation TIMOUN A JAH.




Iedayah :

Iedayah débute sa carrière de chanteur en 1998 sous le nom de DIKT. Il évolue alors avec des groupes Reggae et Ragga et réalise plusieurs scènes avec le groupe « Jah Soldiers ».
Il participera aussi à une mixtape du groupe « Mount Zion » avant d’intégrer le « Ndbf Crew », possee ragga guadeloupéen et d’enregistrer sur une compil du « Maladeef Squad ».
En 2002, il enregistre 2 titres sur la compilation Timoun A Jah .
La musique d’Iedayah est consciente, les thèmes qu‘il aborde sont universels et s’adressent a toutes les générations.
Positifs, éducatifs et revendicatifs, ses textes rendent hommages à tous ceux qui ont contribué à la création du patrimoine spirituel dans le monde.




JLJ :

J.L.J est un artiste originaire de la Guadeloupe.
Arrivé en France dans les années 90, il s’ouvre à d’autres styles, particulièrement, au Rap avec Assassin, IAM, NTM, Public Enemy... et au Reggae avec Bob Marley, Peter Tosh, Israël Vibration..
En 1995, il sera amené à être qualifié pour un tremplin du Printemps de Bourges avec son groupe « Alerte 78 ».
Après quelques années, il change de style pour le ragga -Hip hop et rebaptise son groupe Abyssinie. Il réalise alors une maquette intitulée « Motivé » à la suite de quoi, il donnera plusieurs concerts.
C'est en 2003 que sa carrière musicale s’oriente concrètement vers le Reggae.
En 2005, il enregistre le titre:« Prié » sur la compilation Timoun a Jah.
Ses textes tendent à faire découvrir la diversité culturelle de son île et à assurer la continuité du mouvement Rastafari que nous ont transmis par les grands leaders du Reggae.



Kiki :

Née à Paris, de père Guinéen et de mère Camerounaise, Kiki Diallo est issue d’un métissage culturel qui se ressent pleinement dans sa musique.
A ses 20 ans, elle s’installe à New York où elle travaille dans l’industrie du Hip Hop. Elle fréquente les milieux culturels Blacks et y rencontre grand nombre de musiciens jamaïcains.
Elle devient choriste pour le One Drop Band, dont le leader est l’actuel bassiste de l’artiste jamaïcain Anthony B.
Elle se produit sur les scènes Reggae New Yorkaises telles le Lion’s Pen, Nell’s et le Bowery Poetry Club. Parallèlement, elle organise des concerts visant à promouvoir les artistes africains et caribéens.
De retour a Paris, elle rencontre Tilion et enregistre le titre: « WARRIOR GOD » sur la compilation TIMOUN A JAH SOUND.
Les influences musicales de Kiki Diallo vont d’Aretha Franklin à Burning Spear en passant Fela Kuti sans oublier les rythmes traditionnels de percussions d’Afrique de l’ouest et les chants spirituels Orishas cubains



Ti Tig :

Né à Paris, Ti Tig écoute du Reggae depuis sa plus tendre enfance.
Fidèle auditeur des émissions de lord Zeljko sur Radio Nova, il a grandi entre la Péniche Rubis et le Stadium, deux lieux mythiques de la scène Reggae dans la capitale.
Vers l’âge de 20 ans, il commence à jouer la guitare basse en reprenant des standards Reggae ou Ragga.
Puis, pendant 5 ans, il va évoluer avec BU FAR TAS, un groupe folk (Soul, Salsa, Reggae) avec lequel il fera une dizaines de concerts:
Ti Tig est un jeune artiste soucieux d’avoir une bonne influence sur les plus jeunes.
Ses textes visent à l’éducation de la nouvelle génération par la transmission de valeurs culturelles telles que l’histoire et les coutumes traditionnelles.



Sista Funny :

D’origine Chilienne, Sista Funny à découvert le Reggae par le biais de sa mère, exilée pour raisons politiques.
Chanteuse et choriste, Sista Funny s’adonne aisément à tous les styles, du Reggae au Hip Hop en passant par le Pop Rock.
Elle évolue un temps au sein de petits groupes en France (Mégazeb, Outland) jusqu’en 1995, période à partir de laquelle elle se consacre exclusivement au Chili et où elle participe a de nombreux projets d’artistes tels Checho Sounder, Mc Ghetto, Mc Black JahRman, Mc
A son retour en France, il y a de cela 3 ans, elle prêtera sa voix pour les choeurs du Shaka Notty Band et Blanca, une chanteuse de salsa.
En 2005, après s’être consacré à son petit garçon, elle rencontre Tilion et enregistre un titre pour la compilation TIMOUN A JAH dans lequel elle vient nous délivrer un message d’Amour et d’unité.




Natanja :

Phébidias Patrick alias "Ras Issakar Natanja" est né le 05/08/1979 aux Abymes en Guadeloupe de parents Martiniquais....
Ses premiers pas dans la musique s'éffectuent avec un ami d'enfance qui lui apprend le "beat box".
Il quitte son île natale, vers ses 17 ans, pour la Martinique où il découvre la poésie et la percussion...
Il s'engage donc avec une troupe de danseurs percussionnistes, où, ensemble ils réalisent une belle prestation pour le Festival de Fort de France (Martinique).
Sa formation continue avec des groupes tel que Canabubbl'z (fuzion musicale : percu guitare voix)mais aussi avec des expériences dans le hip hop martiniquais.
Tout change lors de son arrivée en France avec le groupe Canabubbl'z, ils se séparent, et Natanja décide de poursuivre sur la voie musicale...
Il devient manager de Lyricson ce qui lui permet de faire de nombreuses rencontres mais surtout de voir le coté administratif de la musique.
C'est alors qu'il décide de tracer son propre chemin a travers le chant.
Son style est issu du Reggae et du Ragga actuel, mais composé avec une touche de Blues et de Rock dans l'inspiration.: Marvin Gaye, Stevie Wonder,Barry White, Bob Marley, Garnett Silk, Jomimi, Akyo, Eugène Mona, Capleton, Jah mason, Sizzla Kalonji
Son message est simple: plus d'amour, plus de justice et plus de respect pour la vie que l'Eternel à créée, car nous sommes tous ses créations, donc plus de respect pour l'Eternel Jah lui même.
Natanja est pour un renversement politique car cette dernière ne représente plus le peuple d'aujourd'hui..Mais aussi pour la fin des divisions a cause des differents cultes religieux et des idées telle que les divergences raciales, ce ne sont que des sentiments de vanité, sachons tous que le jugement est personnel....
E-mail: lions.flame@yahoo.fr




Natural High:

Natural High (ex Mister Irie) découvre le reggae vers 1989.
Pendant des années, en compagnie de son frère, Brother Live High, ils fréquentent assidûment les Sounds Systems locaux.
Très attaché à la pure tradition Reggae roots, ses influences (Bob Marley, Wailing Soul, Earth & Stone, Lee Perry ou encore Congos) vont du Rocksteady jamaïcain jusqu’au Dub Stepper anglais en passant par les classiques de Jazz, de Soul, de Rythm & Blues où même de Rock. Sa voix perçante, au timbre si particulier, est dans la même veine que les Congos ou encore Hugh Mundell.
Il apparaît sur de nombreuses productions dont certaines en compagnie de Junior Cony avec qui il réalisera les 1ère partie de Stanley Beckford lors de sa tournée en France en 2003. Il enregistre1 titre avec junior Cony sur l'album « Peace Monger » sorti chez Wagram cette année. En 2005, il enregistrera 2 titres pour Tilion sur la compilation Timoun A Jah, suivis de nombreux autres amenés à sortir très bientôt.
Ses textes, toujours engagés, appellent à une prise de conscience sur ce qui doit prédominer dans nos vies tel l’amour, la paix, l’unité, le respect, la tolérance, la sagesse et la droiture d’esprit.



John Kirby :

John kirby est né en 1978 a New Amsterdam(Guyane).
Promis à une carrière de boxeur, il part pour Cayenne où il va rencontrer le »Chosen few », groupe de reggae de référence en Guyane, qui comprenait déjà les pointures de GeorgeTown telles que Jason ( leader de l’actuel backing band français « My Band »), Ras Mac Bean (cousin de John Kirby), Nazeem (leader du groupe), Tiger, Stanley et bien d’autres talents. Suite à quoi, il monte le «Nazeem sound system » en 1995 et qui se fera rebaptiser « Champion Sound » compte tenu de sa prédominance dans le clash jusqu »en 2004. En 2005, il enregistre 2 titres sur Timoun a Jah dont un en compagnie de son fils Prince Simon alors âgé de 5 ans !
De son style ruff et incisif, il s’est fixé l’objectif d’éduquer les plus jeunes sur les méfaits des mauvaises influences et de la violence.




Prince Simon :

En 2005, Simon, le fils de John Kirby, est seulement âgé de 5 ans lorsqu’il enregistre pour la première fois, sur la compilation « TIMOUN A JAH SOUND », mais il possède déjà une vibe et un feeling digne des plus grands comme le démontrent les deux titres qu’il a posé en compagnie de son père.



Molyah :

Ras Molyah est Multi instrumentiste (Basse, guitare, chant), ses influences passent par le Reggae ou le Rap sans oublier la musique des Antilles dont il est originaire.
Sa carrière musicale débute en 1996 avec le RADICAL CONCEPT , un groupe Hip Hop dans lequel il mêle le rap et le chant. Après un beau parcours, l’aventure se terminera en 1999.
En 2000, il rentre dans le groupe reggae « AFRO BABYLONICA » où il évolue en tant que bassiste et chanteur jusqu’en 2003.
Entre 2003 et 2004, il est guitariste pour le groupe Reggae YAKAOSER avant de créer le groupe FAYAHTITUDE en 2004 dans lequel il est le chanteur lead.




Brother Live High :

Brother live I était destiné à devenir chanteur.
Né d’un père choriste, il commence à chanter dés son pus jeune âge.
A 8ans, il compose déjà ses propres textes et mélodies sur les faces B des 45 tours.
Grand amateur de musique, il commence alors a collectionner les sons des années 60/70/80.
Plus tard, il fréquentera assidûment les sounds systems, avec son frère, dont ceux organisés au Garage 53.
Puis il travaillera avec le dub project band et d’autres formations telles que Fundamental, Dr Reggae,Natural High Sound ou encore roots steady.
En 2005, il enregistre le titre: sur la compilation Timoun A Jah
Sa voix douce et ses mélodies souvent nostalgiques, voire parfois mystiques sont influencées par les plus grands chanteurs de l’âge d’or du Reggae comme Sugar Minott, Ken Boothe, Horace Andy...
Ses textes parlent d’amour et d’unité et nous renvoient à nous même, à se remettre en question et à prendre du recul par rapport au système...




Far East :

Far East commence à jouer du mélodica en 2000.
Il travaille alors avec de nombreux groupes reggae sur Paris dont « Sapouja » et « Roots of the tree » et enregistre des dubs pour des productions telles que »Rootspirit », ou « One love music ».
Avec Roaring Echo, son frère, ils vont ensuite monter leur propre sound: »Down Town Sound system » avec lequel ils réalisent plusieurs premières parties avant de se séparer en 2004.
En 2005, il rencontre Tilion et enregistre de nombreux titres dont certains figurent sur le 1er volet de la compilation Timoun A Jah dont la sortie est prévue en fin d’année 2006.
De leur collaboration naîtra une vibe qui n’est pas sans nous rappeler, feu le grand, Augustus Pablo, entre le Roots revival et le Dub Anglais.


Sounds Like: CONTACT BOOKING/ 06.21.90.71.32
Record Label: A ZEBULON PROJECT RECORDS
Type of Label: Indie

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