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Influences:PETER SINGER by himself : "My work is based on the assumption that clarity and consistency in our moral thinking is likely, in the long run, to lead us to hold better views on ethical issues." /
"As an original and influential moral pioneer, Prof. Singer surpasses any philosopher since Bertrand Russell."
Peter Unger /L'égalité animale expliquée aux humains parPETER SINGER, philosophe australien actuellement titulaire de la chaire d'éthique de Princeton. Il est partisan d'une éthique utilitariste. Il a travaillé à deux reprises pour l'université de Monash, où il fonda son centre de bioéthique humaine. Il fut reconnu comme l'humaniste Australien de l'année par le Conseil des Sociétés Humanistes Australiennes.
En dehors des cercles académiques, Singer est surtout connu pour son livre Libération Animale, considéré comme le livre fondateur des mouvements modernes de droits des animaux. Il a influencé les mouvements modernes de protection des animaux. Dans son ouvrage, il argumente contre le spécisme : la discrimination entre les êtres sur la seule base de leur appartenance d'espèce, presque toujours en pratique en faveur des membres de l'espèce humaine et en défaveur des animaux non humains. L'idée est que tous les êtres capables de souffrir ou d'éprouver du plaisir (êtres sensibles) doivent être considérés comme moralement égaux, en ce sens que leurs intérêts doivent être pris en compte de manière égale. Il conclut en particulier que le fait d'utiliser des animaux pour se nourrir est injustifié car cela entraîne une souffrance disproportionnée par rapport aux bienfaits que les humains tirent de cette consommation ; et qu'il est donc moralement obligatoire de s'abstenir de manger la chair des animaux (végétarisme), voire tous les produits de leur exploitation (végétalisme).Des milliards d'animaux sont tués chaque année en France, sous le simple prétexte de traditions culinaires. Puisque tous les animaux, y compris les humain-e-s, peuvent souffrir et veulent l'éviter, n'est-il pas légitime de considérer également les intérêts de tous les êtres sensibles ?"Ce livre porte sur la tyrannie que les humains exercent envers les autres animaux. Le combat contre cette tyrannie est un combat aussi important que n'importe laquelle des questions morales ou
sociales qui ont été l'objet de luttes ces dernières années."Texte fondateur du mouvement antispéciste, qui remet en cause la domination de l’homme sur les animaux non humains en se basant notamment sur ce principe :
«Le jour viendra peut-être où le reste des animaux de la création reprendront possession de ces droits qui n'ont pu leur être enlevés que par la main de la tyrannie. Les Français ont déjà compris que le fait de posséder une peau foncée n'est pas une raison qu'on vous abandonne sans plus y penser aux mains d'un bourreau. On admettra peut-être un jour que le nombre de pattes, la pilosité de la peau [...] sont également des raisons insuffisantes pour abandonner un être au même destin. [...] La question n'est pas: peuvent-ils raisonner? Ou: Peuvent-ils parler? Mais: Peuvent-ils souffrir?ȃd. Tahin Party, 1999. /“Il y a les bons livres... divertissants, utiles, éducatifs ; les livres excellents... dont le message révèle une vérité fondamentale encore inconnue ou ignorée ; et il y a les livres importants... qui peuvent sauver des vies et réduire la souffrance : Eternel Treblinka est les trois à la fois ". /« Le livre de CHARLES PATTERSON pèsera lourd pour redresser les torts terribles que les hommes, au fil de l’histoire, ont infligés aux animaux. Je vous incite vivement à le lire et à réfléchir Ã
son important message. » JANE GOODALL, primatologue /« Le défi moral posé par Un éternel Treblinka en fait un livre indispensable pour celui qui cherche à explorer la leçon universelle de la Shoah. » Maariv, journal israélien /Présentation de l’éditeur La souffrance des animaux, leur sensibilité d’êtres vivants, est un des plus vieux tabous de l’homme. Dans ce livre iconoclaste – que certains considéreront
même comme scandaleux –, mais courageux et novateur, l’historien américain Charles Patterson s’intéresse au douloureux rapport entre l’homme et l’animal depuis la création du
monde. Il soutient la thèse selon laquelle l’oppression des animaux sert de modèle à toute forme d’oppression, et la « bestialisation » de l’opprimé est une étape obligée sur le chemin
de son anéantissement. Après avoir décrit l’adoption du travail à la chaîne dans les abattoirs de Chicago, il note que Henry Ford s’en inspira pour la fabrication de ses automobiles. Ce
dernier, antisémite virulent et gros contributeur au parti nazi dans les années 30, fut même remercié par Hitler dans Mein Kampf. Quelques années plus tard, on devait retrouver cette
organisation du « travail » dans les camps d’extermination nazis, où des méthodes étrangement similaires furent mises en œuvre pour tétaniser les victimes, leur faire perdre leurs
repères et découper en tâches simples et répétitives le meurtre de masse de façon à banaliser le geste des assassins. /Bouleversant de vérité pour tous ceux qui défendent le VIVANT !
Catherine Desert, le 15 janvier 2008
la comparaison avec les camps de la mort ne peut choquer que ceux ou celles qui s'estiment SUPERIEURS aux autres créatures vivantes, alors que toutes vies - de la plus humble à la plus
élaborée - s'avèrent profondément liées entre elles. TOUT ce qui arrive aux autre règnes de la nature ( et en particulier aux animaux ) finit tôt ou tard par nous arriver
aussi...Comprendre cela, c'est rester HUMAIN justement.
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