-"Urban Show" mélange d'humour et de slam avec notamment Thomas N'jijol, Grand Corps Malade et Hocine Ben.
-"on Louvre on slam" avec Toni Morrisson et D de Kabbal.
-compilation "Bouchaz'oreilles Expérience" sortie chez Because music.
-"Bristol festival poetry" Angleterre vs France avec Dame Gabrielle Ucoc et Félix J.
Actuellement elle prépare son album avec l'artiste Rocé.
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A PROPOS DE Bouchazoreill'slam expérience:LA COMPILATION SLAM!
"Bouchazoreill' fait danser le verbe sous une pluie de rythmes et de mélodies métissées, donnant au langage de la rue et d'ailleurs, la place qui lui revient, hors de boudoirs poussiéreux et gens guindés, loin d'un certain snobisme intellectuel sans pour autant être dépourvu d'intelligence. Un album fort, audacieux, imaginatif, créatif qui dépoussière avec talent la langue française."Roland Torres Pour Waxx music le 28 mai 2007
«Pourquoi y a-t-il des morceaux a cappella, juste slammés ? D’ de Kabal : Il était hors de question de faire un disque sans mettre de l’a cappella, dans la mesure où on s’est entouré des gens qui travaillent leur voix comme une matière, un instrument. Un morceau comme Le Slammiste, de Mohamed Rouabhi, n’a pas besoin de musique. Grand Corps Malade, Le Meilleur Ami des Mots ou Hayet connaissent bien leur sujet » D'de Kabal sur RFI le 29 mai 2007
« Et par-delà , des personnalités qui tranchent plus que d'autres : le cynisme mordant de Felix J - co-auteur d'un remarquable polar musical "Dum Dum", la tendresse désenchantée de Julie, institutrice le jour ("Ta main dans ma main"), l'humour corrosif du griot John Pucc ("Kebe"), la rage froide de Hayet ("Alleluiah Seigneur") ou encore, la poésie engagée du comédien Mohamed Rouabhi ("Le Slamiste). » Popnews Mai 2007
(Félix J, D' de Kabal, Julie, Nada, Mohamed Rouabhi,Yo, Ucoc, Azé,Le meilleur ami des mots, Le Robert, Droopee et Teucha,Grand corps malade, 129h, John Pucc, Hocine Ben, Abd El Haq, Spoke Orchestra, Hayet)
A PROPOS DES MOTS:
"Qu’il soit grandiose ou fragile, souterrain, explosif, ou qu’il refuse de sanctifier ; qu’il éclate de rire ou soit un pleur dénué d’alphabet, qu’il choisisse son mot ou préfère le silence, un langage non brutalisé jaillit vers la connaissance, pas vers sa destruction. (…) Le travail des mots est sublime (…) parce qu’il est génératif…(…)" Toni Morrison, Discours de Stockholm, 7 décembre 1993