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Le Ping Pong
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Après un premier album, "Songs for mum and dad" (2002, Prohibited Records/Wagram) que l'on pourrait rapprocher de l'oeuvre hypothétique d'un chanteur pop français tel le jeune Gainsbourg, ou Philippe Katerine, sous influences lo-fi du maître Daniel Johnston, Wilfried*, chanteur de charme barbu, revient sur scène et bientôt avec un nouvel album ouvertement plus pop et plus ambitieux. En solo ou en groupe (Jérôme Laperruque, GTM de Temple Temple, Cyril Guillanneuf de Luke et Winter Camp, Adeline Fargier de Troy Von Balthazar), avec ou sans invités (Herman Dune, Arnaud Fleurent-Didier, François "French" Gallet, Olamm, Paloma), la voix de Wilfried* rappelle la douceur de chanteurs Brésiliens tels que Caetano Veloso et se pose, en anglais et en français, sur des canevas de musiques brillantes, pouvant prendre des allures franchement pop ou laissant place à des arrangements typés 80's. Telle est la créativité de Wilfried*, pertinente, changeante, toujours charmante.
En 2006-2007, ils ont dit de Wilfried* :
« Wilfried*, un artiste qui a des étoiles dans son nom et dans sa musique. »
Johanna Seban, Les Inrockuptibles
« Qu’est-ce que la pop finalement ? L’once d’amertume et de nostalgie posée sur des mélodies positives. A ce petit jeu, Wilfried fait fort et frappe dans la même catégorie qu’allez… Un "Dead end street" chanté par Ray Davies, peut-être un "Huitième ciel" hululé par Katerine (avant qu’il ne se mette à écouter LCD Soundsystem). »
Bester Langs, Gonzai
« Wilfried Paris fait de la musique et possède un myspace. "Qui est avec moi ?", c'est la question de sa parfaite love song - bluette, aérienne et caressante, en français qui ne tâche pas s'il vous plait. "C'est cette fille, c'est l'amour", c'est notre réponse. Ne t'étonne pas si demain matin tu chantes encore ça. »
Redhotcar, Fluokids