Karin Viard NON OFFICIEL profile picture

Karin Viard NON OFFICIEL

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Karin Viard est née le 24 janvier 1966 à Sainte-Marguerite-sur-Duclair en Normandie. Elle choisit d'abord la carrière théâtrale avant de se tourner vers le cinéma. A 23 ans, elle tient son premier rôle dans Tatie Danielle d'Etienne Chatilliez. S'enchaînent ensuite plus d'une quinzaine de films réalisés notamment par Christine Pascal, Mathieu Kassovitz ou Christian Vincent. Ses derniers films, La nouvelle Eve de Catherine Corsini et Haut les coeurs de Solveig Anspach, sont à peine sortis que déjà elle se prépare à retravailler avec Michel Spinoza.Elle rêvait d'être comédienne de théâtre. Aujourd'hui, à trente-trois ans, elle est l'égérie du jeune cinéma d'auteur et joue les premiers rôles sous la direction de cinéastes prestigieux tels que Alain Tanner, Cédric Klapisch ou Diane Kurys. " La nouvelle Eve " du cinéma français sent la mer et les pommiers de sa Normandie natale. Comme eux enracinée dans la justesse et la truculence, elle est changeante comme la mer : aussi heureuse dans le registre comique de ses débuts que dans l'approfondissement d'un personnage douloureux. Dans chacun des films où elle joue, son interprétation passe par une transformation physique radicale et elle semble s'amuser de l'effet de surprise que génèrent ses métamorphoses. Karin Viard incarne le plaisir de jouer, de tout jouer : " Aussi bien le bourreau que la victime, les putains que les nonnes, les garces que les naïves ", de jouer sans cesse. C'est ainsi, dans l'éclectisme de rôles qui s'enchaînent et non dans l'enfermement d'une image ou d'une quelconque filiation, qu'elle a trouvé sa voie et sa résonance propres, au croisement de plusieurs veines du cinéma français. Avec sa bonne nature forte et gouailleuse, un talent qui doit beaucoup au théâtre et à la comédie, elle décolle les étiquettes, transcende les catégories et impose une autre vision de l'actrice et de la femme. ------------------------------------------------------------ ------------------- Fille d'un directeur de plate-forme pétrolière, Karin Viard passe la majeure partie de son enfance chez des grands-parents au caractère fantasque. Après deux ans de conservatoire à Rouen, l'adolescente monte à Paris où elle suit les cours de comédie de Vera Gregh et Blanche Salant, avant de tourner dans des courts métrages et quelques téléfilms. Les spectateurs découvrent le tempérament comique de cette rousse pulpeuse en 1989 dans Tatie Danielle et l'année suivante dans Delicatessen. La critique salue bientôt la singularité d'une comédienne qui se métamorphose de film en film, comme en témoignent ses prestations dans La Nage indienne et Emmène-moi, réalisés par les auteurs débutants Xavier Durringer et Michel Spinosa.A partir du milieu des années 90, la comédienne enchaîne les premiers rôles, ses compositions dans Fourbi de Tanner, Les Randonneurs, la comédie à succès de Philippe Harel et -sur un mode plus sombre- Adultère mode d'emploi étant particulièrement remarquées. En 1999, Viard s'impose comme une actrice de premier plan, grâce à deux rôles qui lui permettent de montrer l'étendue de son répertoire. Célibataire débordant d'énergie dans La Nouvelle Eve de Corsini, elle est une femme atteinte d'un cancer dans Haut les coeurs ! de Solveig Anspach, un rôle délicat qui lui vaut le César de la Meilleure actrice en 2000. De plus en plus sollicitée, elle prend part à des comédies chorales telles que Reines d'un jour de Marion Vernoux, et Embrassez qui vous voudrez de Michel Blanc, pour lequel elle décroche un César du Meilleur second rôle féminin en 2002.Louée pour son abattage (France boutique), Karin Viard se révèle tout aussi convaincante lorsqu'elle incarne des personnages plus en retrait, comme ceux de L'Emploi du temps (2001), du Rôle de sa vie ou du Couperet. Fille dévouée dans L'Enfer, mère déprimée dans La Tête de Maman (2007), cette anti-star enchaîne les projets, retrouvant ses vieux complices Christian Vincent et Catherine Corsini pour de nouvelles comédies de caractères (Les Enfants en 2006, Les Ambitieux en 2007) et tournant aussi en 2006 sous la direction de deux acteurs-réalisateurs, Sam Karmann (La Vérité ou presque) et Bernard Campan (La Vie est un rêve...).Actuellement au cinéma dans La Tête de Maman et Les Ambitieux.

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Citations-------------------------"Pour une actrice ravissante, la difficulté est de sortir de l'image de la ravissante. Quand on n'est pas ravissante, comme Agnès [Jaoui] ou moi, on est obligé de développer autre chose." (in "Télérama", juin 04) ."Je tourne en ce moment avec Costa-Gavras. Ce n'est pas un sujet de prime time, il a dû beaucoup réduire le budget. En revanche, quand un comique vomit sur la table, on lui donne tout le blé qu'il veut." (id.)

I'd like to meet:

Dernière sortie : La Tête de Maman, courez-y!!! LEXPRESS.fr du 27/03/2007L'antistar Karin Viard propos recueillis par Gilles MédioniSa maison est en travaux. Elle court, elle court entre sa vie de famille et la promotion de son dernier film, La Tête de maman, l'histoire d'une femme à l'âme brisée en mille morceaux dont la fille essaie de résoudre l'énigme existentielle. Tout va vite mais tout va bien pour Karin Viard. Plébiscitée par la profession (deux césars) et par une génération de filles qui s'identifient à son côté cash et piquant, elle plaît, elle amuse, elle émeut depuis Les Randonneurs, La Nouvelle Eve, Haut les cÅ“urs!, Embrassez qui vous voudrez... Rencontre devant un Perrier dans un bar du XXe arrondissement de Paris. A la fin de l'entretien, elle part comme une bourrasque après avoir annoncé le tournage (en maillot de bain) des Randonneurs 2, à Saint-Tropez, et le régime imminent qui l'accompagne.Qu'est-ce qui vous a attirée en premier dans La Tête de maman? L'audace du scénario. L'histoire est composée de petites bulles qui éclatent et amènent sur différentes pistes, burlesque, dramatique, émouvante, sans perdre de vue le sujet. Du coup, j'ai voulu rencontrer la réalisatrice, Carine Tardieu, et comme elle était très enthousiasmante, très sûre d'elle, je l'ai suivie.D'après vous, pourquoi vous a-t-elle choisie? Elle me l'a dit tout de suite: «Prendre une petite chose déprimée serait trop redondant. Je cherche le contraire.» C'est-à-dire quelqu'un comme moi, a priori doué pour le bonheur, rond, jouisseur, qui tombe dans une profonde dépression. Mon personnage est une belle endormie qui a recouvert son existence d'un drap noir à la fin d'une histoire d'amour.Se remet-on d'un premier chagrin d'amour? On s'en souvient toujours... Normalement, cette expérience douloureuse aide à se construire. Peut-être que les personnes les plus fragiles ne s'en relèvent jamais car elles restent bloquées dans l'idéalisation, le fantasme, le déni.Le charme de La Tête de maman tient aussi à la langue vive et parfois crue de Chloé Coulloud, qui joue votre fille... Elle est formidable! Moi, j'ai eu la chance de toujours aimer mes enfants de cinéma. Ce pourrait ne pas être le cas, je ne suis pas du tout béni-oui-oui. J'ai eu notamment Gaspard Ulliel comme très chouette fils et d'autres encore... Leur côté direct me correspond bien.Comment étiez-vous, adolescente? Très déterminée. Indépendante. Pleine de conviction... J'avais du cran, je crois. Je suis venue à Paris à 17 ans, après mon bac, et j'ai mis des années à comprendre le fonctionnement de cette ville et des gens qui la constituent. Cela n'a pas été facile mais je pense que ces moments-là m'ont été nécessaires, surtout que je sortais d'un milieu confortable. Il ne faut pas perdre de vue le sens des réalités: c'est ce que j'apprends à mes filles. Aujourd'hui, le niveau social devient un frein ou, au contraire, ouvre grand les portes. C'est une société où il y a de plus en plus de disparités et ça me déplaît fortement.Au fil de toutes ces années, avez-vous répondu à la question: pourquoi devient-on actrice? Pendant un moment, j'ai pensé que c'était pour être vue, reconnue. Je ne suis pas sûre que ce soit vrai. En tout cas, j'ai toujours refusé la monotonie. Dans la façon de vivre mon métier de comédienne, je joue, je m'amuse, même si l'apparence de légèreté, de spontanéité, d'insouciance n'est pas si simple à exprimer. Il faut interpréter des sentiments écrits sur du papier, y croire soi-même le temps de la prise, le faire croire, ne pas louper les charnières… C'est comme jouer au Rubik's Cube ou résoudre une équation. J'adore!Sortez-vous rapidement d'un rôle? Assez facilement, oui. Parfois je m'accorde trois petits jours de cafard mais je suis vite appelée par le concret: j'ai des enfants, un mari, des amis. Je suis très active. J'ai aussi appris à m'analyser. Quand je tourne trop vite sur moi-même, quand la machine s'emballe, c'est l'expression d'une déprime, sauf qu'elle ne s'exprime pas classiquement.Vous êtes une actrice très populaire... Que vous disent les gens dans la rue? Les femmes me parlent de ma sensibilité. Les hommes de mon côté «super sympa», «super sexy». C'est deux regards différents. Très bien. Parfait. Surtout que j'ai toujours rêvé d'être une grande brune sans poitrine et très mystérieuse. Je ne sais pas pourquoi les gens m'aiment bien, sans doute parce que je ne les prends pas de haut. Quand on a la chance d'être un acteur célèbre, de faire un métier où l'on est attendu, porté, espéré, on se doit d'avoir l'élégance d'être gai. Pour moi, les comédiens qui évoquent une souffrance exacerbée sont indécents. J'ai envie de leur donner un coup de pied au cul et de les envoyer faire le ménage à 4 heures du matin à Conforama. Vous avez reçu deux césars. Ces récompenses assurent-elles? Oh oui. On se dit que si tout se passe bien les choses vont s'enchaîner. Après, bien sûr, les épreuves se déplacent. Plus on grimpe les échelons, plus la concurrence est rude, les années passent… Mais moi, je ne suis pas du genre à m'enfermer dans une idée de carrière. Quand je regarde derrière moi, je me dis: «Ouah! j'ai déjà tourné pas mal de films, j'ai deux petites filles, un couple qui tient. Ça va, je suis assez contente de moi.» A l'inverse, si je m'observe trop, je suis capable de me tirer dans les dix minutes.Quelle étape Haut les cÅ“urs! a-t-il marquée dans votre parcours? Tous mes films, même les pas terribles, m'ont permis de bâtir un édifice, mais Haut les cÅ“urs!, c'est un étage particulier. Important, puisque le scénario parlait très simplement et d'une façon un peu documentaire d'une expérience - le cancer - partagée par des milliers de gens. Le film est d'ailleurs projeté dans les hôpitaux, on en discute dans les colloques…Dans Embrassez qui vous voudrez, vous avez une réplique qui restera dans les annales du cinéma... [Elle récite.] «Moi, j'aimerais bien connaître un orgasme comme ça, pour voir.» Un dialogue efficace, c'est comme une bonne blague: on sait qu'on en a une dans son répertoire, il s'agit de pas la rater... C'était encore un personnage différent que j'ai bien aimé interpréter: la mal-mariée. Après La Nouvelle Eve, j'ai vraiment lutté pour ne pas être enfermée dans le rôle de la fille drôle mais flippée, énormément ridicule en vérité. Et ça, je crois que je me le dois. Rien ne me fait plus horreur que de rejouer la même chose à l'infini. En même temps, la mal-mariée - j'en ai quand même interprété beaucoup - la fille rigolote à gros nichons me plaisent aussi.Les Ambitieux Interview de Karin : Avec ‘Les Ambitieux’, l’ancienne Eve Karin Viard retrouve la réalisatrice Catherine Corsini pour un exercice de style en duo aux côtés d’Eric Caravaca, entre comédie romantique à l’américaine et film intimiste réaliste.------------------------------------- ------------------------------------------------------------ --------------- C’est votre deuxième collaboration avec Catherine Corsini après ‘La Nouvelle Eve’. Vous avouez avoir appréhendé votre travail avec beaucoup plus de confiance et de liberté…----------------------------------- En effet, 8 ans ont passé entre ‘La Nouvelle Eve’ et ‘Les Ambitieux’ et nous avons acquis elle et moi davantage de maturité. Si nous devions retravailler ensemble, il fallait que ce soit pour de bonnes raisons, et non parce que ‘La Nouvelle Eve’ avait bien fonctionné. Quand on connaît bien les gens, on gagne du temps, on s’adapte plus facilement. Ce que j’aime dans l’univers de Catherine, c’est que ses personnages ne sont jamais manichéens. Elle n’a pas peur de mettre en scène des caractères antipathiques, pas aimables. ------------------------------------------------------------ ------------------------------ Comme Eric Caravaca, vous soulignez la capacité d’écoute et de remise en question de Catherine Corsini. Comment cela se traduit-il dans le travail ? Est-ce ainsi que vous le concevez ou est-ce juste une façon de procéder et il y en a d’autres ?----------------------------- Catherine Corsini vit ses films comme des parenthèses dans sa vie. Quand elle tourne, elle sacrifie tout à son film. J’en arrivais même à me demander quand elle dormait ! De fait, elle réclame de ses acteurs et de son équipe un investissement maximum. C’est sa façon à elle de faire les choses, les méthodes sont nombreuses, et la sienne est comme ça. C’est parfois un peu torturant et épuisant, mais j’aime bien cet éveil permanent et le fait de chercher ensemble, de construire ensemble le rôle. Avec elle, nous ne sommes jamais de simples exécutants. Par sa drôlerie et son intelligence, elle nous charme et sait relâcher la pression à certains moments. Je suis prête à retourner avec elle demain ! ------------------------------------------------------------ -------------- Une marque de respect pour tout acteur que de se voir ainsi investi et responsabilisé dans son travail de composition et d’interprétation…------------------------- - Chacun a sa façon de considérer les acteurs. J’ai connu un metteur en scène qui disait aimer les acteurs et les diriger aux gestes et à l’intonation, ce qui est pour moi insupportable et coupe le désir. Avec Catherine Corsini, en effet, je me suis sentie respectée et aimée. ------------------------------------------------------------ ---------- Votre personnage, Judith, apparaît comme l’archétype de la femme moderne sûre d’elle-même et de sa réussite. Voyez-vous en Judith la femme telle que la société, la structure d’aujourd’hui voudrait qu’elle soit : dynamique, pressée, ambitieuse… ?---------------------------------- Judith est à mon sens une image de cinéma : la femme de pouvoir belle et vache, dévoreuse d’homme, n’ayant besoin de personne et terriblement séduisante. Je ne me suis pas dit que j’interprétais une femme éditrice mais une femme qui a le pouvoir. Toutefois, il serait juste de dire que le pouvoir chez une femme est souvent vécu comme suspect aux yeux de la société et que la femme doit se battre pour tordre le cou à bon nombre de préjugés la concernant. ------------------------------------------------------------ --------------------------------- Judith semble avoir conçu toute sa vie autour de sa sphère publique avec la satisfaction de tout maîtriser. Mais en rencontrant Julien, elle voit resurgir brutalement sa sphère privée qu’elle s’efforçait jusqu’à présent de refouler.------------------------------------------------ Judith s’est construite avec l’idée que son père n’avait pas voulu d’elle. Elle a développé un sentiment d’abandon et de trahison qui la pousse, devenue adulte, à ne plus jamais souffrir à cause d’un homme. A se servir des hommes, à se jouer d’eux, mais à ne pas en être dépendante. La rencontre avec Julien va tout transformer. Elle tombe amoureuse et ce moment correspond justement à une révélation : son père n’était pas ce qu’elle croyait qu’il était. C’est l’image de la relation au père et, plus généralement, l’image des hommes sur lesquels elle vivait depuis 40 ans qui s’écroule. ------------------------------------------------------------ -------------------------------------------------- Judith et Julien agissent l’un sur l’autre comme un révélateur de leurs failles, de leurs manques, de leur solitude… ------------------------------------------------- En effet, mais on ne rencontre pas les gens par hasard. Judith était prête à rencontrer quelqu’un qui la bouleverse profondément. Elle était prête à tomber amoureuse. Sans doute, inconsciemment, sa position commençait-elle à l’étouffer. ------------------------------------------------------------ ------------------------------ Comme celui de Julien ou de Simon, le personnage de Judith est complexe, torturé. Seule, cloîtrée dans sa réussite professionnelle, elle se libère enfin en pleurant et en aimant. Vous avez dû prendre plaisir à exprimer toutes ces émotions…----------------------------------- -- Dans la vie déjà, je n’aime pas les gens qui veulent absolument plaire. J’ai adoré jouer une femme odieuse, suffisante et arrogante, sachant qu’à un moment donné, je pourrai exprimer sa souffrance et sa sensibilité. Peut-être cela excuse-t-il sa méchanceté du début. Judith s’est construite sur des barrières censées la protéger. Jusqu’au jour où elle rencontre un homme qui va s’inscrire dans ses failles. C’est très jouissif pour un acteur d’avoir toute une palette de sentiments à exprimer autour d’un même personnage. ------------------------------------------------------------ ---------------- Ambiguïté des genres, entre intime et comédie, ambiguïté des personnages, sans pour autant tomber dans la caricature. Catherine Corsini semble être parvenue à trouver l’équilibre difficile entre légèreté et gravité… Oui, en effet. Il s’agit bien d’une comédie romantique. Catherine Corsini en profite néanmoins pour proposer des personnages aux caractères ambivalents, avec des lâchetés et des défauts considérables.----------- ----------------------------------------------------------- L'enfer ------------------------------------------------------------ Allocution de Catherine Trautmann, ministre de la culture et de la communication ------------------------------------------------------------ ----------------------------------- Karin Viard, vous êtes une jeune comédienne, mais une jeune comédienne d’expérience à la tête d’une filmographie déjà impressionnante. Je suis évidemment très heureuse de vous remettre aujourd’hui ce grand prix jeune talent du film et de l’image et je suis persuadée que mon enthousiasme est partagé par les nombreux admirateurs et admiratrices qui suivent votre carrière depuis vos premières apparitions à l’écran et qui sont tombés sous le charme.Quel que soit votre rôle, de l’inquiétante Rosemonde du film d’Alain Tanner « Fourbi » à la « Nouvelle Eve » de Catherine Corsini, vous savez habiter totalement vos personnages, leur donner une profondeur et une humanité impressionnantes. Vous avez tourné avec Mathieu Kassovitz, Cédric Klapisch, Philippe Havel, Catherine Corsini, Solveig Anspach, ces jeunes réalisateurs qui ont déjà conquis les plus larges publics. Ce qui ne vous empêche pas de tourner encore dans des courts métrages et de donner ainsi leur chance à de nouveaux talents.La diversité de vos rôles montre assez que vous ne vous êtes laissé enfermer dans aucune école, dans aucune famille, aucune « bande ». Certains diront que vos choix sont éclectiques. Ils sont surtout libres. Et pourquoi vous priver de cette liberté puisque vous pouvez tout jouer ? Continuez donc à jouer de cette liberté, à jouer en toute liberté, pour votre plaisir et pour le nôtre.

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