Stefan De Lay dit de moi :
"Si tous ces textes sont singuliers, ils composent néanmoins le profil d'une femme qui se glisse entre toutes : l'auteur. Dans son rapport à l'image, Cali Rise fait miroiter quelques-uns de ses mille et un visages, tout en restant inenvisageable... Car, pour le profane qui tenterait de tirer des conclusions exhaustives sur la personnalité de Cali à la simple lecture de ses textes, ce profane disais-je, aurait d’office tout faux. Cali n’est pas de la trempe de toutes ces femmes auteurs qui répandent leur vie intime en forme de déversoir ; entre la gerbe dans l’abreuvoir des mâles frustrés et la solarisation de leur être intérieur.
Cali est à demi-femme, car elle partage l’homme dans sa part subtile.
Cali est à demi-homme pour pouvoir en parler comme elle lui parle.
Cali est un être asexué. Brisée par le poids séculaire de la tyrannie des sexes, elle s’est confortée dans le dépouillement de son identité pour aller de l’un à l’autre. De la femme à l’homme et inversement.
Pour en prendre plein la gueule. Se retrouver avec le canal lacrymal sectionné par le fil de la réalité et devoir ravaler ses larmes.
Et ce liquide, qu’elle recycle par les pores de tout son être, se cristallise au fil d’une plume. A la fois acérée sur son contenu, elle peut tout autant ciseler le contenant. Ou inversement ; c’est selon.
Qu’à cela ne tienne. De toute façon, tout ce que je pourrais dire ne cernerait en rien cet auteur qui a la dimension d’une femme, certes, mais s’élève pourtant à la hauteur d’un Ange qui aurait rangé ses ailes pour une dernière tentative sur Terre. La Terre des hommes.
Cette Terre qu’elle voudrait certainement reconnue mixte, entre des hommes et des femmes qui sont égaux devant la joie et la peine, l’amour et le sentiment. Et que la haine appartienne aux pauvres d’esprit.
Cali ne parle que d’amour, fusse-t-il lacéré par l’usage des prétendus protagonistes de ce bas monde, elle n’en désespère pas moins de raviver les c,,urs et l’esprit de quelques-uns.
Puisse-t-elle raviver une lueur entre chacun de nous.
Ses textes sont sans ambages ni compromis.
Et j’admire sa contenance pour l’ensemble de sa forme d’écriture car je la connais assez pour vous dire qu’il vous serait insupportable de la lire si elle ne s’adressait qu’à elle-même.
Alors, prenez ce site, Impudique, comme un cadeau de quelqu’un qui n’a rien à voir avec votre monde de sentiments corrompus et survivra de toute façon sans votre assentiment. Cali Rise est une étoile filante. Puissiez-vous en percevoir, ne fusse que, sa trajectoire."
Quant à Frédéric Vignale fondateur du journal culturel Le Mague , il dit ceci :
"Cali Rise, à priori, n'avait rien pour devenir la femme la plus énigmatique et active de l'Internet français. Ne connaissant personne, vivant en province, n'étant introduite dans aucune caste médiatique, elle est devenue en quelques mois une internaute incontournable aussi bien pour son travail d'intervieweuse d'investigation au Journal Le Mague que pour ses écrits érotiques inspirés par les plus grands photographes du moment. Oui mais voilà , Cali Rise tisse sa toile, interroge les people les plus en vue comme les inconnus qu'elle découvre et n'arrête pas de faire parler d'elle. Ce n'est que le début d'une aventure d'ores et déjà "palpitante" et hors norme."
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