"Les Trois Copains" !
Constance Verluca : Les Trois CopainsAdd to My Profile | More Videos
"C'est faux",
le clip !
Constance Verluca - C'est faux Ajouter à mon profil | Plus de Vidéos
L’album « Adieu Pony » de Constance Verluca,
Cet album contient une sélection de douze chansons écrites et composées de 1975 à nos jours par Constance Verluca et Julien Hirsinger. Il a été enregistré en Ile-de-France et en Californie en 2006. Il est produit et réalisé par Noah Georgeson.Maintenant, quelques informations personnelles sur Constance Verluca. Elle est née à Paris, où elle réside toujours à cette heure. Elle est de nationalité française (cinquième génération). Elle vous embrasse bien fort.
Voici maintenant quelques compléments utiles :
Noah Georgeson, producteur/réalisateur de « Adieu Pony », est le guitariste-phare de Devendra Banhart ainsi que le producteur de son album « Cripple Crow », sorti en 2006. Noah Georgeson a également réalisé et produit l’album « Milk Eyed Mender » pour Joanna Newsom.
Tous les animaux ont une place dans le c--ur de Constance. Mais le poney est quand même son petit préféré. Elle lui rend hommage dans le titre de son album, qui est également un ultime salut à « The band formerly unknown as Pony », le groupe culte et vraiment maudit dont elle est issue.
Noter que Constance Verluca et Julien Hirsinger n'ont jamais réussi à se mettre d’accord pour couche ensemble malgré les tentations inhérentes à une si longue cohabitation professionnelle.
Constance n’a pas couché non plus avec Noah Georgeson, ni avec un monsieur de la Warner d’ailleurs, mais ces informations sont susceptibles d’évoluer à tout moment.
Grand front + menton allongé : si vous regardez bien, Constance Verluca, sous certains angles, ressemble un peu à Amélie Mauresmo.
Les 12 chansons de l’album « Adieu Pony » :
« C’est faux » : Constance plaque un partenaire et s’en mord les ovaires
« Les trois copains »  : Constance fait des bonds au fond du trou
« Tu es laide » : Constance matraque un boulet
« Je simule » : Constance piétine en souriant le c--ur de deux obèses
« Majeure » : la chanson d’ambiance de Constance, conçue pour les marchés allemand et japonais
« Le clown et le soldat » : Constance réalise que plaie d’argent est mortelle
« Ding Dang Dong »  : Constance en révolte contre le principe de matin
« C’est le moment de mourir » : Constance philosophe entre deux gerbes
« Judas » : Constance divague sur la croix
« Donne-moi ta vie »  : Constance ne veut plus être Constance
« Matt Dillon »  : Constance + Rusty James = Amour éternel
« Blues » : Constance et Julien font des rimes en -ouze