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Sean Gourley

Franco-American Urban Honky

About Me

For more than half a century now, Gourley and son have been busy serving and appreciating the fine things in life, and Jazz in particular. It actually turned out to be a family affair. Jimmy Gourley, the father, has been one of the top BeBop heavyweight guitarists since the fifties and Sean, the son, has been spreading the good word of Jazz on his guitar in Paris, Europe and other exotic places for the past fifteen years, always with the diplomatic yet funky elegance of a true blooded Franco American.

Sean’s vocal performances are warm yet tinged with tender irony. He loves the old songs but also indulges in the edgier Dave Frishberg or Mose Allison type of material. His guitar playing is rooted in the old “Wes-with-a-touch-of-Django” school but he fully embraces the sounds of his time as well. He essentially leads his own combo but also duos with his father and co-starred in shows featuring organists Rhoda Scott, Eddy Louiss and pianist Onzy Matthews. As sideman, Sean has performed or recorded with Paris-based American artists such as singers Manda Djinn, Stephanie Crawford and just recently singer and dancer Phillip Attmore (from the NY Bob Fosse Company) at the Paris "Théâtre du Chatelet", with saxophonists Turk Mauro, Steve Potts and Barney Wilen. In Los Angeles, he wrote the music to independent film "They shoot movies, don’t they?" directed by Frank Gallagher and starring Tom Wilson, Adele and Anadel Baughn. In addition, he toured the Hollywood clubs with his local trio or as accompanist for singer Cathy Segal-Garcia and guitarist Mundell Lowe.

Since his return from his Hollywood experience seven years ago, Sean’s artistic rigor, his reliable playing and authentic singing has caught the attention of a variety of European musicians and composers in and out of the Jazz sphere. In 2001, his harmonic versatility encouraged the uprising French composer and singer Sanseverino to feature Sean’s red-blooded american jazz guitar on his first hit album, "Le Tango Des Gens" (over 800 000 sold), and he never misses a chance to perform alongside the French “manouche” virtuoso guitarists. Nevertheless, the Gourleys cannot stay away from a beautiful melody or a BeBop line for very long, as can be verified on their recently and first released album together, "The Straight Ahead Express". Long-time friend and bass player Simon Teboul offers the finest support to the discreet and tasty songs and tunes delivered hot on guitar and vocals by Sean and Jimmy Gourley, serving beautiful music since 1951.

SG plays MICHEL SCAMPS Guitars and SAVAREZ Strings

Ce doit être une histoire de famille. Cela fait plus d’un demi-siècle que la famille Gourley se met au service des belles choses. Le père, Jimmy, règne avec quelques rares autres guitaristes sur le Be-bop mondial depuis les années ‘50 et le fils, Sean, prêche la bonne parole du Jazz avec élégance et discrétion sur les scènes françaises et internationales depuis près de vingt ans. Aujourd’hui, son phrasé de guitare jazz et les qualités de sa voix intéressent des artistes venant d’horizons musicaux très diversifiés. Ses interventions sur « Le Tango des Gens », premier disque du chanteur Stéphane Sanseverino est un exemple de ses facultés d’adaptation naturelles et de son éclectisme musical. Mais les standards discrets de la chanson américaine et française sont toutefois à l’honneur sur la dernière production familiale, le « Straight Ahead Express ». Soutenus par Simon Teboul à la contrebasse, le père et le fils sont de nouveau réunis pour célébrer le jazz dans son expression la plus sincère. Le swing et la mélodie l’emportent une fois de plus sur tous les concepts.

Le Sean Gourley Group a le swing solide et communicatif grâce à une section rythmique incisive et à une direction musicale cohérente assurée par un Sean Gourley dont les racines familiales et culturelles plongent dans la terre d’Amérique. Le répertoire est riche en « histoires » du jazz mais le Sean Gourley Group est aussi très à l’écoute des musiques contemporaines. Il s’inscrit dans la lignée d’artistes reconnus comme Wes Montgomery ou Nat « King » Cole hier ou encore Madeleine Peyroux ou Biréli Lagrène aujourd’hui, qui nous rappellent que le jazz, au-delà de sa sophistication et de ses exigences artistiques, doit faire naître l’émotion. Même si le quartet n'a pas vocation exclusivement vocale, il sait offrir un écrin à chansons sur mesures à son leader qui chante le jazz avec toute la sensibilité qui convient pour chaque évocation du rêve américain mis en musique.

SG remercie MICHEL SCAMPS Guitars et les cordes SAVAREZ

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My Interests

Music:

Member Since: 11/27/2006
Band Members:

BASSE: Dominique Lemerle, Simon Teboul, Phil Urtreger

BATTERIE: François Ricard, Phil Leblanc

PIANO: Alain J.Marie, Manuel Rocheman

SIDEMAN: Susanna Bartilla Trio; The Don LaRue Combo; Ramon Galan (Gypsy Guitar)


Influences: You tell me - A vous de le dire...
Sounds Like:

JEROME PARTAGE, JAZZ HOT (octobre/novembre 2006): « Digne fils de Jimmy, Sean Gourley poursuit et prolonge l’œuvre de son père avec le même raffinement et un attachement profond au bop et aux standards. Il a la volonté de promouvoir un jazz populaire, tourné vers la danse et la chanson, notamment axé sur le répertoire de Frank Sinatra, Nat King Cole et des comédies musicales. Il défends cette idée à la tête de son quartet, le Sean Gourley Group depuis plus de dix ans (…) Il est aussi un accompagnateur apprécié, qu’on a vu en compagnie des chanteuse Manda Djinn, Stephanie Crawford, mais aussi Barney Wilen, Steve Potts, Turk Mauro, Eddy Louiss, Rhoda Scott et bien sur son père, Jimmy Gourley, l’une de leurs dernières apparitions ensemble se déroulant à Bruxelles en décembre 2005. (…) »

ANNE MOYON, JAZZ HOT (janvier/février 2006): « Le 23 novembre, glaciale était la nuit et chaleureux le concert de Sean Gourley au Café Universel. Tout était au rendez-vous : parfaite mise en place et cohésion des musiciens, plaisir de jouer, économie du jeu, très bon son. La prédilection affichée et déclarée de Sean Gourley (g.voc) pour un jazz fifties-sixties (option Sinatra et comédies musicales) offre un répertoire cohérent (« Nice Work If You Can Get It », « I Won’t Dance », Plenty O’ Nuttin’ »). Avec François Ricard (drums), Rémi Amblard (piano) et Simon Teboul (basse) il a trouvé les bons complices pour ce jazz généreux et harmonieux. »

DNA, FESTIVAL de COLMAR 2005: « Les « dinosaures » du jazz, Phil Woods (73 ans) et Jimmy Gourley (79 ans) ont montré qu’ils avaient encore du souffle. L’inoxydable guitariste et chanteur américain Jimmy Gourley a montré l’exemple en 1ère partie en quartet avec un trio efficace, mené de main de maître par son fils, Sean. Tel père, tel fils : La comparaison est flatteuse mais Sean Gourley la soutient. » L’Alsace, 09/05. « Scéniquement, le concert ressemble à une passation de pouvoir familiale, Sean reprenant avec une voix un peu canaille quelques-uns des grands titres défendus par Jimmy : Don’t Let It Go To Your Head, Lulu’s Back In Town, Bright Lights, mais pour Jimmy The Moon Lit Seven Times !

DANIEL ICHBIAH, FESTIVAL de CALVI 1991: « Sean Gourley accompagne les notes fluides qu'il fait couler sur son manche de sa voix rauque et intimiste. Son intention n'est pas de chauffer la salle ou de déverser un déluge de notes. (…) Le fils de Jimmy Gourley veut ramener au goût du jour le sens de la mélodie, et considère qu'il a bien joué s'il a pu ouvrir un sourire sur le visage d'une inconnue. Il aime ces moments rares, comme lorsqu'un silence recueilli vient précéder l'applaudissement chaleureux. Sean refuse les effets faciles au profit d'une musique qu'il veut naturelle, et qu'il ne veut pas se cantonner au be-bop : "Une bonne composition est intemporelle". S'il n'en reste qu'un, ce sera celui-là, pour le plus grand bonheur d'un public qui - si l'on en croit les apparences – apprécie. »


Record Label: Unsigned
Type of Label: None

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Posted by Sean Gourley on Wed, 06 Dec 2006 09:30:00 PST