About Me
Rumoristi incalliti, bluesman poco ortodossi, sperimentatori senza puzza sotto il naso ed estremisti rock. Una strana mescolanza in cui confluiscono tradizione noise, blues deviato e rock del non-senso. Brani astratti, aciduli fino al midollo, nei quali il gruppo fa sfoggio di tutta la propria grandezza nel frantumare e nel ricomporre l’indie-rock prendendo il via dal feedback e dal caos. Un lavoro trasognato, disperato, perturbante, sensuale ed insolente che sfida la logica in un efficace deragliamento blues. Niente che sia di moda ma piuttosto rock dalle sensazioni scioccanti, che scuote e abbaglia, lasciando tramortiti ed indifesi...
["Silent Scream Webzine"]...these guys deliver some highly energetic, crunchy and sharp noise-rock. Really outstanding...
["X-Mist" (UK)]....a different record, a blood-red sound. Histerical, cutting, inusual, evil and skinny sonority...
["Manday" (France)]...Guinea Pig sait faire sonner un album comme peu. A l'instar d'un Jesus Lizard, le groupe passe ses bases blues rock bien grasses dans une moulinette noise déstructurée à en faire pâlir les acharnés des grandes heures de Touch'n'Go. Le résultat est démoniaque. Le groupe prend le temps de vous titiller les nerfs sadiquement avant de vous envoyer un uppercut direct au visage. Et ne comptez pas sur eux pour s'arrêter quand vous serez à terre, ces gars là ne sont pas du style à lâcher leur proie. "Die!", le nom du morceau d'ouverture n'est pas là pour semer le doute. Rarement un groupe aura su allier la poisse du rock, santiags aux pieds, avec la finesse chirurgicale d'une noise millimétrée (en dehors de Jesus Lizard, il en va sans dire). Et c'est bien dans ces moments là que la noise prend toute son ampleur. Joli coup. ["POSITIVERAGE" (France)]Le rock retrouve des couleurs. L'Italie gorgée de soleil, taillée au chalumeau, l'arrière-boutique pleine de félicité, généreuse et accueillante. Guinea Pig, un blaze emprunté par quantités de groupes. Le cochon de Guinée a la cote. Deux contre un pour se faire exploser la rate. Coups de butoirs rock'n'roll, peu de calculs et tout dans les reins, un fameux coup ce trois mats. Craspec et nerveux, ce rock là ne se regarde pas le nombril. Des soli tout désordonnés. Du Old Time Relijun (donc forcément du Captain Beefheart) et du Spencer qui a du gaz. Des fantômes de blues hantés par une ferveur populaire qui demandent encore quelques raccords pour être pleinement opérationnel. Encore un disque plein de promesses que l'on doit à Psychotica Records. ["PERTE ET FRACAS" (France)]Ever wonder what Queens of the Stone Age would sound like fronted by PJ Harvey and Billy Idol's love child? Guinea Pig's music gives a good indication of the potential result, complete with mind-blowing arena rock dynamics and throaty vocals. The problem with most bands that sound similar to other, still-current bands is that the listener often ends up wanting to hear the original group instead of the knock-off to which they're currently listening -- but fortunately, Guinea Pig quickly develops its own sound, distinctive enough to reassure listeners that they haven't heard it all before.
From beginning to the end, this album rocks. Highlights include "Die!", "Night Run" and the powerhouses "Mud" and "Nickel" -- each track an homage to grunge and garage rock. Guinea Pig makes the listener yearn to see the band live -- even the fact that the band hails from Italy doesn't seem overly discouraging. There's not a bad track in the bunch -- just a wealth of tight, powerful, inventive and edgy rock songs, each one designed to push its chosen genre into the future. ["David A. Cobb" (UK)]