barrueco

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Vivre des moments de vérité avec le public, l’occasion d’une rencontre Vraie !
Sur scène, c’est là qu’il a envie d’être et où il se sent bien dans son énergie !
barrueco : d’assonance espagnole, c’est bien son patronyme, qui viendrait de « baroque » et qui voudrait dire : « rocher à bords irréguliers et tourmenté ». Il dit se reconnaître dans ces termes et ses influences viennent sûrement de là, au fond ! Pourtant, la couleur de son écriture n’est pas empreinte que de mélancolie, tout au contraire.
Depuis un événement soudain survenu dans sa vie, il réfléchit sur ce qu’elle est, et définit son essence ainsi : Jouer à vivre pas trop sérieusement mais pour de vrai ! L’écho de ce qui résonne en lui le pousse à le partager, alors il l’écrit et le chante !
barrueco regarde la scène depuis son plus jeune âge . A 6 ans, en 1980, c’est la première fois qu’il monte sur les planches. Ce n’est pas en chantant, mais en dansant dans une troupe classique. Plus tard, adolescent, il aura envie d’apprendre le flamenco et les claquettes, comme pour recoller à ses racines, une fois encore. Il grandit, baignant dans la musique. Cours de piano, il n’en devient pas accro. Par contre il rêve, passant des heures devant les concerts de son père, alors harmoniste.
Ce qui se dégage de la scène l’aimante le fascine !
Puis la révélation : le rythme ! Il découvre par hasard et chance la batterie et en joue inlassablement avec passion (autodidacte). Le spectacle et les représentations scéniques commencent. Sans relâche, de 1992 à 2003, il se met au service de projet musicaux en tant que batteur : rock français (création), spectacle de rytm’n blues, variété française. En 1994 il achète sa première guitare folk, pour chanter et faire chanter (là aussi autodidacte), il ne la quitte plus.
C’est décider : pour transformer sa passion en métier et confronter sa voix et son sens du contact au public, il écume restaurants, bars et pianos-bars, jouant reprises et compositions. Exercice souvent difficile, car souvent seul : mais quelle vérité !
Plusieurs centaines de concerts dans toute la France, pour se rôder et acquérir une vraie expérience, un patient apprentissage.
En 2002, il gagne un concours de chant au festival song contest.
Le mal est fait » : barrueco est accro au spectacle, à la scène !
Ce chemin, la trentaine approchante aussi, lui offrent un sérieux bagage émotionnel et artistique : il a des choses à dire. Contre venst et marées, il se met à temps complet à écrire, à composer. Ses premières chansons pointent le bout de leurs mélodies… son univers aussi !
2003 : l’enregistrement de son premier album : « Et puis après » : une introspection, une « auto-psychanalyse », pour transmettre ses émotions sur la vie et le monde qui l’entourent, pour parler d’amour et de lui. Un début fait avec tout son c--ur, pour commencer l’aventure et donner envie à quelques compères musiciens, aujourd’hui fidèles, de monter dans le train. Les encouragements sont nombreux et grande est l’envie d'affirmer son style de + en + juste : besoin d’évoluer ! ! !
Il s’investit alors, à divers ateliers d’écritures : Troyes (dans le cadre du festival « les nuits de Champagne » en octobre 2004 et 2005) et Les Rencontres d’Astaffort (en 2006, encadrées par Francis Cabrel), où ses créations ne passent pas inaperçues. Puis en 2006, une collaboration marquante : Christophe Deschamps (batteur de Goldman, Voulzy, Obispo, …), Laurent Vernerey (bassiste de Johnny, Obispo, Souchon …), Vincent Perrot (arrangeur mais aussi bassiste de Natasha St Pier) et Steven Forward (Ingénieur du son de Ray Charles, Paul Mc Cartney, Stevie Wonder, Depeche Mode, F. Pagny, Johnny, Aston Villa …), séduits par les titres et le personnage, acceptent de participer à son travail. Sort un enregistrement 5 titres des studios de la Seine, à Paris ..
Soutenu par ces gens de métier, barrueco prend le virage de la pop. S’il est influencé par des artistes français pour l’écriture, sa musique est teintée de sonorités et d’harmonies plus anglosaxones : Coldplay, Starsailor, Stéréophonics, U2, et plus loin Pink- Floyd, dont il s’imprègne pour n’en garder que le coté GUITARES, en ôtant tout ce qui n’a pas de manche ou de peaux !! « Accomoder contraintes et idées, en gardant en tête un profond goût de musicalité et d’authenticité », voià ce qu’il répond quand on lui demande comment il travaille ! Ses textes parlent d’amour (dévoilant sa sensibilité féminine, aidé parfois par des auteurs filles), d’actualité et touchent par leur ton réaliste et revendicateur.
On retient de titres comme « Labellisez-moi », « J’asphyxie » ou « loin devant », des mélodies entraînantes, des refrains accrocheurs et son style.
Sur scène, barrueco s’installe avec un son POP actuel, entouré de musiciens professionnels, désormais piliers de l’artiste : Lionel Boyron : batterie ; Gennaro Pizzicara : Basse ; Laurent Laborderie : guitare 1 / choeurs ; Gaël Laperrière : guitare 2 /ch--urs ; Enzo D’Agostino : ingénieur du son.Sur scène, barrueco s’installe avec un son POP actuel et un set principalement axé sur l’échange avec le public. Il est entouré de ses compères et piliers, et non moins professionnels : Lionel Boyron : batterie ; Gennaro Pizzicara : Basse ; Laurent Laborderie : guitare 1 / choeurs ; Gaël Laperrière : guitare 2 /ch--urs ; Enzo D’Agostino : ingénieur du son.2007 est une année chargée : tournée de mai à octobre, puis enregistrement à l’automne de son 3è album « Pour qu’on avance ».
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