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Marie Jérôme

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About Me


Après des études d’Arts Plastiques, j’ accumule stages (du mensuel rock Best au studio de prise de vue Cliché Color en passant par l’Agence de diffusion jazz rock Mephisto ou France soir), couvre manifestations et festivals (photographe officielle du Festival des Cultures du Monde de Gannat en Auvergne, photographe attitrée du festival Campus à l’oreille de Paris, Les Eurockéennes...etc...), suit les cours de l’Ecole Supérieure de Photographie de Paris et ceux de l’Ecole de Image d’Epinal, mais part aussi à Londres réaliser un reportage sur l’enregistrement de l’album Shine your star du groupe Well Spotted.Ma passion pour la photographie m’a conduit également à suivre les séminaires de Claude Alexandre (le corps et l’attachement) et de Jean-Francois Bauret (le portrait et l’expression), à créer des pochettes d’albums (Illico Presto, Théo Hakola, Well Spotted, Trashcan juice, Fred etc...) ou encore à réaliser portraits et créations photographiques (à noter, en 1997, un reportage sur la pièce Combat de nègre et de chiens de Koltès (mise en scène Philippe Goyard) une création du théâtre Granit / Scène Nationale de Belfort.Mes photographies sont publiées dans des magazines tels que Rage, Best, Rock&Folk ou Rock Sound, des quotidiens nationaux ou régionaux, diverses revues (Abus Dangereux, Agenda Rock 95, etc...), des programmes de concerts (Eurockéennes, Francofolies...) ou de salles de spectacles.En 1998, je présentais une facette de mon travail personnel à l’Espace Gantner de Bourogne, dans le cadre des « Causeries » qui accompagnaient l’exposition « Les mystères de la conversation » produite par le CICV Pierre Schaeffer. À travers mon installation Des yeux pour entendre, je tente de donner vie à une image fixe en mettant mes images sur la langue des signes dans des bocaux remplis d'eau. Après plusieurs jours, les clichés se dégradent, s'effacent, se décomposent. Ils peuvent également être classés, découpés, collés, affichés... Et cette liberté me fascine.Puis en 2000, je suis partie à Montréal (Canada) pour travailler avec la compagnie de danse « Le Corps indice » d’Isabelle Choinière. Ou parallèlement, j’y ai développé avec Jean-Baptiste DROULERS à la SAT (Société des Arts Technologiques) un projet d’installation faite de sons et d’image(s).

My Interests

Get Your Own! | View SlideshowVoilà maintenant plus de quinze ans que je photographie des « tronches ». De ces visages qui nous marquent toute notre vie. Des visages imparfaits avec des rides et des cicatrices, avec des yeux qui pétillent de bonheur et des bouches qui ne demandent qu’à nous parler. On ne peut changer le génie d’un homme en façonnant son visage, en le lisant, en lui enlevant tout signe de vie. Sa singularité est belle. La rousseur est un signe de plus. Des marques sur la peau qui ne sont pas des tâches mais des signes extérieurs de beauté. Ils ont les yeux verts, bleus ou marrons. Ils sont plutôt blonds, bruns ou rouille. Ils sont indéfinissables. C’est pourquoi, en m’appuyant sur les recherches de Monsieur Xavier FAUCHE, je tente actuellement de réaliser par le biais du portrait photographique « un état des lieux» de ces différentes rousseurs.