JOSEPH MORANA

LE JOUEUR D'ECHECS de STEFAN ZWEIG L'ETRANGER de CAMUS... M en sc de SISSIA BUGGY Theatre Espace Marais

..... A l'affiche début juillet 2008.... ... ... ... ... ... .... Les couleurs de l'hiver .... .... .... ....Le vent qui m’emporte me ramene sans cesse au voyage de l’eternel retour... ....... Je te cherche... ............. Ton corps comme une invitation au voyage... Comme... Paris-Texas... Les ailes du désir... Million dollar baby... Talons aiguilles... voyage au bout de l'enfer... Walk the line... It's all about love... Le mépris... L'impasse... Sur la route de Madisson... Les liaisons dangereuses... Mort à Venize... Quand Harry rencontre Sally... Le dernier tango à Paris... My blueberry nigth...de toutes mes insomnies...... .... .... DORMIR DANS TES REVESDormir dans tes reves Tout contre ton corps Depuis des années… des nuits à l’aurore Voyager, rever, m’évader Ton âme aux étoiles, cheveux parfumés… Je peux sous la toile de l’éternité Me fondre aux sourires, jardin épicé De ton corps, de tes yeux endormis A jamais oublié de mes insomnies Dormir dans tes rêves Tout contre ton âme Depuis des années et raviver la flamme Mille fois… étouffée, bafouée, trahie Enfance qui ne cesse et qui vit… Cruel voyage, douceur partagé Quotidien banal journée d’éternité Souvenirs d’hier, présent, futur A jamais gravés telle une blessureComme une invitation au voyage Le Paris-Texas de toutes mes nuits Les ailes du désir, de Mort à Venise L’impasse, le mépris, le dernier tango à Paris… Les liaisons dangereuses, sur la route de Madison, Je te cherche mon amour… mon sang et mon carbone Dormir dans tes rêves Tout contre ton corps Depuis des années, et t’aimer jusqu'à la mort Refaire le chemin Jeunesse oublié Oh combien Mille fois encore t’aimer Et dormir enfin… blotti dans tes rêves Connecté au monde qui m’éblouit Qui me vieillit et qui m’achève. ......... ...... C'est un trou de verdure ou chante une rivi?re, Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; ou le soleil, de la montagne fi?re, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.Un soldat jeune, bouche ouverte, t?te nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est ?tendu dans l'herbe, sous la nue, P?le dans son lit vert ou la lumi?re pleut.Les pieds dans les gla?euls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid.Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine, Tranquille. Il a deux trous rouges au c?t? droit... A.R .... ....