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tiéri : apprenti

About Me

Né en juin 1975 , quelque part dans le Pas de Calais... Après quelques études , je pars pour mon premier voyage ,en 1996 , avec mon super pote , David...Maroc , Mongolie , Chine , Vietnam , pendant 6 mois ...ça déchire!!!...Rentré , et dégouté d’être revenu , faut que je reparte...Après une saison à la montagne ( Val d’Isère précisemment! ) , je trace ,au printemps 1997 , direction A-FREE-KA !! Déjà initié aux djembés et dunduns , je me retrouve en Côte d’Ivoire , à Abidjan , pour un voyage de 4 mois.Accueilli chez BONI GNAHORE au village KI-YI , il fût mon premier maître africain.Lors d’un week-end à la mer , à Grand Bassam , je rencontre une troupe de batteurs maliens , sous la direction de Mamadou KOUYATE , et là les cérémonies s’enchaînent... et je passe alors mon séjour entre Abidjan et Grand Bassam.Revenu avec du son plein la tête , un palu dans le foie , mais sans un sou en poche , faut absolument que je reparte...Je pars alors faire une saison aux antilles (St Barthélémy ) , et enchaîne dans un hôpital en région parisienne , avant de me retrouver steward chez Air France...et au moment de signer le C.D.I. ...je me sauve pour repartir voir mes potes en Côte d’Ivoire...On est en octobre 2000 , et les élections présidentielles se préparent ; l’ambiance est tendue...on décide alors avec Mamadou , sa fille et d’autres amis , de fuir , en taxi brousse(un bon vieux 504 break quoi !!! ), direction le Mali , en passant par le Ghana et le Burkina Faso , car c’est devenu trop chaud de traverser la Côte d’ Ivoire ...Après 3 mois en brousse où se succèdent périodes musicales et mystiques... , je passe 2 mois à Bamako...où j’ai la chance d’y rencontrer de très bons batteurs...jusqu’a cette chère dysentrie qui à bien failli me tuer...Re-rentré , et remis sur patte , j’ai la chance de rencontrer Vincent Chazot , à Orléans , qui m’initie au tamani ( ou talking drum ou tambour d’aisselle ! ) et me donne mon premier tama...Je fais alors plusieurs stages à tournai avec Baba SISSOKO , et repars au Mali pour aller y trouver Adama KOUYATE ( Mamadou est décédé entre temps , paix à son âme !!! ) , qui est alors le tamafola de Salif KEITA.Ce voyage durera 3 mois , et j’ ai eu la chance d’accompagner de nombreux tamafolas lors de cérémonies.En 2005/2006 , je pars pour le Burkina Faso ...le pays des hommes intègres, à Bobo Dioulasso ,pour aller travailler avec Madou DIARRA ( Mad Lenoir) , multi-instrumentiste que j’ai rencontré à Tournai , en tant que bassiste cette fois.Mais j’accompagne tout de même Baba KOUYATE , qui est " le patron " des griots de Bobo , âgé de 62 ans environ , ancien djembéfola , et l’un des meilleurs tamafola ; et qui m’a été recommandé par Baba SISSOKO.J’y rencontre également Bassirou SANOU , joueur de flûte peule ...et c’est le coup de foudre avec cet instrument magique...j’y passe 5 mois !!2006/2007 retour à Bobo , pour 6 mois cette fois , et pour continuer le travail commencé l’année précédente (basse , tama et flûte)...On y a fait environ 40 concerts , réalisé 2 clips , sans compter les cérémonies...

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Influences:démo de flute peule par bassirou sanou ( bobo dioulasso)

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..Fula Flute: "Djandjou"

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Sounds Like: voici la définition du mot travail , selon wikipédia... Le mot travail (de l’ancien français travail « tourment, souffrance » (XIIe siècle), du bas latin (VIe siècle) tripálius du latin tripálium, « instrument de torture à trois poutres ») désigne l’effort, l’application nécessaire pour faire quelque chose. Par extension, il désigne également le résultat de cet effort. En italien, le terme lavoro -le labeur- se rattache au latin labor, qui a la signification de fatigue, peine. Le terme anglo-saxon work vient d’une racine indo-européenne que l’on retrouve dans le grec ??d?, avec l’idée de faire, d’accomplir quelque chose. Le travail est ce qui lie un effort où l’on peut s’épuiser (voire une souffrance) à un résultat positif.
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