Le chocolat, les chevaux et les chats ; la musique, le ciné, les voyages ; l'humour, les mystères, la philo et les sorcières ; les éléphants, la photo et... l'écriture.
Music Video - Chronicles of Narnia - More Than It Seems
Ajouter à mon profil | Plus de Vidéos
à lire (ce n'est pas de moi)
le Songe d'une Nuit d'Eté
Ajouter à mon profil. | Plus de vidéos
Lawrence d'Arabie
Ajouter à mon profil. | Plus de vidéos
Dans l'absolu ? Mozart. Aérien, évident comme une comptine d'enfant, équilibré. Achevé. Des bulles de champagne. On prend l'ascenseur, dernier étage garanti.
Beethoven, pour le tonus et la puissance d'évocation. Ah, la "Pastorale" ! Edvard Grieg aussi, et son "Morgenstimmung" ; Mendelssohn et son "Songe d'une nuit d'été". Wagner ? Seulement les ouvertures ; après, je sens que je m'enfonce, et je n'aime pas qu'on me promène là où je ne veux pas aller. Quand je m'aventure en forêt, c'est toujours avec des petits cailloux dans les poches... Pas si fou... Et puis, pour affronter le mammouth de la Tétralogie à l'Opéra, mieux vaut ne pas souffrir d'hémorroïdes. L'écrit de l'Agrégation, à côté, n'est qu'une aimable sinécure : ça ne dure que six heures par épreuve.
Paganini ? Oui, mais pas tous les jours. Parce que, j'ai beau avoir joué du violon dans mon enfance sept ans durant et cassé de colère trois archets contre mon pupitre -Bélier ascendant Lion, ça me fatigue et me torture l'âme : je sens trop la souffrance de l'autre, et elle devient mienne. Je suis très réceptif aux hautes fréquences des sons aigus, et aux harmoniques trois octaves plus haut. Normalement, on ne les entend pas. Moi si.
Sinon, je suis un ogre et tout me va : Sidney Bechet, Armstrong, Elvis que j'ai idolâtré à quinze ans... les ragas indiennes façon Ravi Shankar, ou la musique celtique. Justement, je connais une "Marylore" qui fera un malheur plus tard...
Il m'arrive aussi de piocher du côté de la contre-culture, mais à dose homéopathique. Trop "destroy" pour moi. Trop de basses fréquences et d'arythmie, aussi... Le gothique et ses gargouilles ne m'amuse vraiment qu'en littérature, en photo... ou en architecture. J'ai d'autres fondamentaux. Toutefois, je comprends le sentiment de rebellion, même si ma révolte, elle, use de stratégies différentes... Au fait, les révoltés, écoutez plutôt ceci. On appelle ça du Rock. Du vrai. Pas du sirop. Lui, au moins, sa "gnaque", il ne la devait pas à l'EDF :
Enfin, écouter le Silence, ce n'est pas mal non plus. Je l'ai entendu une seule fois. Dans le désert.
Oh, là là ! Tous les vieux ciné-clubs : ça va de Bela Lugosi et Boris Karloff, en passant par "la Féline" et "la Belle et la Bête". Les rois de la lumière et du clair-obscur comme Renoir, ou de l'étrange, comme Clouzot.
Les maîtres de la dramaturgie tels Hitchcock, Fritz Lang et Kubrick. Coppola. Les forts en gueule, tels Orson Welles, Peter O'Toole, Kinski ou... Gabin. Il y a aussi Chaplin, avec son sublime "Limelight", l'histoire du clown et de la danseuse. Et puis, trois comédiens qui ont su sauver l'affiche des pires navets : Michel Simon, Belmondo et Serrault. Ce n'est pas à la portée du premier cabotin venu, d'améliorer un texte médiocre par son seul jeu de scène.
Allez, on va citer "les Visiteurs", parce qu'en matière de parodie médiévale, on atteint des sommets. Reste à savoir s'ils l'ont fait exprès d'être aussi drôles... Non, c'était de l'humour.
À l'opposé, "les Visiteurs du Soir" de Marcel Carné avec Arletty et Jules Berry, un chef-d'oeuvre absolu à redécouvrir. Audacieux, quand on connaît les conditions de tournage en 1942. Se gausser de l'occupant et de Vichy au travers d'une subtile parabole qu'ils ne décryptent pas, ça, il faut oser le faire...
Sans oublier Alain Cuny, qui jouera aussi le rôle de l'archidiacre Claude Frollo, archétype de l'âme tourmentée, dans "Notre-Dame de Paris", aux côtés de Gina Lollobrigida et Antony Queen. Encore un chef-d'oeuvre !
Et puisqu'il est question du Malin, l'inoubliable "Beauté du Diable", l'histoire de Faust, avec Gérard Philipe, où Méphisto se fait couillonner à la fin. Et tant d'autres. "Le Bal des Vampires" de Polanski, par exemple. J'en suis complètement mordu. Stop !
Les vieilles séries culte des années 60. Elle était chouette, Diana Rigg, quand même... Toujours singée, jamais égalée.
N'ayant pas été formé aux lettres, mon ignorance est encyclopédique. Tant mieux : c'est pour ça que j'écris sur tout. Pour savoir ce que je cherche, justement. Une tête, c'est moins encombrant qu'une bibliothèque, et, en principe, on l'apporte partout avec soi. Quoi que... Ou pour arnaquer la mort en anticipant sa venue. Par bravade, aussi : la facilité m'ennuie.
Cependant, j'ai lu tout Montaigne et cinq ou six autres bons auteurs. De ceux qui comptent, pas les courtisans de la télé dont je n'ai cure, et qui me le rendent bien.
Site de 700 pages
« Robin d'Ardèche » b style="color: rgb(112, 112, 94);" , roman parodique
« La Quête d'Aldoran »
« L'Inde Dévoilée » b style="color: rgb(112, 112, 94);" , roman philosophique
« Le Fou qui vend la Sagesse »
« Les Aventures du Docteur Enfoyrus » b style="color: rgb(112, 112, 94);" , roman d'un cinglé total
« Le Cri du Condor »
« Fables et Poésies »
« La Dame du Lac » b style="color: rgb(112, 112, 94);" , courte nouvelle
« La Dame à la Licorne »
«Vie de la Princesse Elda» b style="color: rgb(112, 112, 94);" , conte... euh...
«The Loup-Garou Journal»
« Voyage au Sri Lanka » b style="color: rgb(112, 112, 94);" , invitation illustrée au voyage
Mon chat Mowgli, la belette, et... le petit lapin blanc qui se cache sous le chapeau de certaine damoiselle du voisinage dont je tairai le nom.