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CLARYS/CLIP du titre inédit "BLEU" réalisé par Jean-Marc Sanchez
BLEU from Sanchoo on Vimeo .
ARTWORK PHOTOGRAPHY : Dorothy-shoes
http://www.myspace.com/missdorothyshoes
BIO:
Clarys, tourangelle de 32 ans, est auteur, compositeur, interprète. Noces de singes, son premier album solo, réunit une dizaine de chansons qui sont autant de douces morsures…
Cinquième d’une famille de sept enfants, Clarys passe sa jeunesse entre la campagne qui l’ennuie et la ville dont la foule, les lumières et les bruits la fascinent. Enfant lunaire, elle passe le plus clair de son temps à noircir ses cahiers de dessins et de poèmes, la musique s’impose à elle au fur et à mesure qu’elle découvre sa voix.
S’en suit un parcours artistique nourri de nombreux projets : Noda (trip hop), Ironic Bombact (hip hop jazz), Mezig (électro) et quelques détours par le théâtre de rue qui l’amènent à se faire remarquer en 2003 avec Josephine k, un projet électro-rock dont elle est l’instigatrice.
Vient ensuite le besoin de se consacrer à un projet personnel. En 2006, Clarys s’isole alors dans sa campagne tourangelle pour n’avoir qu’à écrire et composer. Un an plus tard, elle est en studio avec le réalisateur Fabien Tessier (Claire Diterzi). Six mois encore à malaxer, essayer, tendre et détendre : elle cherche l’essence brute des compositions avec une production radicalement simple et épurée.
Naissent ainsi une dizaine de chansons, subtils mélanges de mélodies à la française et de tensions rock, qui constituent l’album Noces de singes : des histoires d’hommes et de femmes, volées sur le bord d’un comptoir, de passions et de ferveurs dans le soufre des cités…
1er ALBUM "Noces de singes"
DISPONIBLE EN MAGASIN Ã partir du 15 SEPTEMBRE 2008
EN TELECHARGEMENT SUR :
ITUNES
FNAC
VIRGIN
STARZIK
eMUSIC
Les Inrockuptibles/Septembre 2008
Septembre 2008/Chronique Fanzine PARALLELE/Doc Pilot
«Un nouvel album de Clarys est toujours un événement en soi, l’assurance d’en apprendre un peu plus sur cette chanteuse aussi fascinante qu’énigmatique. Nous ne sommes pas déçu et avançons avec l’artiste dans un univers précieux , typé et empreint de la nostalgie des bonheurs vécus et à venir, des tragédies qui toujours en marquent l’épilogue. Fatale est Clarys, en la femme , en l’artiste, et tout est dit en un souffle ,un son ou un cri.Troublant de voir aboutie la réalisation d’un projet longuement mûri , sans compromis facile ni marchandage honteux ; si " la mode " imposait le talent et la rigueur comme incontournables , le travail de Clarys deviendrait " tendance " et nous obligerait au partage de sa subtile et intime dégustation.»
Septembre 2008/Chronique sur le Blog http://www.c-mazik.c.la
« Voilà un album bien étrange en tous points...Â
Un titre ambigu (qui pourrait peut-être évoquer la bêtise des rapports humains), une pochette mystérieuse (qu'y a-t-il donc derrière cette porte que Clarys, de dos, semble être sur le point d'ouvrir à grand mal?), des titres qui semblent évoquer des univers différents...
C'est donc un album qui ne semble pas vouloir se livrer d'emblée... Et celui qui se croirait tiré d'affaire en l'écoutant, pour avoir accès au sens, se fourvoierait . Là encore les textes déroutent, tout comme les thèmes abordés.
On pourrait se risquer à proposer des interprétations des dix magnifiques chansons de l'album. On pourrait se créer un cheminement, inviter les autres à le suivre . Mais peut-être aussi à se perdre. Alors nous garderons en nous la façon dont les chansons de Clarys vivent en nous, et laisserons à chacun le soin de les faire vivre -ou mourir- en lui, et nous nous contenterons d'évoquer quelques pistes...
On dira donc que les chansons de Clarys abordent sans complaisance des thèmes qui semblent parfois anecdotiques (l'élitisme béat d'un "Monsieur", des histoires d'amour sur le déclin, au bord du précipice macabre ou d'une bouche ...) mais qui laissent la place à une lecture plus universelle, souvent. Car il en va de la vie comme dans "On boit" : "on boit les coups, c'est pas l'alcool mais c'est la vie qui nous rend soûls "... Et le vide de nos vies nous saute à la figure dans ces chansons: et si la société moderne nous détruisait de l'intérieur, nous rendait indifférents à tous ces "autres", et si l'hommage à cette mère était aussi celui à notre mère qui elle aussi , à  la fois libre et soumise, n'a pas rechigné à la tâche et s'endort sur sa chaise ? Mais voilà qu'on se prend encore à conjecturer, à interpréter , au lieu de savourer la façon dont Clarys fait vivre les mots, dont elle les marie aux sonorités de l'album, du jazz au rock, en passant par des ambiances plus feutrées ou plus ethniques ...
    Et c'est ainsi que ces "Noces de singes" s'imposent comme un des albums les plus audacieux et les plus aboutis de l'année, un de ces albums qu'on écoute sans se lasser et qu'on redécouvre sans cesse . Et c'est assez rare pour qu'on ne se prive pas d'être totalement séduit par le projet !»
Août 2008/Benoit Pinero (Directeur de la Pléiade) en parle:
« Jeune artiste d’origine berrichonne et tourangelle de coeur, ex-josephine k, Clarys est une tête chercheuse.Habituée des studios et de la scène, elle peaufine des atmosphères sonores où le rock se mâtine de sonorités pop et folk.Son premier album solo "Noces de singes" sera sans nul doute à l’image de ce que l’on sait de la belle : un mélange de raffinement et d’élégance, soutenu par une tension permanente. Tout en cohérence, textes et musiques s’unissent pour former un univers personnel d’une rare profondeur, là où beaucoup de jeunes artistes cèdent à la facilité ou à la référence. »
CHEMINS DE SCENE:
... 1ère partie d'Emilie Simon, Nosfell, Robert, Prohom, Orly’Chap, Camille, Arthur H
... En 2008
Le Bataclan – Paris 75
1ère partie de Pauline Croze
Le Living – Bourges 18
« Le Printemps des Tontons »
Le Tamanoir – Gennevilliers 92
1ère partie de Cocosuma
OPA Bastille – Paris 75
avec Gaspard La Nuit
Le Prieuré Saint Cosme – 37
1ère partie de Franck Monnet
Mains d’œuvres – St Ouen 93
avec L + June & Jim ...
Juin 2008 Fanzine PARALLELE/Doc Pilot
CLARYS en concert au Prieuré Saint Cosmes (La maison de Ronsard)
« Clarys ex tourangelle et parisienne d’adoption revenait sur ses terres dans un lieu intemporel et si chargé d’histoire qu’il impose d’en être digne. L’artiste n‘est plus la même, elle a grandi, évolué en son propos comme dans son attitude. La mélancolie, les interrogations existentielles, l’amour dans ses joies et ses souffrances sont les thèmes exploités, et ce sont tout d’abord les textes qui captivent, vécus dans le chant, sentis dans le geste, les expressions; la musique rappelle Ry Cooder, Le Velvet, Portishead. Tout est affaire de climats installés, d’ambiance étirées comme la bande son d’un film qui parlerait d’une jeune femme dont la vie n’est pas facile mais dont le talent nous porte à croire qu’elle a tout pour réussir. »
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