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NaWaK

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ACTE I :
-scène 1 :
Notre belle histoire commence dans la salle des fêtes d’Epinay sur Orge lors d’un concert organisé par l’association Ad’Hoc aux alentours de Novembre 2002. ATGC (Anti Tout Globalement Contre) n’en est alors qu’aux balbutiements de ses 2 membres fondateurs : Vincent (plus communément appelé Vince ou Donald) auteur, compositeur, interprète, guitariste, chanteur (tout ça en une seule personne), futur ostéopathe de son Etat, alter-mondialiste et anti-américaniste primaire ; et Benoît (Ben pour les intimes et « Mr le professeur » pour d’autres) auteur, compositeur, interprète, claviériste, guitariste, choriste (à la Delerm) et futur saxophoniste, actuellement professeur des écoles, joyeux luron, cool et tranquille.
-scène 2 :
Elle se passe toujours au même endroit mais après le passage d’un groupe de jazz funk, un énergumène quelque peu bizarre s’avance vers Ben pour le saluer et entame la discussion avec Vince sur les talents incontestés et incontestables du batteur qui venait de se produire sur scène. Vince, tout en politesse, réponds quelques minutes à l’inconnu avant de lui demander pourquoi il vient lui causer fûts et cymbales, lui qui n’est que soit disant modeste gratteux d’une six cordes. L’homme en noir lui rétorque alors étonné : « Mais tu prends bien des cours de batterie le samedi de 10h30 à 11h30 à Renaissance et Culture ?? » Et bien non ! Mais de cette cocasse confusion naît la rencontre avec le futur batteur, à savoir Olivier (entre autre surnommé Olive ou Caliméro pour son caractère) batteur donc, quelque peu percussionniste, choriste (tierce man pour les initiés), futur morceau de gruyère affublé d’une crête, aux mains d’argent et à l’esprit rock ‘n roll. Rendez vous est pris pour la présentation des morceaux et le passage du casting.
-scène 3 :
En parallèle, Antoine (surnommé Toine par peu de monde et rien par le reste) matheux complexe, amoureux de l’algèbre, extrémiste de gauche à tendance Maoïste voire anarchiste total, découvre le projet de ses deux compères et amis Ben et Vince et décide alors je cite « rien que pour le trip, ça pourrait être rigolo » de devenir le membre ultime au bon fonctionnement musical de tout groupe qui se respecte, à savoir bassiste.
-scène 4 :
ATGC connaît enfin son line-up premier et entame les premières répétitions dans le joie du Christ, soyez heureux frères zicos et sœur ziquettes ! Nous sommes alors en l’an de grâce 2002 après Jean-Claude, toujours aux alentours du mois de Novembre, il est 15h36 (heure du pastis).
ACTE II :
-scène 1 :
Notre quartet à tendance rock patchwork, à la fois engagé, festif et death-musette-progressif, est en pleine répétitions, séances musicales qui connaissent des heures de gloire et des répliques cultes : « Y a trop de batterie », « Toine est encore en retard »… Quelques morceaux qui deviendront célébrissimes (à n’en pas douter) voient alors le jour : Petit Farmer, Boulet de Canon et Yahourt crient déjà dans leurs berceaux et seront dévoilés lors du tout premier concert improvisé (qui s’apparenta à un solo de batterie) lors d’une grande soirée. La scène conquit déjà nos héros !
-scène 2 :
Il est de notoriété publique que Olivier, notre destructeur de bambous et de tympans, est un grand romantique (si vous ne le savez pas, lisez les journaux). Le bougre s’entiche d’une messine et annonce alors son intention de déménager et de conquérir la lorraine (on verra plus tard pour l’Alsace). Comment faire sans batteur ? A-t-on jamais vu sa rage hurlée sans les résonances tonitruantes d’une cymbale déchaînée ? A-t-on jamais entendu un rockeur manifester sa hargne sans un bourdonnement d’oreille consécutif de la rencontre plus que apocalyptiquement bruyante d’une baguette et d’une peau de caisse-claire ou d’une patte et d’une membrane de grosse-caisse ?! Et bien non mes ami(e)s ! Et c’est pourquoi le remplacement est inévitable. Le printemps 2003 se présente alors bien changeant…
-scène 3 :
Notre salut nous vient alors d’un jeune multi instrumentiste connu de toutes et de tous, j’ai nommé (enfin « ses parents ont nommé ») Rémi (alias Rem’s pour toute la clique et John Myung pour les fans du Théâtre des Rêves) batteur, bassiste, guitariste, claviériste, flûtiste, accordéoniste, xylophoniste, balaphoniste, garagiste, dentiste, kayakiste… J’en passe et des meilleurs, qui prend donc la place d’Olive derrière les fûts.
-scène 4 :
Nos trois comparses accompagnés d’un nouvel ami se relancent alors dans des séries de répétitions effrénées, Rémi offrant au groupe la possibilité de jouer chez lui, épargnant ainsi des dépenses inutiles et, au passage, les précieuses oreilles de ses musicos. Mais des divergences de point de vue et d’investissement naissent quelques mois plus tard et grandissent bien vite, remettant en cause la motivation du dernier arrivant venu. pour enfoncer le clou, Olivier semble repointer le bout de son nez percé (et pas que le nez d’ailleurs…).
ACTE III :
-scène 1 :
Après nombreuses péripéties, innombrables discussions, moult frites (merci Fred !), Rémi quitte le groupe et se lance dans son projet personnel musical et une carrière solo. ATGC voit alors le retour de son batteur originel et original ! Les répétitions dans le cultissime Casa loco Street Machine reprennent de plus belle et les acouphènes aussi… 2004 vient tout juste de débuter et va s’avérer plutôt calme.
-scène 2 :
Tout d’abord, nos amis choisissent de changer de nom, ATGC rappelant un trop le nom d’une déjà connue bande de hardos australien, groupe préféré des écologistes comme chacun sait. Mais que choisir ? Toine et Vince sont toujours d’accord contrairement à Ben et olive qui ne cessent de se contredire : l’un aime, l’autre déteste et vice versa. Et cette histoire n’est pas prête de prendre fin à ce moment là…
-scène 3 :
L’été 2004 s’avance doucement avec le retour du soleil, de la chaleur, les jupes raccourcissent, les chemises tombent… Mais surtout, nos 4 compères obtiennent enfin une première date de concert plus ou moins publique : rendez vous est pris le 21 Juin, jour de la Fête de la Musique grâce à notre ancien ministre de la culture à la langue bien pendue, chez un ami qui organise une petite sauterie pour l’occasion. Les fans y seront déchaînées, la batterie très forte, les parties basses approximatives, le clavier bien présent , le chant et la guitare toujours aussi rageurs. Bref, tout ce qu’on aime ! Mais où en est l’affaire du nom de groupe ? Elle se réduit à une « boîte à idées de noms » déposée devant la scène ce soir là et ouverte au public, qui y fera preuve de peu d’imagination mais de beaucoup d’humour…
-scène 4 :
Notre bande de sans nom s’en résout un beau jour à surfer sur le web en quête de patronyme groupal original ou tout du moins qui plaise à tout le monde. Et la tâche est peu aisée croyez moi !! Mais c’est à l’occasion d’une faute de frappe que notre graal nominal sera enfin révélé. L’amerrissage sur la page « ERREUR 404 - Not Found » résonne comme une évidence et le petit prénom de cette gentille page internet est adopté. Ne dîtes plus ATGC mécréants, c’est ERREUR 404 qu’il faut scander à présent ! Et notre année 2004 après Jules Christophe s’écoule doucement vers sa fin, tranquille chemin bercé de la joyeuse musique toujours aussi variée et inspirée de nos bien nommés maintenant.
ACTE IV :
-scène 1 :
Une nouvelle révolution autour du soleil pointe le bout de son nez pour notre planète tant aimée ! Quelque part en Europe, en France pour être plus précis, en Île-de-France même préciserais-je, en Essonne d’ailleurs voudrai-je préciser, à Sainte Geneviève des Bois précisément, les répètes ne cessent de se suivre chaque samedi et connaissent leur lot de nouveautés : Le Gouffre et Petite Fiole apparaissent pendant que leurs aïeux Idées Noires, Toute Seule Dans Sa Chambre, L’Apprenant et l’infatigable Ghyslaine continuent de se rôder tranquillement. Mais il est déjà temps de penser au prochain concert car depuis le jour de l’été 2004 il ne s’est rien passé sur scène concernant nos 4 ERREUR 404. Et pourquoi ne pas fêter ça un an après mais dans le cadre d’une véritable organisation ? Olive officie alors à la Taverne Gambrinus et l’endroit est à fait approprié pour un bel anniversaire en musique ! RDV le 21 Juin et 2005 ne fait que commencer…
-scène 2 :
Jamais one ne connut plus chaud et plus bruyant démarrage estival ! Le concert connaît un énorme succès (facile avec un public d’ami(e)s proches déjà rendus à notre cause…). Mais il faut aussi penser à la suite et une opportunité de participer à la toute première édition du Tremplin de la Pochette Surprise s’offre divinement à nos pas-encore-remis-de-leurs-émotions-scéniques !! Un problème se alors : il faut une maquette… Loué soit Dieu (mais pas trop cher) le solution se présente en même temps : Renaud, président de 360 Prod qui s’occupe entre autre de la programmation musicale de la Taverne Gambrinus et qui organise aussi le tremplin, nous propose ses services afin de se faire en même temps la main pour ses études d’ingénieur du son. Dionysos pour les hellénistes ou Bacchus pour les latinistes, semblent avoir porté son regard sur nos futurs ex-ERREUR 404 car une fois n’est pas coutume, le nom du groupe commence à déplaire à certains. « ça fait trop penser à une voiture » nous dira-t-on entre autre…
-scène 3 :
Le 30 Avril restera une date mémorable et inoubliable (dans mon agenda) : ERREUR 404 rentre en studio afin d’enregistrer leur toute première démo. Ils ne savent pas encore, et nous non plus d’ailleurs, qu’elle marquera un tournant décisif sur le grand prix de la scène musical française… Un week-end entier sera nécessaire à la mise en boîte informatique et live des textes et musiques de nos 4 futures Victoires de la Musique 2008 (bin quoi ?! On a le droit de rêver…). En parallèle, le dossier d’inscription au tremplin s’échafaude, les répèts s’enchaînent, les oiseaux chantent, le soleil brille, l’eau mouille et le feu brûle toujours autant.
-scène 4 :
Après l’envoi d’un premier mix nécessaire à la participation du TLPS et quelques semaines d’attente, les inscriptions se bouclent avec 63 groupes présélectionnés, de tout horizon musical et de tout âge, moins de 30 ans et uniquement amateurs essonniens cependant. Et une autre affaire interminable se boucle enfin ! Nos indécis adorés tombent enfin d’accord sur un nom qui semble avoir été créé pour eux : NaWaK (aux dernières nouvelles, aucun changement de nom n’est prévu pour le moment…). Les semaines s’écoulent sous le nouveau patronyme, le mixage et la post-production de la maquette avancent et les résultats du tremplin tombent : 9 groupes sont sélectionnés pour les demis finales. Nos néo nommés échouent à la 10ème place… A la fois dépités d’être si proches du but et très content de leur classement malgré tout, ils décident de se concentrer sur leur future rondelle car force est de constater que ça avance à la manière d’une tortue qu’on aurait parachutée en plein désert du Sahara...
-scène 5 :
Mais la tortue va connaître un bouleversement soudain : voilà que l’un des 9 demis finalistes se désistent laissant ainsi la place inoccupée. Et qui va à la chasse à la tortue, perd sa place car le tort tue ! Nos Nawakiens se voient alors propulsés parmi l’élite musicale essonnienne amateur et jouent à leur demi finale le 30 Septembre 2005 à la MJC de Chilly Mazarin, opposés à The Studs et KeepMind. Le concert mené tambour battant et à une train d’enfer se finit dans les cris et hurlements des fans (toujours des ami(e)s proches) réquisitionnés pour l’occasion afin de faire pencher la balance en faveur de leurs héros scéniques d’un soir. L’attente de la délibération est insoutenable mais connaît un dénouement inespéré : NaWaK est retenu pour la finale !!! Loué soit Dieu (une fois de plus !) et pourvu qu’il soit dans le public pour les soutenir et influencer le dernier jugement…
-scène 6 :
N’ayant pas été retenus à l’époque pour ce fameux tremplin, nos « n’importe quoi » verlantistes avaient été programmés pour un concert organisé par l’association Ad’Hoc, partenaire du TLPS le lendemain de la demi finale. Un concert qui verra sûrement leur plus pitoyable prestation. Rien de quoi se rassurer pour la finale qui approche à grands pas ! Mais la succession des répétitions, l’intensification des réunions de groupe et une passage sur l’antenne de Radio Mille Pattes accélère le temps et nous voilà déjà le 22 Octobre 2005, à la salle « Gérard » Pompidou (bravo Olive pour tes connaissances historiques…). La tension est palpable car NaWaK se trouve face à 3 autres groupes d’une très grande qualité musicale : Manchild, Rastamytho et Throw Panda Bat. Décision est prise dès lors d’assurer le spectacle et de chauffer la salle car nul doute ne les habite (comme Satan) : ils seront bon 4ème alors autant s’éclater ! Et nos futurs médaillés en chocolat auront bien eu raison. 2005 s’achève sur des bons souvenirs de scène, de rencontres et de musique. Et pendant ce temps là, notre tortue progresse comme elle peut…
ACTE V :
-scène 1 :
Plus que jamais concentrés sur les interminables modifications des mixages de leur future maquette, Vince, Ben, Toine et Olive continuent toujours de répéter et 2006 ne déroge pas à la règle. Tout comme la première année bissextile du XXIème siècle (2004 , merci à ceux qui suivent, il peuvent prétendre à une ristourne lorsque le CD sortira), le groupe donne rendez vous à ses fans et amis le 21 Juin, éternel jour de la Fête de la Musique au Stef Café dans leur fief de Sainte Geneviève des Bois. Un agréable concert à ajouter sur la liste qui comme l’oiseau grandit petit à petit. Et dans l’ombre, le tout premier CD de NaWaK prend forme… Que la force soit avec eux !

My Interests

Music:

Member Since: 10/23/2006
Band Website: nawaklesite.free.fr
Band Members: Guitare / Voix: Vincent Bourguignon
Basse: Antoine Gerbaud
Clavier / Guitare / Voix: Benoît Bayon
Batterie / Voix / Percus: Olivier Cléro

Influences:
Sounds Like:

Boulet de Canon

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Record Label: unsigned
Type of Label: None