GroRR

Grorr recherche un DJ ou un clavieriste qui aimerait rajouter des éléments électroniques dans not’ métal. Contactez nous ici où sur [email protected]..

Biographie grand public..

La loutre et Belzeb, après s’être croisé dans plusieurs groupes ont été pris, en 2005, de l’envie de fonder un groupe de death. Au départ, le projet était de produire une musique bête et méchante. Le concept de Grorr devait tourner autour du monde des insectes, qui sont eux aussi, au premier abord, bêtes, méchants, et nombreux.

Ne trouvant pas de batteur, la solution de la boite à rythme s'est imposée, ouvrant la possibilité d'intégrer des influences électronique. Petit à petit des relents mélodiques ce sont progressivement glissé au milieu des déluges de brutalité.

En 2006, Yogi, guitariste de La Grippe, est entré dans Grorr en tant que bassiste. Il n’a eu de cesse depuis d’aggraver le côté progressif et mélodique. Aussi, après trois ans de boite a rythme, Grorr a enfin trouvé un batteur qui remplace avantageusement le fidèle cakewoulk…

Biographie pour les intimes..

Un jour La Loutre, dans son usine de cassoulet (dont on taira le nom), se dit « Tiens! Je jouerai bien un peu de tronçonneuse » et il se dit aussi (parcqu'il pouvait se dire beaucoup de choses) : « Je vais appeler Belzob, parce qu'il aime bien tronçonner ».

Alors il l'appela et ils parturent tout deux défourailler un gros bout d'Amazonie protégé par des autochtones peu friand de tronçonneuse. Les autochtones ne s'en remirent que très difficilement car malheureusement pour eux ils n'était pas résistants aux lames en acier trempé. Quel dommage ! Mais La Loutre et Belzob y rencontrèrent des insectes très gentils qui devenurent leurs amis, dont un gros tout vilain qui sappelait GroRr. Ils décidame de lui emprunter temporairement son nom pour leur entreprise de déforestation, et ils écrivurent des chanson sur leurs amis les insectes qu'ils chantirent à tue-tête dans la forêt en fézant une farandole avec leurs potes.

Finallement, quand il n'y eu plus d'arbre en Amazonie, ils parturent à l'aventure à Pau. Une fois qu’ils furent tous deux arrivés main dans la main, l’autre posée sur la tronçoneuse, ils se firent un devoir de déforester le Béarn .

Un jour qu’ils massacraient joyeusement tout ce qui a des branches dans la banlieue de Pau, ils entendurent un bruit des plus bizarre : une sorte de tremblement qui retentissait fort violement. Intrigués de voire le sons mélodieux de leur tronçonneuses en partie cachée par un bruit tout aussi mélodieux, mais bien plus fort, ils décidurent d’aller voir d’où que ça pouvait bien venir. Ils tomburent, au bout de quelques pas, nez à nez avec un petit personnage au regard hargneux, munit d’une tronçonneuse encore plus grosse que les leurs. Plus un seul arbre ne tenait encore debout autour de lui. Il les accueilli avec ces mots « Un pet s’éteint, un rot s’éveille. Je me nomme Vulvic ». Retourné par tant d’éloquence et tant de constance dans la destruction de l’écosystème du piémont pyrénéen, La Loutre et Belzob décidurent d’un commun accord qu’ils tronçonneraient avec un nouveau collègue. Vulvic transporté d’une stoïque joie accepta.

Ils parturent alors à l’aventure et c’est dans les douces collines déboisées du Béarn qu’opéra la magie qui pue...

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