CALCULUS
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allo everybody! i'm me. i like listening and sharing ideas with strangers, so feel free to chat it up, ask questions, what have you. if you know a few languages, speak em, i'm particularly fond of them. as you can tell, i'm quite fond of serj tankian as well, hence serjical prodigy. i have cool gardens, but to be completely honest, i haven't read the whole thing-- don't tell serj. it's ok, but he can get a little wordy sometimes. ironic too, i've recently read circus tiger...those san franciscans. speaking of which...here it is!
(Circus Tiger):
"A circus tiger mauled and killed his trainer.
I wonder what set him off," said the commentator.
I don't know. How would you feel if seperated from your family,
you were shipped to different cities in a cage no less,
Bound of life, with pain/pleasure techniques,
And complete humility for performance under duress,
A whip no less.
If you were a tiger would you do it?
Would you break away,
Think of escape and if desperate,
Kill and avow your infinite humiliation and guaranteed death?
Do you do it, now, as a human?
If not, then I understand why you were not sure
What set the tiger off, Mr. Commentator.
je veux me rencontrer avec ceux qui m'enseigneront, et ceux dont j'apprendrais (bien que ceux qui je vraiment voudrais me rencontrer sont déjà morts, littéralement ou figurativement--et parfois tous les deux). personne ne devrait être trop timide pour me parler. je n'ai aucun goût particulier quand il concerne aux idées esthétiques, mais malheureusement je suis conservatif en ce qui concerne des avis sur les problèmes sociaux. ne soyez pas déçue, bien que ma manière de penser soit conservatif, je suis également créatif. alors, si vous toujours voulez me parler, faites-le!
Divorzio all'italiana
8½
(III: une tempête sous un crâne )
"Faire le poëme de la conscience humaine, ne fut-ce qu’a propos d’un seul home, ne fut-ce qu’a propos du plus infime des homes, ce serait fonder toutes les épopées dans une épopée supérieure et définitive. La conscience, c’est le chaos des chimères, des convoitises et des tentatives, la fournaise des rêves, l’antre des idées dont on a honte ; c’est le pandémonium des sophismes, c’est le champ de bataille des passions. A de certaines heures, pénétrez a travers la face livide d’un être humain qui réfléchit, et regardez derrière, regardez dans cette âme, regardez dans cette obscurité. Il y a la, sous le silence extérieur, des combats de géants comme dans Homère, des mêlées de dragons et d’hydres et des nuées de fantômes comme dans Milton, des spirales visionnaires comme chez Dante. Chose sombre que cet infini que tout homme porte en soi et auquel il mesure avec désespoir les volontés de son cerveau et les actions de sa vie !"--V.H.