[ENGLISH]
The Licks : a unique sound that draws its influence from what Ohio has
best to give in quality of indie and garage music.
Franz Hausammann was nourished by the feeding-bottle of the Mississippi river of which its flows and risings rocked his tender childhood.
In no way does he refute the country environment which he manages to integrate in the repertory. The music of The Licks does not go from one pole to another; it swallows them, digests them and expresses them so that a new, long-lived and essential sound emerges from it.
Without considering that Franz has family and musical attaches (20 Miles) in NewYork, which integrates an urban and modern touch perfectly into the compositions and texts.
Powered by the strength that reggae and dub insufflated into him, David Ashby
gives the terrestrial and instinctual dimension to the repertory of The Licks.
Striking, sober and precise, Benjamin Monnard is indisputably the rhythmic component without whom The Licks would not be The Licks. A drum stick in each hand, this beater who knew how to escape from the sirens of early virtuosity to keep it definitely rock and human.
[FRANCAIS]
The Licks : un son unique, original qui ne se contente pas de puiser ses influences dans ce que l’Ohio a pu et peut encore receler de meilleur en
matière de rock n’ roll, indie, garage et underground brut de décoffrage.
Franz Hausammann s’est en effet nourri au biberon du fleuve du Mississippi dont
le flux et les crues ont bercé sa tendre enfance. Il ne réfute à aucun moment
l’environnement country chaleureux qu’il parvient à merveille à intégrer dans le
répertoire, plutôt que de le récupérer. La musique de The Licks ne passe pas de
l’un à l’autre de ces pôles, elle les avale, les digère et les exprime de sorte qu’un
son nouveau, vivace et indispensable s’en dégage.
Sans compter que Franz a des attaches familiales et musicales (20 Miles) à New York, piment urbain et moderne qu’il intègre parfaitement aux compositions et aux textes dont il est l’auteur.
Fort de la solidité que le reggae, le dub et l’electro lui ont insufflé, David Ashby
donne la dimension terrestre et pulsionnelle qui fait que le répertoire de The Licks
non seulement cartonne, mais tourne.
Percutant à souhait, sobre et précis, Benjamin est indiscutablement le composant rythmique sans lequel The Licks ne serait pas The Licks. Une baguette à chaque main, une pédale à chaque pied, ce batteur a su échapper aux sirènes de la virtuosité précoce pour en faire un outil définitivement rock et terriblement humain.