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Take your keys, your present night caprice or anything else & cover the cinematic kingdom of your choice. But even alone in your rockin’escape, you will always feel a weird presence.
L’Écran Fantastique, mars 2008 :
"...une nouvelle dimension sonore proche de la sensibilité de cinéastes tels que Michael Mann, John Carpenter ou encore David Lynch, et on se surprend à se laisser littéralement happer par ces excursions musicales aux inspirations aussi rock que fantastique, dont le contenu des images n’est voué qu’à notre seule imagination. Du métal à l’électro, en passant par la pop gothique et orchestrale, Antoine Saison et ses invités font vibrer les murs tout en défiant les conventions, afin de proposer le meilleur d’un son nouveau, où rigueur et qualité de production se côtoient en un même souci d’excellence. « Chaque morceau pourrait être le Main Title d’un film, mais avec une volonté de développement et de structure indépendante » explique Antoine Saison. « Je souhaitais quelque chose de plus riche qu’une simple succession de Love Theme ou de scènes d’action, tout en ayant une unité en termes de son et de structure, afin de donner une réelle homogénéité à l’album, bien qu’il soit assez varié ». De la montée en puissance du surprenant Prophecy, soutenue par la voix enivrante de Lena Kowski, à l’humour macabre de Harlem Suckers, Intersections s’impose comme un dynamisant moment de découverte, pimenté par une passion omniprésente et sincère de son auteur à l’égard du meilleur de la musique de film… « When rock & films fuck together », il n’y a plus qu’à tracer la route !"
CinéLive, mars 2008: "Une élégante noirçeur..."
Metalland , février 2007 : "ELVIN ROAD, c’est principalement un homme : Antoine Saison, un Artiste avec une majuscule qui sait s’entourer. Et qui a surtout une créativité à toute épreuve. Baignant dans l’Electro et l’Indus, "Intersections" est un de ces OVNIS que j’adore : tapant dans tout et rien, prenant le meilleur pour l’améliorer à la sauce de l’artiste, cette galette est un pur condensé d’éclectisme et de talent. Eclectisme car on a droit aux des plages bien Electro fourrées au Goth, des passages Indus aux passages puissants avec toujours ce mix démentiel qui transcende l’--uvre.
L’ambiance qui suinte de ces 11 titres vous étreindra et ne vous quittera plus pendant des heures (car je sais que vous appuierez à nouveau sur "lecture"). ELVIN ROAD tient une place à part sur la scène, et la tient bien : n’hésitez pas à jeter une oreille sur son --uvre, dépaysement garanti !
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