J’apprécie beaucoup la grâce des sculptures de la Grèce classique et hellénistique avec des artistes, pour cette seconde période, comme Praxitèle et son Hermès, véritable chef-d’,,uvre, à mon sens, et, plus tard, les ,,uvres de la Renaissance, du David de Donatello à La belle jardinière de Raphaël en passant par les fresques de la chapelle Sixtine dues à Michel-Ange et La Cène de Léonard de Vinci ; plus près de nous, l’Infante Marguerite de Velázquez, une étrange toile de Balthus, Les Beaux jours, les eaux-fortes de Rembrandt, Les iris de Vincent Van Gogh et La Toilette de Vénus de Rubens me parlent beaucoup.Dans le domaine singulier de la philosophie politique, Le Prince de Machiavel a retenu mon attention dès lors que j’ai été capable d’en appréhender toute la complexité, alors même que mes préférences vont, en philosophie pure, disons, à Friedrich Nietzsche, le thème de la volonté de puissance et sa dénonciation lucide du christianisme, du scientisme et du socialisme, à Martin Heidegger, bien sûr, dont l’,,uvre est majeure, incontournable et salvatrice.A lire, absolument, Histoire et tradition des Européens de Dominique Venner, pour les qualités d’écriture de l’auteur, sa rigueur scientifique et son amour de ce qui fait notre identité.
Des hommes et des femmes sympas qui partagent mes passions et centres d'intérêt.
Là encore, mes goûts sont plutôt éclectiques, de la musique classique – dans le désordre, pour les compositeurs, Wolfgang Amadeus Mozart, Ludwig van Beethoven, Maurice Ravel, Richard Wagner, Antonio Vivaldi, Carl Orff, Giuseppe Verdi ou Frédéric Chopin et, en particulier, des ,,uvres comme La chevauchée des Walkyries, Sonate au clair de lune, Les quatre saisons, O Fortuna Imperatrix Mundi, Nabucco, La symphonie du Nouveau monde ou Le Boléro, aux accents du goth metal le plus mélodique ou le plus lourd, de Evanescence à Rammstein, de Nightwish à Raphsody ou bien Gamma Ray, Manowar, Lacuna Coil et Within Temptation ; j’apprécie tout particulièrement les voix féminines, tant en country music avec Gretchen Wilson, Sheryl Crow, Shania Twain ou Kim Carson – même si j’aime beaucoup un Steve Earle ou un Johnny Cash, incontournable, que lorsqu’il est question de pop music et de rock’n roll avec des artistes tel que Avril Lavigne, The Corrs ou Texas, préférant dans le même temps Queen et les Rolling Stones aux Beatles, talentueux mais un peu trop académiques à mon goût. Certains interprètes européens tel que Laura Pausini, Umberto Tozzi ou Toto Cutugno m’enchantent aussi et la variété française a toutes mes faveurs dès lors que l’artiste est doué, écrit bien ou s’engage, de Edith Piaf à Joe Dassin et Dalida en passant par Michel Sardou, Jean-Philippe Smet, Michel Berger ou Daniel Balavoine, j’en oublie, il y en a bien d’autres.
Du plus loin dont je puisse me souvenir, je demeure un spectateur fasciné par ces batailles de rues, de plaines ou intersidérales portées à l’écran par le cinéma anglo-saxon qui, à mon sens, n’a pas son pareil pour dresser pareils enchantements des yeux et de l’âme, de Star Wars à l’adaptation de The Lord of the Rings en passant par des chefs d’,,uvres tels Braveheart, Starship Troopers et, plus tard, Gangs of New York. Il est aussi d’autres longs métrages fascinants, de mon point de vue, notamment la trilogie Spider-Man du réalisateur Sam Raimi, démiurge qui retient depuis quelques années mon attention ; de la même façon, j’ai beaucoup apprécié d’autres adaptations comme The Silence of the Lambs ou encore celle que figure la trilogie X-Men. Dans un tout autre genre, de longs métrages tels que The Green Line, Fallen, Vanilla Sky, Casino, Excalibur, Fantastic Four, The Grudge, Usual Suspects, A Bronx Tale, Heat, Sweet November, Apocalypse Now, Gladiator ou Ocean Eleven. Certains classiques européens m’ont beaucoup plu, je n’en citerais que quelques-uns, français ici, parmi ceux qui ont été pour moi les plus marquants : L’auberge rouge, Le professionnel, I comme Icare, L’aveu, Manon des sources, Le cercle rouge et La septième cible. Des goûts éclectiques, pour ce qui est du cinéma, comme souvent en ce qui me concerne, répugnant toujours à distinguer les ,,uvres, quelles qu’elles soient, en raison de leur genre présumé ou avéré, trouvant autant plaisir à m’imprégner de l’atmosphère d’un film romantique ou d’un long métrage de science-fiction.
Quelques séries TV américaines : NCIS, CSI - The Experts, Las vegas, etc.
Il y a une éternité de cela, j’ai dû lire toutes les nouvelles des séries Le club des cinq et Les six compagnons, avec un grand intérêt et un vif plaisir puis, plus tard, ainsi que je l’ai déjà précisé, des romans bien plus construits, de ceux de Stephen King aux chefs-d’,,uvre de Alexandre Dumas et Emile Zola, de Edgar Poe, Guy de Maupassant, Jules Verne, Herman Melville et Thomas Harris ; il y en a d’autres, c’est certain, mais ceux-là m’ont marqué au plus haut point.
Sur le plan des bandes dessinées, j’ai déjà évoqué l’attrait des comics, particulièrement ceux qui narraient les aventures et les exploits de super héros tel que Spider-Man, Captain America, le Surfeur d’argent, les X-Men ou Superman et Lex Luthor, aussi m’attarderai-je ici sur les écoles britannique, française et belge, citant la série des Tintin, Astérix, Achille Talon, Blake and Mortimer, Alix, Natacha ou encore Yoko Tsuno, les adaptations au cinéma ou à la télévision des deux premières bandes dessinées citées ayant par la suite suscité chez moi un vif intérêt de par leur qualité et leur fidélité à l’,,uvre originale. Concernant les courts métrages – dits dessins animés, et les films d’animation à proprement parler, j’ai vibré et vibre toujours en me repassant, au hasard des rediffusions, les épisodes des séries Albator et Les mystérieuses cités d’or qui ont enchanté mon enfance et une partie de mon adolescence, puis des longs métrages tels Akira, Ghost in the Shell et Le voyage de Shihiro, les ,,uvres japonaises, de cette dernière à Battle Royale, trouvant bien souvent grâce à mes yeux.