About Me
EN : The OSLO DEADTRASH PROJECT is a solo project / suicidal draft driven by pierre [arthur] lejeune. Based in Belgium [a small country somewhere between Spain and Denmark]. At the beginning, there was an old organ in a living room and an omnipresent wish to produce intimistic songs with guitars, piano, melodica, xylophone, moog and items like that... A lo-fi programmed drum plus a sensible and inspired voice.
Forget all you ever heard before. The OSLO DEADTRASH PROJECT is full of melancholy and sincerity, light indietronica pop songs made with hands at home. Since 2004, the project is signed on Carte Postale Records and distributed by Cod&S.
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FR : The OSLO DEADTRASH PROJECT est le projet solo / brouillon suicidaire conduit par pierre [arthur] lejeune. Situé en Belgique [petit pays quelque part entre l’Espagne et le Danmark]. Le projet commence autour d’un vieil orgue dans le salon de p[a]l et d’un désir omniprésent de produire des chansons semi-électronique et intimistes saupoudrées de guitares, piano, moog et des ustensiles tel que mélodica ou xylophone. Le tout rehaussé de rythmes lo-fi savamment programmés et d’une voix sensible et inspirée.
Oubliez tout ce que vous avez entendu auparavant, The OSLO DEADTRASH PROJECT, aux parfums de mélancolie et de sincérité, diffuse une indietronica légère, pop et sâle, faite à la main. Depuis 2004, le projet a trouvé refuge chez Carte Postale Records et est distribué par Cod&S.
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SP : The OSLO DEADTRASH PROJECT es un proyecto en solitario / boceto suicida dirigido por Pierre [Arthur] Lejeune. Situado en Bélgica [pequeño paÃs establecido en algún lugar entre España y Dinamarca]. El proyecto comenzó con un viejo órgano en la sala de estar y un omnipresente deseo de producir canciones intimistas creadas a base de guitarra, piano, melódica, xilófono & moog. Programaciones lo-fi sumadas a una sensible e inspiradora voz.
Olvida todo lo que has escuchado antes, The OSLO DEADTRASH PROJECT irradia melancolÃa y sinceridad, brillante indietrónica, canciones pop hechas en casa. Desde 2004,
el proyecto forma parte del sello Carte Postale Records y es distribuido por Cod&S.
Puedes adquirir material de The OSLO DEADTRASH PROJECT vÃa iTunes o tiendas alrededor del mundo [Fnac, Duotone, etc...] y disfrutar de los regalos -tracks & EPs gratuitos- que eventualmente aparecen en sus sitios oficiales [véase barra a la izquierda].
*www.evilsponge.org [...] The effect is delightful. In many ways, this is more than just a project, it’s a conceptual manifesto. In fact any amateurism we might expect from this album is belied by the strenght of songwriting on display. I have noticed too how prolific Lejeune is. The Oslo Deadtrash Project is one of many projects he is, or has been, involved in. Knowing, as i do, the speed at which he is able to put out work like this and other releases [digital downloads, collaborations, etc), this suggests something of genius to me. It’s well worth bookmarking his website. Alternatively whimsical and forlorn, Headpixel Data is quickly on the charm offensive and improves with each subsequent play. Should have called it the Comforts of Sadness [...]
*www.ondefixe.tkÂ
[...] The Oslo Deastrash Project c’est la sagesse même mise en musique. De la pop honnête et moderne comme on l’aime etÂ
comme il manquait sans doute au label Carte Postale records pour élargir un peu plus encore l’éventail des musiques qu’il produit depuisÂ
bientôt deux ans. L’album, par ses contours ronds et délicats, nous rappelle certains artistes du label Morr Music (Styrofoam, Tarwater notamment), mais sans jamais que cela paraisse gênant. Headpixel Data, joliment sous-titré Electronik Pop Koncept Melancholy Disk, nous offre 12 titres printaniers et frais auxquels on s’attache très vite par leur simplicité et leur grande musicalité.  The Oslo Deadtrash Project s’éloigne du format traditionnel sans complexe et nous ravit tout au long d’un album fort réussi. [...]
*www.vs-webzine.com
[...] The Oslo Deadtrash Project est l’oeuvre d’un unique individu. Ce dernier manie mélodies mélancoliques Pop et (Post-) Rock en partant de quelques notes jouées au clavier, au xylophone ou encore à partir de nappes électroniques trafiquées à sa sauce. AÂ
une rythmique électronique savamment programmée (car d’un rendu très nuancé) viennent également se greffer quelques guitares de trèsÂ
bon ton, ainsi qu’une voix féminine douce et très séduisante. La sensibilité extrême de ce personnage, car «1000 Reasons To Kill You », « Today» ou encore «In Love And Sad» nous fascinent et nous troublent. Bien que d’une structure toujours simple, ces compositions intimes et originales possèdent une forceÂ
indéniable. [...]Â
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*www.i-muzzik.net
[...] un disque envoûtant, une oeuvre dans laquelle il est bonÂ
de se plonger et de ne plus respirer, seulement écouter. En mélangeant de manière légère et très mélancolique électronique et instrumentsÂ
(synthé, guitares), il fait de « Headpixel data » un recueil impressionnant. Si parfois on croirait entendre The cure faire de l’électronique («Â
Rallyman »), ce n’est qu’une illusion, qu’un rêve qui se révèle irréel. Entre Notwist (le formidable et lancinant « In love and sad ») etÂ
Tarwater (« I’m a swine »), The oslo deadtrash project navigue avec une étonnante facilité. Et si on cite tous ces groupes renommés, ceÂ
n’est pas pour minimiser le travail de Pierre Lejeune, mais seulement parce qu’on y pense, parce qu’ils nous viennent à l ‘esprit quand onÂ
écoute ce disque. « Head pixel data » est trop personnel, trop réussi alors on cherche des références, à tort certainement. The osloÂ
deadtrash project est au-delà de comparaisons. De toute façon, l’ensemble coule avec une telle clarté (« The supporter », « Â
ultramicroscopic »), une telle évidence qu’on se demande ce qui pourrait empêcher The oslo deadtrash project d’être reconnu à sa justeÂ
valeur. Peut-être la surdité des médias officiels et nationaux. Si ça ne dépendait que de nous, on vous laisse imaginer la suite. [...]
*www.semtexinc.comÂ
[...] quite soft electronica. Slightly poppy, honestly. The mix of a light beat, electronica and electric-acoustic guitars has proven its success through the years. The music on Headpixel Data does not deviate much from that popular formula and that soon results in a quite recognisable sound. The singing on the album is good andÂ
adds a melodic and often quite melancholic touch to The Oslo Deadtrash Project. Songs like Ultramicroscopic or Today (Rotten For Desk Enrol) are quite radio-friendly and poppy. Overall this band reminds me most of the overall sound of the well-known Morr Music catalogue. The end result is an album of which the subtitle summarizes the overall sound well: Electronic Pop Koncept Melancholy Disk . If that phraseÂ
sounds interesting enough to you, you might check this out because this album surely has its highlights. One or two songs would do well onÂ
a Morr Music label sampler for instance. [...]
*www.eraser-head.comÂ
[...] Si l’on doutait encore de l’incroyable densité de talents résidant en Belgique, on aura une nouvelle fois l’occasion de s’en convaincre avec cette imposante sortie du label Carte Postale Records. Nouvelle figure de la scène ‘sad electro-pop’ (comparable à Domotic et à Melodium), [...] ce premier album fait d’ambiances digitales et de sang. A travers une écriture ouvertement ultrasensible, un chant doux et omniprésent, une instrumentation et des arrangements électroniques très soignés, The OsloÂ
Deadtrash Project dépeint un univers avec tout un éventail de gris. IciÂ
rien ne sonne faux, derrière ces ballades pop désenchantées tout transpire la minutie, à l’image de Ultramicroscopic et de Today (RottenÂ
For Desk Enroll). ODP n’hésite pas à se faire à la fois bruitiste et combiner des instruments très fluides tels que le melodica, de longuesÂ
notes à la guitare électrique et le piano. L’apport de boîtes à rythmes, qui surprend dans un premier temps, casse le schéma trop facile deÂ
la chanson triste. D’autres comme Hood et The Notwist ont contribué à populariser ce type de ‘paradoxe’.Â
Headpixel Data étant le fruit du travail d’un seul homme, il ressort de l’écoute un sentiment d’intimité partagée. La production est d’autantÂ
plus louable qu’elle est de qualité et qu’en plus d’être intimiste, elle reste très technique et surprenante puisque Pierre Lejeune conjugue à Â
lui seul des qualités de musicien (orgue, piano, guitare, claviers, melodica, xylophone), de chanteur, et de manipulateur de texturesÂ
électroniques. Ce côté solitaire et autodidacte n’est pas sans rappeler la démarche artistique de Ben’s Symphonic Orchestra. [...]
*SoundfuryÂ
[...] Sur scène, le résultat, aussi écoutable surÂ
disque (Headpixel data, chez Carte Postale Records), est un intense moment de spleen planant, mais loin de s’enfoncer dans la morositéÂ
ou la dépression, un spleen qui dégage des mélodies chaleureuses et confortables. De ce mélange entre une voix, des textes, une attitudeÂ
très renfermés, et une musique (guitare, machines) enrobant l’auditeur dans un cocon rythmiquement cosy, naît un des projets electro-Â
minimaliste paradoxalement les plus riches du moment. […]Â
*www.musicinbelgium.netÂ
 [...] Parfaite intro, « Hydro » ouvre le bal par des sifflements et des bruits bizarres, avant de céder la place à l’orgue puis au très electro «Â
Rallyman », recueil d’effets spéciaux branchés électro mais pourvu d’une très belle mélodie. « In Love And Sad » est plus rythmé par lesÂ
percussions mais l’orgue émerge rapidement pour nous gaver d’une belle mélodie triste. Au chant, Pierre Lejeune est soutenu par une belleÂ
voix féminine.Â
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« Inheritance » produit d’abord ses effets de manche sous forme de percussions convulsives avant de renouer avec un semblant de calmeÂ
et la tristesse intimiste qui domine sur cet album et est symbolisé par l’orgue, joué avec beaucoup de talent. L’orgue est souverain dans sa façon de conduire le chant sur les passages critiques avant de parachever l’effet électro.Â
The Öslo Deadtrash Project est le fruit de l’imagination fertile de Pierre Lejeune, son talent de composition, la tristesse qu’il dégage, la légèreté qu’il imprime, font de cet album unÂ
moyen de découvrir un style [...]Â
*GlucoseÂ
[...] Après un premier opus ’Headpixel Data ’ fort remarqué, The Oslo DeadtrashÂ
Project nous livre une année plus tard un EP 5 titres ’Drug Tourist Medikit’ résultant d’une fortuite collaboration avec NIM.Â
Les amateurs de The Oslo Deadtrash Project seront en terrain connu. Malgré cette association, la formule électro-pop n’a guère bougéeÂ
depuis ’Headpixel Data ’. Pourquoi par ailleurs la changer, alors quelle s’avère intéressante et se prête à priori à toutes sortes d’évolutions.Â
Au cours des 5 plages de ’ Drug Tourist Medikit ’ Pierre Lejeune s’approprie ainsi les compositions de l’EP ‘Editorial’ de NIM en y ajoutantÂ
son savoir faire : un clavier, des rythmiques, une guitare et le chant. Les titres de l’EP ‘Editorial’ de NIM s’en retrouvent dès lorsÂ
profondément modifiés ; changement marqué in finé par une nouvelle dénomination des chaque plage. Certains qualifieront la musiqueÂ
proposée par The Oslo Deadtrash Project de minimaliste saupoudrée d’une nonchalance inquiétante, située au croisement entre le regardÂ
tourné vers l’avenir et celui vide résultant de la perte d’un être cher. Toutefois, derrière ces à priori, on retrouve une richesse desÂ
compositions et sincérité déconcertante. [...]