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WOK

About Me

Wok explores the universe of a both furious and introspective rock. The sound of the band, in turn dirty and pure, obviously has its source in blues and rock, or even jazz. Wok creates a strange and entrancing atmosphere, where delicate and teasing lyrics mix. If the band acknowledges influences such as Nick Cave or PJ Harvey, one can tell it also grew up with punk and new wave.******************************************************* ********************* Wok took part in a tribute to Rowland S. Howard. Now available on StaggerRecords!!!******************************************* *********************************Out now in very limited edition, WOK " THE NAKED HORSE " - New Album on StaggerRecords************ Dusty One is the new p.wok (guitar) solo project!!! more here:.myspace.com/dustyonemanband

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My Interests

Music:

Member Since: 11/23/2005
Band Website: wokmusic.com
Band Members: Isabelle Vera Santafe (vocals), Patrick Fretin (guitar), Benoit Silva (drums), Jean Paramio (bass)
Influences: WokbyManuel Aubert a.k.a. Blackbird Merle Leonce Bone __________________________________________________de ce léger clair de matin d’avant le moment où tout se mit à flétrir dans un feu plein phare et que la croûte terrestre se nappa d’une boue grasse jusqu’à la moitié des troncs parmi les plus hauts plein la bouche face et fesses contre sol les herbes salies les gros cailloux viciésles flaques en manquede leur effetbleu / lagonsans les chiens sans les chevauxdésarçonneren ce début de tempête d’équinoxechantent lyrique leur peur à fleur d’amour empoisonnéWokdehors, l’air est vicié ; dedans, il est absenten un :Patrick Fretin (par exemple)à fleur d’eau se métallise, son kayak en peyot, les idiomes furtifs et tranchants soit de mercure pour guitare nickelée soit de charge rêche et non docile souffreteuse méchante pour guitare boiteuse d’hobereau mutin violent d’huguenot- punk Dead-God sans hanchechante siffle aboie tout ce que tu ne peux plus retenir, décolère, révolte toi et flanche, il est : ce dimanche moche mais sans pluie où il n’ y a plus que l’odeur de la mousse, du lichen par hasard sur le murs de nos salons et remercie les franchement de s’accrocher comme cela, les doigts plein d’échardes de leurs instruments de bois frais moulus sans verni et sans manche à même l’os l’inquiétantfait femme(One-Two-Three-Four Do you listen to what I say ?) et 3 hommes : Woken deux :Jean Paramio (par exemple)sans la brèche il y a bass, basse sa bass, il y sa messe moqueuse décousue pleine de morgue, à l’ivresse au volant pour ce road movie sans argent, garante du monacale et défroqué swamp, Basse sa Bass Paramio, sourde de walking, muette, belle et sensuelle, elle braille sa pudique omniprésenceune crevure de clebs, des ossements de canasson, des échos lointains meurtris des voisins de Denver Frères De Sangs, proches des fièvres mazurkas freaks, poussées cajuns hydro céphaliques , des calottes anti-skiffles pionnières pour chariots brinquebalants, ne se déplacent fantomatiques qu’à la nuit tombante s’il en estrare des comme toiWokin’down in the street__ Wok au cas par cas Wok__ Wok tondu de lisse à rude__ Wok la même peau d’avant ‘almost in blue’ et l’autre d’aujourd’hui ‘porque me voy’__ Wok sorte de ‘country death song’ et Wok de là, sans intervention de greffe __ Wok avec injection de venin__ Wok le même pelé du même tondu, choc à travers le pare-brise puissantune poussière de bois véreux symphonique et hilare farandole déposée du cercueillitanie de cirque hidalgo moribond morricone sans klaxon, clairon, you-you, ni roulotte puisqu’en trois Bud Silva (en l’occurrence) emmaillote par maillets confessants avec quasi âpreté toungouse le silence, Bud Silva se sait sous toutes les formes, des architectures pour prières zazen-junk peu orthodoxes, dans sa gestion des espaces pelés, des flux sonores, des épées plantées dans le sol tondu des toundras, tambours profonds à chaque touché sensible de son drumming, pelures d’oignons, percussives spirales de Richard Long, cartes postales monochromes de canyons,tout ce beau mondedanse macabreleursaltarelle-swampet recueille tardivement lorsqu’il n’y a plus personne les restes de confettis, de mégots, de gobelets tachés de vins ou de sangs, les morceaux de dentelles perdus de leur robes saumons-cassés, poupées Oui-Oui, bricolées, amochées d’ Enid Blyton, tous 4 : ménestriers récolteurs d’urbanité insolente, herbes folles poussées de celles que l’on trouvent près du jardin de certains Lydia L. Scarface, Polly Jean & David Eugene., Jeffrey Lee Boys next door et Femmes Violentespour, sauvagement libertins, s’en affranchir avec majesté fine amortandis qu’en 4 : Isabelle Vera Santafénous découse les émotions profondes, sorcière sorguinhà intranquille conteuse, lavandière des veillées lointaines et sombres, de l’autre côté du miroir, connaît la mélopée clair-obscur pour les visiteurs du soir blottis après une marche sous la pluie dans leurs ombres, un timbre ‘leave me please’qui vous corsète l’échine, griot(e) & parlote, nous découse fil par fil au plus près de l’être ensorcelanteFive-Six-Seven-Eight Get Away and Close The Door !!Wok.Manuel Aubert a.k.a. BlackBird Merle Leonce Bone, Tours le 8 mai 2007.
Sounds Like:
Record Label: Stagger Records
Type of Label: Indie

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Lady Rowlands Summer Training: vid by T. Bernardet music: Wok

Lady Rowlands Summer Training
Posted by wok on Tue, 01 May 2007 03:22:00 PST