No hay banda profile picture

No hay banda

the psychedelic conspiracy

About Me

l'EP "Sunday Everyday!!!" est dispo et en vente (5€). Envoyez nous un mail sur cette page ou ici: [email protected]

No Hay Banda défrichent le rock psychédélique à grand coups de riffs grinçants enrobés de miel, sur une rythmique dansante à souhait. Une ambiance dérangée et jouissive, dans un univers magique et tordu, que l’ont retrouvera, sur leur futur album, si personne ne songe à soigner ces 4 psychotiques.
(Philippe gassies)

The Death of Oliver Becaille videoclip

filmé par Zacal,Freddy"kissmebabe" et No hay banda

Graphisme:

http://mary-loup.over-blog.com

a

My Interests

Music:

Member Since: 11/21/2005
Band Website: nohaybanda.com
Band Members: Malory : Guitare /Chant
Tiffany : Basse /Chant
Romain: Batterie / Chant
Eric: Guitare/Saxophone
Guillaume: Synthé / Tambourin / Chant

Daniel (cryogene prod): Ingénieur son.

Special Thanks to the amazing wicked marvelous band ONIONS fom Manchester, and thanks to Ted and his CLOUD SOUNDS.

OYEZ OYEZ !!! Nous avons a vendre:
- 1 ampli guitare peavey classic 30 (350€)
- 1 ampli guitare fender hot rod deluxe (500€)
les deux en très bon état (peu servi)
Contactez nous par mail


Influences: the Beatles, the Kinks, Syd Barrett, Broadcast, The united states of america, Clinic, the Coral, Love, the Velet Underground, the Beach Boys, the Bees, the Doors, Beck, Elliot Smith, Of Montreal, the Zutons, Super furry animals, Eels, Sly and the family Stone, Screamin' jay Hawkins, Doctor John, Bo diddley, Sparks, Johnny Cash, Sonic Youth, White Noise, the Pixies, Radiohead, the Divine Comedy, Jim Noir, Peter von Poehl, Dirty pretty things, Devo, Belle and Sebastian, James Brown, Portishead, the Raconteurs, Girls in Hawaii, Captain Beefheart, the Andrews Sisters, Madness, the Seeds, Nirvana, Raymond Scott, Thelonious Monk, Brian jonestown Massacre, Pierre Henry, the Wipers, Igor Stravinsky, Hector Berlioz... les rutles... Danny Elfman... Tim Burton, Lewis Carroll, Terry Gilliam, Michel Gondry, les Monty Python...


Sounds Like: the french touch:
Mais dites moi ces gars se torchent la gueule avec du whisky de vingt ans d'age au moins. Cette musique renifle du trentenaire qui empeste le rock anglais et qui fume ces 2 paquets de Syd Barret par jour. WHAT ?
No hay banda est un quintette de rock qui chatouille l'épiderme anguleux d'un rock patraque et jovialement bordélique. Un savoir faire évidement, du cousu main pour qui sait apprécier ce rock instable, qui secoue les puces d'un contorsionniste psychédélique. Je vous conseille de foncez sur ce 5 titres qui regorge d'une « Oasis » qui hummmmmmmmm, comment, enfin qui, roooooooooh les coquins tout de même.
De deux titres live qui débutent l'album avec « The bizarre » vous avez dit bizarre, comme c'est bizarre, surtout que cette chanson à elle seule justifie amplement l'achat de cet opus. Tenant de la caresse et de l'absurdité espiègle, la chanson est le calque parfait des élucubrations musicales de ce groupe très attachant.
Attachant car il est rare dans nos contrées, alors je tiens personnellement à les remercier d'haranguer ouvertement une musique polissonne que ne se cache pas derrière une technique, une parade, un style, et que sais je encore...Mais bel et bien de faire transpirer un rock suave comme sur ce « Sarah's song » qui gambade les couilles au vent sans se soucier un instant d'une quelconque morale.
On nage bel et bien dans ce qui correspond d'appeler UN PUTAIN DE GROUPE DE ROCK PSYCHEDELIQUE. J'attends leur album fébrilement tout en me demandant si il y aura du fuzz dans le foin, si les cambrures de la bassiste dynamitera les relents poilus de leur musique. Jouxtant « La mort d'Olivier Becaille » d'Emile Zola avec la drôlerie et la folie, notamment sur le refrain ou le dead man ressemble à s'y méprendre au générique de batman.

zicazic:
En véritables défricheurs du rock psychédélique, ces Bordelais ont fait le choix de bousculer les conventions établies depuis leur rencontre en 2001 et c’est en s’offrant rapidement une première démo puis en laissant le temps au temps qu’ils en arriveront dans quelques mois à la naissance d’un premier album. Dans l’intervalle laissé par ces deux évènements marquants, No Hay Banda aura participé à quelques compilations, donné moult concerts dans les salles et caves bordelaises mais aussi chez nos voisins britanniques qui ont plutôt accroché aux influences Syd Barrett, Beatles, Doors ou Dirty Pretty Things qu’arborent fièrement Malory Michelangeli (guitare et chant), Tiffany Arnould (basse), Eric Cihigoyenetche (guitare et sax) et Romain Vicente (batterie). En attendant la naissance annoncée, le quintet nous présente un maxi qui a le mérite d’ouvrir l’appétit ! Deux titres en live, trois en studio, il n’en fallait pas beaucoup plus pour que l’attention du public se pose sur un groupe dont la ligne de conduite n’a jamais été aussi bien définie. No Hay Banda sait où il veut aller et ça s’entend, les riffs bien aiguisés n’oubliant jamais de se laisser conduire par des rythmiques ronronnantes et pleines de groove et les voix, toujours convaincantes, terminant un travail de séduction efficace au possible. « Sunday Everyday !!! », c’est la rencontre des Stray Cats et de Sonic Youth, un mélange de Tim Burton et des Monthy Python mis en musique par cinq doux dingues qui n’en finissent plus de prendre du plaisir en nous sortant de leur chapeau des « The Bizarre » et autres « Sarah’s Song » mais aussi des « The Oasis » et un « The Death Of Oliver Becaille » qui se montre tour à tour oppressant et guilleret. La qualité de l’enregistrement réalisé au studio Cryogene Prod laisse espérer le meilleur pour la suite puisque c’est là que sera mis en boite le premier album des No Hay Banda. Reste maintenant à patienter en se passant régulièrement « Sunday Everyday !!! »

A découvrir absolument
Retour des No Hay Banda après un long silence compensé par un cri de ralliement des besogneux que nous sommes : Sunday everyday !!!. Un cri sans complexe car les No Hay Banda n'en manque plus, peut être depuis l'écoute des derniers albums de Dionysos, ou a l'émergence de The Coral ou des Zutons. Etonnant ou pas le groupe commence par une référence à Zola dans une comédie que Tim Burton mettrait en scène avec Zebulon comme acteur principal. Sunday everyday n'est pas seulement un oasis (facile celle là) au centre duquel on viendrait chercher des forces comme on pouvait le faire en soufflant sur les bulles acides de comics trip, c'est aussi la plus belle invention pour tuer cette société du travail, et moi après avoir écouté No Hay Banda je n'ai qu'une envie être en vacances pour profiter cette cure de jouvence sans en rajouter…cela tombe bien je suis en vacances demain soir !!. Gerald de oliveira

Trente trois tours:
Enfin quelques titres jetés en pâture aux loups par le jeune groupe bordelais, souvent aperçus ces derniers temps en compagnie des Minuscule Hey et auteurs de concerts particulièrement sautillants. Les trois titres de cette démo sont à l'image de leurs performances scéniques, nimbés d'une délicieuse insouciance et de cette science de la pop ciselée que semblent se transmettrent les groupes girondins depuis des générations. Les siècles ont passé, mais Bordeaux sera décidément toujours la plus britannique des villes françaises... Marguerite Lanternier

musiczine:
Gros coup de cœur pour ce groupe bordelais responsable de cette démo trois titres. No Hay Banda pratique une musique pop/rock très anglo-saxonne, rythmée et gorgée de réminiscences sixties. Mais la formation ne se contente pas de puiser dans le passé de l’Albion, injectant de multiples bruitages de type vaudou dans sa solution sonore. Histoire de nous entraîner au sein d’un univers féérico-psychédélique qui n..est pas sans nous rappeler un certain Dionysos. Bref, ce groupe complètement barré parvient en un minimum de temps à libérer une énorme bouffée de créativité. Tout en nous donnant l’envie de danser. Et là-dessus, je vais appuyer une nouvelle fois sur la touche ‘play’…

?
Quarante premières secondes et je pense avoir à faire à un groupe de ska... mais en mieux. Exact. Et comme dit le proverbe, le ska, à l'instar du communisme, est souvent une bonne idée malheureusement mal géré. Fort heureusement No Hay Banda n'en sont pas, malgré ces quelques rythmiques ("The Death of Olivier Becaille" particulièrement). Ces bordelais puisent inspiration dans la mouvance psychédélique des années 60 comme ils le disent. Encore une fois exact. On peut retrouver cette vague pop british (et pourquoi pas retrouver ce vieil et honorable esprit ska ?) emmenée par des Kinks ou des Troggs. Ajoutons à cela de petites escapades hippies seventies (tambourin-quand-tu-nous-tiens/voix shamaniques), un univers féerico-délirant proche d'un Dyonisos sous acide et quelques "houhouhou" digne de Big Soul (il y en a beaucoup que ça énerverait, hélas j'en suis conscient...) et le tour est joué. Très bonne démo pour cette formation prometteuse et inventive, dommage qu'il n'y ait que trois titres.

Chronique anglaise sur un concert a Preston, le 15 avril 2007:
Amazing set at Mad Ferret last Sunday. This band wandered in after 12 hours en route (a bit of French there, see?) from Bordeaux, set up with minimum fuss and a barely audible soundcheck and seductively blew the customers in the pub away with an energetic, highly charged performance.
The songs had it all, the vocals and backing vocals at one point brought a tear to my eye when Alan Stivell was ressurected from the deep recess of my memory.
Faultless from where I stood and listened and one of the best bands to perform in a bar that sees on average 20 bands a month play there.

Sold!
Chris K.
Type of Label: None