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ANDRE CECCARELLI TRIO : "Autour de la musique de Serge Gainsbourg"..........On ne sait pas très bien qui, des albums ou du personnage, hantent le plus l..histoire de la chanson française : Melody Nelson ou Gainsbourg, Aux Armes et Cætera ou Gainsbarre ? Peut-être est-ce après tout le rôle d..un génie que de marquer l..Histoire simultanément en tant que personnage et en tant que créateur...peut-être. Il n..en est pas moins que le fantôme Gainsbourg hante encore nos mémoires.Alors, lorsque trois musiciens de jazz (et pas des moindres) s..approprient avec respect et admiration, les pièces de musique de Serge Gainsbourg, en les déconnectant parfois de leurs origines populaires pour les transformer en véritables standarts de jazz , cela donne un trio dont le grand Serge doit se délecter là -haut, tout comme nous, ici-bas.André Ceccarelli "connait la chanson". Considéré comme l'un des meilleurs batteurs français, il a longtemps travaillé aux côtés de Dee Dee Bridgewater (entre autre). Ce fou de jazz travaille aussi avec Norah Jones pour le titre 'Sunrise', fait des variations sur 'La Vie en Rose' d'Edith Piaf ou participe à l'arrangement de 'The Song is You' de Jérôme Kern et Oscar Hammerstein.André Ceccarelli, dit aussi Dédé, est entré très tôt dans la légende du jazz, tout comme Gainsbourg entra très tôt dans la légende de la chanson.Le célèbre critique Michel Boujut a dit :"S..embarquer sur les musiques de Gainsbourg, les revisiter et les remodeler hardiment de fond en comble, jusqu..à leur faire tendrement rendre l..âme ...
Exploration insidieuse et délectable, c..est à la célébration de l..essence même du jazz que nous convie le TRIO CECCARELLI/GOUALCH/BRAMERIE.
Mieux qu..une variation sur un thème, l..art de la disgression, si précieux, si rare, si élégant. Improviser, disgresser, même exercice de disgression en liberté."
André Ceccarelli , batterie
Pierre-Alain Goualch, piano
Thomas Bramerie, contrebasse
SARA LAZARUS : En 1994, une jeune chanteuse américaine, Sara Lazarus, gagne le premier prix du concours international Thelonious monk, après Joshua Redman et Jacky Terrasson. Le jury n’est pas des moindres, puisqu’il s’agit de Jon Hendricks, Shirley Horn, Cleo Laine, Abbey Lincoln, Dianne Reeves et Jimmy Scott. À l’occasion de la remise des prix, Sara participe à une jam session aux côtés de herbie hancock, Ron Carter, Grady Tate, Kenny Burrell, Jimmy Heath et Clark Terry.Née le 1er avril dans un des plus petits états des Etats-Unis, le Delaware, Sara est passionnée très tôt par les comédies musicales, grâce auxquelles elle découvre les standards de jazz. Elle prend des cours de piano à 8 ans et puis commence le saxophone afin de jouer dans l’orchestre de son collège. A 16 ans, elle rentre dans l’American Youth Jazz Band en tant que saxophoniste ténor et chanteuse, et fait une tournée européenne avec ce groupe qui se termine au Festival de Jazz à Montreux.De retour aux Etats-Unis, Sara Lazarus suit des études de littérature à Harvard University. Elle rentre dans le Harvard University Jazz Band et rencontre le ténor saxophoniste Illinois Jacquet qui l’invite à chanter avec son orchestre et l’encourage à poursuivre dans cette voie. En même temps, elle gagne le prix du meilleur soliste jazz vocal (niveau université) décerné par Downbeat magazine, principal journal de jazz américain.Ayant terminé ses études, Sara décide de s’installer en France. Elle participe à de nombreux festivals européens comme Marciac, Crest Jazz Vocal, Montlouis, Braga et le JVC Paris Jazz Festival. Elle a eu l’occasion de chanter avec des musiciens tels que Alain Jean-Marie, Jacky Terrasson, Manuel Rocheman, Franck Amsallem, Riccardo del Fra, Gilles Naturel et Andrea Michelutti.En Novembre 2000, elle chante dans le Jazz Ensemble de Patrice Caratini pour son projet autour de la musique de Cole Porter et participe à son disque « Anything Goes » (distribution Harmonia Mundi).Dans la tradition des grandes chanteuses de jazz, Sara puise le réservoir des standards pour donner libre cours à sa spontanéité, sa tendresse et son swing.
En mars 2005, sort son premier album “Give Me A Simple Life†sur le label Dreyfus jazz. La presse et le public applaudissent ce disque. S’ensuit une tournée en France et en Europe, ainsi que des prestations marquantes dans les grands festivals de jazz.Après le succès de ce premier opus, Sara Lazarus revient avec un nouvel album studio et une nouvelle formation.
C’est entouré du Biréli Lagrène Gipsy Project, que Sara Lazarus pose sa « voix sobre et délicate » sur les 12 standards de ce “It’s All Right With Meâ€.
Swing communicatif, ballades somptueuses, ce deuxième album confirme le talent indéniable de cette jeune franco-américaine, qui l’installera définitivement comme l’une des voix incontournables du jazz.
Sara LAZARUS – chant
Alain JEAN-MARIE - piano
Gilles NATUREL – contrebasse
Philippe SOIRAT – batterie
DANIEL GOYONE : Depuis près de 25 ans, Daniel Goyone a développé un univers de compositeur bien personnel, à l'écart des classifications musicales habituelles. Pianiste issu du monde du jazz (cf les disques avec Bunny Brunel avec la participation, entre autres, de Chick Corea), influencé par sa pratique de musiques latino-américaines (cubaine et brésilienne), indiennes (une longue collaboration avec le percussionniste Trilok Gurtu), la musique de Daniel Goyone conjugue une grande attention à l'aspect mélodique, à l'écriture (sans s'interdire l'improvisation), et une recherche approfondie concernant l'utilisation des modes, ou de cycles rythmiques.
La nature particulière de cette musique explique sa diffusion dans des domaines très divers: interprétée par des chanteurs (Claude Nougaro, par exemple), des groupes de Jazz (Orchestre national de jazz), des formations de musique de chambre (Orchestre des Concerts Lamoureux), ou encore ses fréquentes utilisations comme indicatif radio/télé ou comme musiques pour le cinéma ou le théâtre.
"Il est un paradoxe savoureux dans l'art de Daniel Goyone: l'on se prend à vouloir fredonner ses mélodies, en dépit d'une complexité réelle." (Jazz Hot)"Une musique rêveuse et nostalgique, comme tendue vers un rêve de réconciliation: le jazz et le classique français, l'outrance intellectuelle et la naïveté romantique, le populaire et l'élitiste." (Le Figaro)"Une exigence extrême au niveau de la conception associée à une fluidité d'exécution totale" (Piano Magazine)"Si je devais résumer en une formule mon concept de compositeur: harmoniser les rythmes et rythmer les harmonies pour susciter l'inspiration mélodique." (Daniel Goyone)
NOJAZZ : Grâce à un premier album explosif paru en 2002, une poignée de remixes multicolores et des concerts cultes aux quatre coins de l'hexagone et de la planète, noJazz est devenu en quelques années bien plus qu'un groupe.Un O.V.N.I. musical qui déchaîne les passions, une machine à briser les étiquettes et les intégrismes de tout poil, bref un phénomène dont la notoriété s'est répandue comme une traînée de poudre dans les réseaux musicaux internationaux …… C'est que ce ne sont pas des musiciens ordinaires.Dans leurs sphères d'origine respectives qui couvraient déjà un territoire très large (de la chanson au hip hop en passant par le jazz), ils bénéficiaient d'une réputation exemplaire. Aujourd'hui qu'ils sont avec noJazz les dépositaires d'un concept original basé sur la créativité et l'éclectisme, leurs talents sont plus que jamais à la hauteur de l'énorme capital de sympathie qui se fructifie à chacune de leurs apparitions.
Philippe BALATIER : Claviers
Andrew WARD : Voix
Nicolas GENEST : Trompette
Philippe SELLAM : Sax
Pascal REVA : Batterie, voix, guitare
ELECTRO DELUXE : Le projet Electro Deluxe ? Un Jazz-funk hybride, impulsé par le Groove et le Hip-Hop, projeté dans la quatrième dimension électronique. A la croisée de Herbie Hancock, Buckshot LeFonque et Meshell Ndegeocello, les musiciens exposent une vision originale du jazz. Intelligente, vivace et contrastée.C'est en novembre 2001 que Gaël Cadoux et Thomas Faure, Grenoblois expatriés à Paris, décident de réunir leur passion commune pour le jazz et le funk dans un nouveau projet musical. Ils convient à cette occasion Jérémie Coke et Arnaud Renaville à leurs premières expérimentations. Des sous-sols du 10ème arrondissement de Paris émergent alors les premières notes d'Electro Deluxe. Un an plus tard, les machines font leur apparition dans l'univers du groupe sous l'impulsion de Thomas Faure. Très vite, Electrodeluxe affine et enrichit son répertoire qu'il confronte à la chaleur des scènes françaises. En 2002, les quatre musiciens rencontrent le label Such Production et prennent doucement le chemin des studios. C'est en 2004 qu'ils enregistrent leur premier album, « Stardown », sorti en avril 2005. Le disque réunit 13 artistes qui, par leur seule présence, soulignent la diversité des influences du groupe et leur volonté de décliner sous plusieurs facettes leur passion du Groove.Après plus d’un an de tournée, Electrodeluxe a enfin retrouvé les studios pour sortir son deuxième album, « Hopeful ». Décalé, ce dernier-né brouille les pistes et les genres. Emprunte des musiques noires américaines, la "recette" Electrodeluxe consiste à marier les idées et les sons sur un fond d'électro. Résultat : une musique originale, énergique et mélodique. La chaleur des cuivres et des voix confère à cette musique personnelle une originalité déstabilisante en complet décalage avec le paysage électro-jazz d'aujourd'hui. Sur « Hopeful », cette chaleur y est plus que jamais au rendez-vous. L'identité du son y est moins jazz en cela qu'elle laisse la part belle à la rythmique basse batterie particulièrement musclée et aux voix chantées et rapées. Les cuivres brillent et les sonorités électro agissent comme un révélateur du groove et de l'énergie musicale.C'est en concert que le groupe a acquis sa maturité, sur scène qu'il a développé son jeu et en voyage qu'il a renforcé son unité. Cette interaction scénique, essence même de la vitalité de leur musique, se retrouve pleinement et sans retenue sur cet album. Les prises live y ont été privilégiées pour apporter cette vivacité, atout majeur de « Hopeful ». Aux quatre musiciens d'Electrodeluxe, Thomas, Gaël, Jérémie et Arnaud, s'ajoutent trois invités sur l'album : Guillaume poncelet à la trompette, la chanteuse de gospel d'Atlanta, Crystal et le rappeur londonien HKB FiNN.
Arnaud Renaville (drums), Thomas Faure (sax, programing), Gaël Cadoux (keyboards), Jeremie Coke (bass) Guillaume Poncelet (trumpet) Crystal Night (vocal) HKB FiNN (rap)
"Sashird Lao est un trio instrumental de jazz vocal (...ou bien est-ce l'inverse?) mélangeant les styles et les couleurs pour un spectacle original. A peine débarqués d'une tournée au Brésil, ces 3 chanteurs multi-instrumentistes viendront nous faire découvrir les morceaux de leur 2ème album qui sortira à la rentrée 2008."
6MENINACAVE : Sextette de jazz....(à 8 pour Peymeinade), créé en 2001, interprète standards et compositions. Piano / basse / batterie et sax / trompette / trombone / guitare, réunis pour un jazz hard-bop des plus dynamiques.
Selim Nini , saxophone alto
David DOUET, piano, compositions, arrangements
Jean-Claude FORTUNATO, trompette
Hervé MICHEL, sax tenor
Frédéric ROUQUIER, contrebasse
Bertrand LUZIGNANT, trombone
Lionel FANTINI, batterie
Jean-Charles JEGUES, guitare
Record Label: Non signé
Type of Label: None