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DJ LEXA

Official DJ of MANIO & BEATMAKER

About Me

Dj, Beatmaker de la région Rochelaise, inspiré de la music hiphop, Lexa compose pour différents artistes de sa province, notamment Manio rappeur & frère de son avec qui il partage scènes et projets actuellement. Passionné aussi par l’environnement studio, il entame en 2005 une formation de Technicien son sur Paris pour créer ensuite avec Manio Rec’Ouest Record : structure associative visant à soutenir les groupes hiphop locaux à se développer et créer leurs propres produits artistiques dignes d'intérêts.


Compétences :
Utilisation des techniques MAO
- Utilisation de logiciels de production musical (Protools, Cubase, Sound Forge, Acid Pro, Samplitude, etc.)
- Utilisation MIDI (Musical Instrument Digital Interface), utilisation clavier midi et liaisons MIDI, interfaces MIDI permettant de contrôler plusieurs instruments.
- Connaissance des techniques d’enregistrement musicaux et prises de son, liaison avec un ordinateur
- Conception d’instrumentales Avec machine de production musicale, sampler, séquenceur (MPC 1000, ROLAND MC909, YAMAHA RMX1, etc.) : technique de sampling et composition a proprement dit. Architecture environnement studio Création d’instrumentales par ordinateur, a l’aide de logiciels musicaux spécifiques, VSTi (instruments virtuels) contrôlé par liaison MIDI (clavier, synthé, etc.)
- Connaissance du matériel, branchement et liaisons
- Enregistrement musicaux (voix, instrumental)
- Mixage du son Sonorisation de soirées et éclairage (Formation au école LASER, Paris 20è)
- Branchement et utilisation de matériel pour le spectacle
Deejay
- Technique de mix et de scratch ; Création de mix tape
Informatique (et nouvelles technologies)
- Connaissance des différents systèmes Windows et Windows NT (réseau), Macintosh
- Assemblage, architecture matériel
- Maintenance informatique
DJ's : pionniers de la culture Hip Hop
Les DJ's puisque le mot est lâché, quant à eux, existaient bien sur depuis longtemps, il y avait ceux des émissions de radio et ceux des clubs, qui passaient du funk ou du disco ; mais le Hip Hop allait révolutionner la donne… S’il n’y avait pas eu de DJ, il n’y aurait jamais eu de Hip Hop. Ceux qui passent comme les 3 fondateurs du Hip Hop en tant que forme musicale sont 3 Dj, en l’occurrence Kool Herc, Afrika Bambaataa et Grandmaster Flash. Kool Herc est d’origine jamaïcaine, adolescent, il quitte Kingston pour aller vivre à New York dans le Bronx. Doué pour l’athlétisme, ses copains de classe le surnomment Hercule, qui sera abrégé en "Herc". Après avoir graffité son nom sur les murs de la ville, il se tourne vers le Dj’ing et va avoir la géniale idée de transposer le concept des "sound system" jamaïcains de son enfance à la réalité du Bronx. Il organise alors les premières "Block Party", dans lesquelles il passe les disques de Soul et de Funk qu’il affectionne. Equipé d’abord d’une seule platine il était obliger de parler dans le micro à la manière des Dj jamaicains pendant qu’il changeait de disque sur la platine. C’est lorsqu’il commença à mixer avec deux platines qu’il va créer les bases techniques de mixes pratiqués encore aujourd’hui. En jouant le même disque sur les deux platines, il était capable de rejouer plusieurs fois d’affiler les parties du morceau qu’il appréciait, et notamment les breaks. Au fur et à mesure que Herc développait ses techniques de mix, il ne pouvait plus continuer à rapper dans le micro comme il le faisait, il fit alors appel à des amis à lui, comme Coke La Rock, pour s’occuper du mic pendant les block party, ils formèrent les Herculoids. Ils sont le premier groupe de rap. Ceux sans qui rien n’aurait été par la suite.
C’est en voyant Kool Herc aux platines que Afrika Bambaataa allait lui aussi trouver sa voie. Bambaataa, vient lui aussi du Bronx. Au début des années 70, il faisait parti d’un gang de New York nommé les Black Spades. Tout en continuant ses études, Bambaataa arpente les rues de la ville avec son gang jusqu’au jour où son ami Soulski est assassiné. Bambaataa se pose alors en réflexion sur sa vie et sur la situation des africains-américains au sein de la société blanche américaine qui non contents de les avoirs exploités pendant des siècles en tant qu’esclaves, les maintient dans la pauvreté, l’ignorance et l’oppression engendrées par la haine et le racisme. Influencé par les leaders des mouvements des droits civiques, comme Malcolm X, Martin Luther King, ou encore Bobby Seale et Huey P. Newton (les fondateurs du Black Panther Party) il décide alors de changer d’état d’esprit, en tant que jeune du ghetto, et de transformer toutes les énergies négatives qui gravitent dans son environnement en énergies positives, par l’intermédiaire de l’expression artistique et de la culture Hip Hop. Le 14 novembre 1973, Afrika Bambaatta crée la Universal Zulu Nation. Il transforme son ancien gang en un groupe actif de la culture Hip Hop et devient Dj à l’instar de Kool Herc. Bambaataa va être le premier à mixer différents types de musiques : aux Funk et à la Soul des années 60 et 70, il mélange le rock, la musique industrielle de Kraftwerk et beaucoup d’autres styles de musiques.
La Zulu Nation qu’il a fondé va par la suite regrouper dans ses rangs beaucoup d’autres Djs, comme Grandmixer DST, Jazzy Jay, Kool Dj Red Alert, Afrika Islam… et rapidement les danseurs vont se retrouvés eux aussi impliqués dans la Zulu Nation qui sera, l’un des éléments fédérateurs des jeunes impliqués dans le Hip Hop. La Nation Zulu Universelle, organisation multiculturelle se réunit autour des valeurs de "Peace, Unity, Love, and Having Fun" (Paix, Unité, Amour, et Prendre du Plaisir). Elle voit la musique et les expressions artistiques fondatrices du Hip Hop comme un moyen d’éduquer les jeunes et de les sortir de l’engrenage de la violence. S’inspirant de valeurs religieuses universelles et fédératrices, empruntées à l’Islam (même si l’accoutrement de Bambaataa et des Zulus aurait fait perdre leur "latin" aux grands Ulémas d’Arabie), Bambaataa tient bien sur le nom "Zulu" de la tribu d’Afrique du Sud qui a tenu en défaite en 1879, grâce à son nombre et son unité, l’armée coloniale hollandaise. Bambaataa veut donc faire de la culture et de la musique un facteur d ‘élévation sociale.
Nous sommes au milieu des années 70, et aux quatre coins du South Bronx, des jeunes se retrouvent fédérer par le même enthousiasme pour le mouvement qui né sous leurs yeux et dont ils sont les acteurs principaux : le Hip Hop. Cette génération à qui la société n’a jamais prêté attention auparavant et que la société américaine cherche même à criminaliser, tient là l’occasion de faire valoir à la face du monde (mais à cette échelle ils l’ignoraient encore) son potentiel créatif.
Un peu partout Kool Herc et les Herculoïds animent des Blocks Party, et très vite Bambaataa lui impose une concurrence acharnée. Jamais auparavant le Bronx n’avait connu un tel phénomène, ils sont des milliers à venir dans les parcs écouter ce son nouveau mixé par des DJ, à venir écouter ces gars parler dans un micro et à venir voir d’autres gars danser et tourner sur la tête, alors que derrière eux, quelques graffeurs et tagueurs viennent se mêler à ce mouvement de foules au risque de dévoiler l’anonymat qui leur permet de rester en liberté. Le Bronx est en effervescence, la culture de la rue bouillonne et ne tardera pas à inonder les autres quartiers de New York.
GrandMaster Flash mixant au Danceteria Afrika Bambaataa Un autre jeune homme d’origine jamaïcaine et résident du Bronx allait permettre au Hip Hop d’étendre son champ d’action… GrandMaster Flash, en voyant Herc aux platines, commence sérieusement à s’intéresser à la manipulation de ces engins qui permettent de faire sortir des sons faisant réagir sur l’instant la foule et les danseurs. GrandMaster Flash va mettre à profit ses connaissances en électronique qu’il étudie au lycée pour les associer à l’art du dee jaying… il perfectionne les techniques de Herc ; et s'inspirant de DJ Grand Wizard Theodore, l'inventeur du scratch, Flash crée ses propres techniques de scratchs et de cut… En 76, Flash est au point et la concurrence avec le sound system de Kool Herc peut commencer… Flash commence aussi à écrire quelques rimes, mais trop occupé par les platines, comme Herc, il délèguera le rôle de Mc à d’autres…
Toute L'histoire du Hip-Hop sur : http://nanteshiphop.free.fr/histoire.htm



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Member Since: 1/19/2008
Band Members: REQUIEM FOR A CRIME INSTRUMENTAL (DjLexa)

FREESTYLE SCRATCHHHHHHHHHHH!!! (DjLexa)L'équipe..!..
Influences: FREESTYLE M.A

Extrait Concert Manio (DjLexa), Saintes, 01/12/2007..Photos des ateliers MAO & écriture vacances d'avril , le centre social du quartier du Petit Marseille a mis a disposition le local du point break pour accueillir les jeunes durant la deuxième semaine des vacances d'avril afin de s'initier au rap et sa musique. Au programme ateliers écriture, apprentissage des technique et de la rythmique afin d'aiguiser sa plume! Et pour les futurs beatmaker découverte de l'environnement MAO et des machines de production samplers / séquenceurs (MPC, Groove-Box..)
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Record Label: Rec'Ouest Record
Type of Label: Indie