DESERTY, est un groupe résolument rock, qui tire sa force d’un lien profond entre ses quatre musiciens.
Assumant ses fortes influences anglo-saxones, le groupe parisien a su construire sa propre identité musicale à travers une écriture en français pour son premier album Hors de ma cage (Mistiroux Productions/Hannibal Production - distribution Anticraft, janvier 2008).
Certains ne s’y sont d’ailleurs pas trompés, en apportant tout leur savoir-faire à ce projet : Emmanuel Feyrabend (ingénieur son de Mylène Farmer, IAM, Ray Barreto…), qui collabore avec le groupe depuis plusieurs années, a réalisé Hors de ma cage, suivi par Ian Cooper (U2, Muse, Placebo…) qui l’a masterisé au studio Metropolis (Londres).
DESERTY ou quand le rock français flirte avec la pop anglaise… Le groupe prouve, avec ce premier album, qu’il ne manque pas grand-chose pour rentrer dans la cour des grands.
Des guitares sauvages, des mélodies qui collent à la peau, une rythmique implacable, bref, l’énergie du live comme si vous y étiez ! Et tout ceci n’est pas dû au hasard : avant de devenir DESERTY, Bertrand, Gaetan, Benjamin et Amaury ont forgé leurs expériences sur de nombreuses scènes : des concerts unplugged chaleureux, aux furieux décibels de l’Elysée Montmartre (élu "Révélation Rock" 2006 par Europe 2 Campus Tour), quelle que soit la taille de la scène, c’est là que le groupe prend toute son ampleur.
Guitare Xtrem (Chronique Album - Janvier/Février 2008)
« Nous sommes déjà « addicts » et vous ? ...»
Batterie Magazine (Chronique Album - Janvier 2008)
« La bonne surprise de ce début d’année. »
Laguitare.com (Chronique Album - Janvier 2008)
« Ce disque est monstrueux, beau, racé, assumé et surtout, sans failles. »
20 Minutes (Janvier 2008)
« Aliénant et maladif, leur univers aigre-doux n’en est pas moins séduisant. »
SFR Music (Chronique Album - Janvier 2008)
« Dans un esprit anglo-saxon prononcé, Deserty parvient pourtant à délivrer un rock bien français en béton armé. »
Longueur d'Ondes (Chronique Album - Fev/Avr 2008)
« Production impeccable, riffs gonflés aux stéroïde et section rythmique déchaînée, ce premier jet dans la marre fait du bien par ou il passe. »
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