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Besos Y Fuego

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Member Since: 3/19/2007
Band Members: NEW: Poem from Ketsa, Piano: Frederic Audoye(Iisme), Voice:KasjaNoovaLT1E:Electric guitar, LT2F:Electric guitar, LT3K:voice,lyrics,mouthharp,guitar,tapes.LT4D:sax,klarinetSo me members of the Besos Y Fuego project walking in the Middelheim park.


Jimmy(http://www.myspace.com/jimmytrout ) made the following image of my picture:-) Thanks
Influences: besos,Wim Mertens, Carl Orf, Filip Glass, Steve Roach,Eno,Daniel Lanois,Stockhousen, Léo Ferré, Diamanda Gallas, The Hub, Child Abuse, Sigur Ros, Irène Papas, Yannis Xenakis, Melina Mercouri, Nico, Léonard Cohen, but most of all life itself, was caught by the works of Jung and Erich Fromm, a woman:Oriana Fallaci, most of all though Léo Ferré( his songs, his poetry, his voice, the words this words woven in a web of beauty....) , my experiences, energies between people, feelings.
Sounds Like: FUEGO.......INNER FIRE. http://www.tatapoum.net/idisque/?D=43522 lp date de parution 2007 label Autoproduit auteurs Kasjanoova ajouté par driveblind le 16/05/2007 appréciation (4.5 avec un votant). Les chroniques déjà émises driveblind Projet de...Kasjanoova, une anversoise entourée ici de musiciens de son entourage officiant au sax, guitare, basse et synthé tandis qu'elle même gère entre autres les parties vocales et la guitare, ce groupe impose un univers artistique et musical unique et prenant, dont ce disque de dix-sept titres est le parfait reflet. Kasja, marquée par les épreuves, s'y plonge dans une profonde introspection dont résultent ds morceaux de toute beauté, à commencer par "Melancholia meets Valentine", long de près de 15 minutes et qui impose une atmosphère à la fois spatiale et maritime, déchirée par les plaintes magnifiques du saxo. Un véritable voyage de l'esprit, profond et libérateur en même temps qu'il nous plonge dans les affres d'une douleur vécue. S'ensuit un morceau nettement plus court, "The word mean", n'atteignant pas même les 2 minutes, qui évoque à la fois Tom Waits et Xiu-Xiu et prolonge cette sensation délicieuse de malaise latent, puis "The phonecall" animé par une rythmique hip-hop et un chant presque enjoué, réminiscent de celui de Bjork. Une réussite, encore, à la troublante beauté. Cette beauté issue de la douleur dont Kasja se sert pour élaborer ces morceaux magnifiques et ce disque varié et attrayant. Le titre suivant, "Shapes", en arriverait presque à devenir effrayant par ce rire démoniaque qui apparait et vient souligner l'ambiance noirâtre du morceau. Arrive ensuite "Pure", plus de 10 minutes, dont le saxo nous dépayse d'entrée de jeu, nous invitant à un voyage mental et ethnique captivant, à l'image du morceau d'ouverture de l'album, puis un morceau du même effet, presqu'inerte, animé par ce saxo décidément passionnant et cette voix éparse, mystérieuse, qui ajoute au côté intriguant et magnifique des plages entendues sur cet opus. C'est d'ailleurs ce qui fait la force de Kasja; ce penchant pour le mystère, cette capacité à l'introspection, cette plongée dans les tréfonds de l'âme, générateurs de chansons de toute beauté. Ce côté secret se traduit par des plages à la structure complètement hors-normes, comme "Katpure" qui succède à "Bipure" et "Tripure", les trois formant une suite, donc, non-conventionelle et qui, si la construction des morceaux est pour le moins exigeante, s'avère plus qu'intéressante. Surprise ensuite avec le chant en Français de "Beaud'hy", orné d'un motif récurrent et de paroles à la fois intriguantes et littéraires à souhait. Lourdes de sens, aussi... Suit un morceau plus ouvertement rock, "Bye bye Satan", lui aussi excellent, doté d'une voix rageuse et de guitares acérées, puis on retombe dans un univers électro meveilleux sur "L'amour accroc", mu par une boucle planante soulignée par des percus vivaces. "Dead poets" se veut lui presque incantatoire, sombre à souhait et tranchant avec le côté chaleureux de l'électro du titre précédent, un peu à l'image de ce disque qui semble osciller entre désespoir et moments d'espoir. Puis "Pythia" et son chant à nouveau en Français se montre lui très spatial, à l'image des morceaux des Young Gods sur l'album "Second nature". "The witch" qui suit creuse encore ce côté aérien, avant que ne s'achève l'album sur "Faits divers 1" et "Faits divers 2", l'un consistant en un collage hétéroclite et plutôt habile de parties musicales diverses, l'autre étant quasiment indus sans l'esprit, sur fond de voix...intriguantes, le tout prenant fin sur les pleurs d'un bébé. Pour conclure, un album âpre, difficile d'accès mais qui, une fois assimilé, réserve des trésors musicaux et se révèle sans cesse par sa richesse et l'ingéniosité de ses morceaux. Magnifique. (16/05/2007)
Record Label: unsigned
Type of Label: None