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Maxi K

Maxi K Aka Th@ Maxi Kagemusha

About Me


Maxi K aka Th@ Maxi Kagemusha est un des trois Mc’s du groupe SHOGUN, originaire de la Guadeloupe, élevé à Nancy dans l’est de la France avec une culture à la fois caribéenne et djiboutienne. Fan inconditionnel de cinéma asiatique, son adolescence est rythmée par les prouesses de Jackie Chan (« Drunken Master »), de Jet Li (« Once Upon A Time In China »), et surtout par les chefs d’--uvre d’Akira Kurosawa (« Kagemusha », « Les 7 Samouraïs ») ainsi que par l’anime « Akira ». Tombé dans le hip hop, il y a plus de 15 ans, son premier CD acquis fut « Fear of the Black Planet » de PUBLIC ENNEMY. En 1995, avec la sortie de la bande originale de « La Haine » et l’album mythique d’ASSASSIN « L’homicide Volontaire » le pousse à écrire ses premières rimes, sans oublier l’album « Conçu pour Durer » de LA CLIQUA. Diverses collaborations lui ont permis de peaufiner son art : 3 Raisons d’Etre avec Jeeno J (Sir Charles aka Le Cavalier Noir) et Alek 6 est sa première expérience au microphone. Avec l’accompagnement de Dj Trouble, il anime quelques soirées Dancehall. Puis sur les bancs de la fac, il rencontre Freddy Fred (aka Sang d’Encre) et Dj Max (actuellement membre de Giant Métal) avec la création du groupe La Menace. Le rap conscient a toujours été son cheval de bataille. En 1998, création du groupe Axiruu Samaan avec son pote de toujours CEEDOLA, en compagnie de Candyman (aka (pi)Art) et Nuage Noir. A la suite de quelques concerts dont la première partie de Madison le Bourreau, le groupe se sépare. Après quelques années d’inactivité, Maxi K aka Th@ Maxi Kagemusha reprend la plume avec le groupe SHOGUN en compagnie de Matéo, Seven et Universal Sawyer.
Le combat continue ….
"Agité ou posé, le phrasé permet d'exister
De balancer ses idées, comme Socrate l'a fait
En prose et en vers, l'importance est de dire
De décrire le pire afin de détruire l'empire
Pourquoi se taire ? On a le pouvoir des mots
L'art de la rhétorique, la base de nos idéaux
La parole, l'arme absolue du réactionnaire
Sur Terre, le silence n'est pas contestataire
On éléve nos voix pour résister contre l'état
La liberté d'expression est le cheval de Troie
Tenir un bon discours, un art au sein de la cour
Au milieu des tours, on se défend jour après jour
Comme des troubadours ou des griots qui colportent
De bonnes ou de mauvaises nouvelles à chaque porte
Qu'importe, l'essentiel est de résister par les idées
Inscrites pour l'eternité, un message de vérité"

"L'art de la rhétorique"

Sept 2006
The Wu Tang Clan - Triumph
The Legend Of Zelda : The Twilight Princess

"The Blade"


Casey : Chez moi

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Member Since: 3/7/2007
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HISTOIRE DU SABRE ( Katana) :
Avec le sabre Japonais, on touche à l'âme même du Bushi. Compagnon inséparable du guerrier, le Katana représente ce que celui-ci a de plus cher. Une mystique religieuse va accompagner le sabre durant des siècles et transmettre sa symbolique aux Bushis qui honoreront leur arme comme un véritable Kami ( divinité Shintô ). La fabrication même des lames sera entourée de purifications et de cérémonies religieuses.Les premiers sabres sont importés avec la culture Yayoi. Les lames sont droites et à double tranchant, ce sont de véritables épées. A partir de 950, les forgerons Japonais maîtrisant l'art de l'acier, produisent des lames légèrement courbes à un seul tranchant, les Katanas. Dés lors, la qualité de ces sabres ne cesse de s'améliorer, les armes devenant à la fois plus dures pour le tranchant et avec une structure plus souple pour la lame. Ces sabres( Kotô ) pouvaient trancher l'acier le plus solide sans casser.La fin de la période Muromachi ( 1590 ) marque encore un tournant dans la qualité des Katanas. Ceux-ci sont au meilleur de leur fabrication, et sont appelés Shintô. Portés le tranchant vers le ciel par les Bushis, ils sont accompagnés d'un sabre plus court ( Wakizashi ). Seuls les guerriers avaient le droit de porter ces deux sabres en même temps ( Daisho ).La période d'Edo voit l'apparition des Shinshintô, Katanas destinés aux Samouraïs et symbole de leur pouvoir. Mais, après des siècles de tradition guerrière, un arrêt impérial interdit le port du sabre par les Samouraïs en 1876, ne l'autorisant qu'aux officiers de la nouvelle armée Impériale. Cette obligation, qui touchait à l'image même des guerriers, signifia réellement la fin de la classe des Bushis, et leur disparition.
Big up à SIWA

La Rumeur : Qui ça étonne encore ?



Rockin Squat : France à fric



Oeuvre de Piart



"Higlander : The Search for Vengeance"



"Drunken Master"


Type of Label: Indie