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NiCoLaS LiAu

CONTES MACABRES .. ..

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AVERTISSEMENT : ma santé mentale va bien, merci !!! On peut apprécier le macabre pour son esthétique sans être un profanateur de tombes, un adorateur de Satan ou un serial-killer en puissance... Je ne dors pas dans un cercueil, je ne bois aucun verre de sang chaud et n'égorge aucune poule noire... Le gore pour le gore ne m'intéresse pas. S'il participe à l'efficacité d'une intrigue ou à la mise en place d'une atmosphère léchée dans un souci purement artistique alors, dans ce cas seulement, je le juge digne d'intérêt. Les séries B (voire les séries Z) qui enfilent comme des rangs de perles les séquences sanglantissimes avec une complaisance douteuse dans la médiocrité et la débilité ne méritent, à mon humble avis, que le plus grand dédain... Voilà, c'est dit ! Et je ne perds pas de vue qu' il n'y a pas que la mort dans la vie !!!


« Abandonnez tout espoir , vous qui entrez ».

Dante Alighieri, L’Inferno.



Mon premier recueil de contes, intitulé Quand je serai grand, je serai mort , paraîtra en septembre prochain aux éditions Les Deux Encres et réunira 16 textes brefs qui, imprégnés des esthétiques baroque, romantique et décadente auxquelles je suis si sensible, ont pour thèmes communs la mort, mais aussi la solitude et l'absence.

Les souscriptions sont d'ores et déjà ouvertes. Si vous êtes intéressés, n'hésitez surtout pas à cliquer sur le parchemin ci-dessus pour télécharger et imprimer le bon de réservation (en cas de problème technique, laissez-moi un message). Envoyez-le ensuite à l'éditeur qui vous offrira un livre de son catalogue pour chaque exemplaire de mon recueil commandé. Mon livre est en outre proposé ici à un tarif préférentiel.

* * *


Voici un aperçu de la quatrième de couverture :

La hantise de la mort pousse à toutes les folies...
Ici, une fillette amuse de ses chansons le cadavre d’un pendu, une veuve voit sa maison peu à peu envahie par l’odeur de la putréfaction, un simple d’esprit cache la dépouille de son père dans une soupente. Là, un vagabond jette son cœur à des chiens errants, deux gaillards jouent aux osselets au milieu d’un cimetière, un vieux solitaire trouve un œil de verre dans son jardin. Là, encore, un scieur de bois trempe ses mains dans le sang des arbres, un paysan piétine des sépultures pour s’enrichir, un poète enfouit son mal-être sous un masque à gaz. Plus loin, un reclus laisse une jeune flâneuse chuter dans un puits, une mourante joue de la viole à l’intérieur d’un couvent en ruine, un vieillard enfonce ses doigts dans les yeux d’une statue équestre. Là-bas, enfin, un jeune homme regarde ses rêves pourrir près d’une fontaine, un souffleur de verre fabrique d’étranges cercueils à ses cinq fils et deux amoureuses affrontent le vide au sommet d’un pigeonnier...
Mourra bien qui mourra le dernier.

Né en automne 1982 au creux de la Vallée Noire, au cœur du Berry, Nicolas Liau affectionne depuis toujours le grand Imaginaire, ombreux et tourmenté. Diplômé de Lettres Modernes, il a consacré son mémoire de Maîtrise au vertige de l’espace chez Tolkien et Lovecraft et publié plusieurs articles sur Le Seigneur des Anneaux. Avouant une passion coupable pour le cinéma d’épouvante et la beauté fourbe des chats, Nicolas vient en outre de signer un ouvrage sur le bestiaire fantastique du folklore berrichon.


SOMMAIRE

Les Rêveries du promeneur suicidaire.
Pour qui croassent les corbeaux ?
Corps et biens.
Frau Welt.
A cœur perdu.
Dernières volontés d’une pucelle.
La Corde pour le criminel.
La Complainte des Xylanthropes.
J’irai marcher sur vos tombes.
Trois petites goulées de mort pure.
Deuil pour deuil...
La Mort dans l’âme.
Thanaphobos.
Le Mouroir aux tourterelles.
Le Martyre des cendres.
Et si tu m’aimes, tombe avec moi.


MERCI INFINIMENT !

Il me plaît de dédier cette page à Thomas et Laurent , mes amis qui, avec la soudaineté providentielle d'un deus ex machina, m'ont fait redécouvrir le lexique de la joie et de l'espoir et offert de lumineux et inaltérables souvenirs. Merci à vous de ne vous être jamais vraiment éloignés et d'avoir su conquérir dans mon coeur un endroit dont seuls des amis véritables sont en mesure de trouver le chemin...


Spleen
Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis,
Et que de l'horizon embrassant tout le cercle
Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits ;
Quand la terre est changée en un cachot humide,
Où l'Espérance, comme une chauve-souris,
S'en va battant les murs de son aile timide
Et se cognant la tête à des plafonds pourris ;
Quand la pluie étalant ses immenses traînées
D'une vaste prison imite les barreaux,
Et qu'un peuple muet d'infâmes araignées
Vient tendre ses filets au fond de nos cerveaux,
Des cloches tout à coup sautent avec furie
Et lancent vers le ciel un affreux hurlement,
Ainsi que des esprits errants et sans patrie
Qui se mettent à geindre opiniâtrement.
- Et de longs corbillards, sans tambours ni musique,
Défilent lentement dans mon âme ; l'Espoir,
Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique,
Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir.

(Charles Baudelaire)


Je laisse dans un premier temps la parole à mes parrains. A commencer par mon ami conteur et maître à penser Claude Seignolle :

« Pour Nicolas Liau qui a une plume si naturelle et qui aime les "bains" de Passé, et tout plein d'encouragements pour sauver le romantisme quasi défunt alors que c'est l'enveloppe de notre âme et son éternité.»


« Je trouve en vous la distinction rare d’une grande estime exprimée avec la plume d’un parfait écrivain qui sait fouiller l’envers des phrases avec une harmonie à laquelle on est sensible. Vous avez tout pour faire aimer votre pensée mais, comme tant d’êtres authentiques, il vous manque le culot de sonner aux grandes portes et vous n’êtes pas le seul. »

Je ne connais pas de plaisir plus grand que celui de lever les yeux et d'apercevoir, au-dessus de sa tête, une telle étoile brillant de tout son éclat tutélaire...


Ecoutons à présent David Dunais, grand spécialiste de la littérature fantastique m'ayant offert son amitié et son soutien avec un enthousiasme qui ne cessera jamais de me surprendre :

« Une patte personnelle, mariage subtil de décadentisme précieux et - Ô paradoxe du talent - d'une fraîcheur de bon aloi. Un "souffle nouveau", qui a pourtant la familiarité du rêve et de l'évidence. Un incontestable talent dont le critique, nabot vissé à terre, observe l'envol, émerveillé, les yeux tout papillonnants de reflets de lumière. Nicolas Liau est plus qu'un auteur, c'est un poète. »

Merci infiniment, David…

Cliquez sur la chaîne pour accéder à l’excellent site que David Dunais consacre, avec passion et érudition, à la littérature fantastique :


Je suis né à La Châtre, une petite ville de l’Indre, dans un Berry laissé pour compte, province souvent raillée par ceux qui la connaissent le moins. Je suis pour ma part heureux d’avoir grandi au fond de cette « Vallée Noire », terre jadis fertile en superstitions, célébrée par George Sand dans ses romans champêtres.


Passionné de fantastique depuis toujours, je m’adonne avec un plaisir inexprimable à l’écriture de contes noirs et macabres. A l’instar de Tim Burton, je pense que « si vous demandez à un adulte ce qu’est un conte de fées, il vous dira que c’est une histoire pour enfants. Mais si vous lui faites lire ce conte, si vous lui dessinez les personnages, il sera horrifié par son contenu et par cette imagerie ». C’est pourquoi il me plaît de jouer, à ma modeste manière, avec cette double nature du conte, d’élargir cet écart entre une réputation infantilisante et un propos «abominable».


A l’encontre de la tradition, mes contes ne prétendent délivrer aucune morale. Susciter l'émotion à travers mes historiettes cruelles, conçues comme de petits tableaux sombres et mélancoliques : c’est là ma seule vocation !

Au roman, souvent trop verbeux à mon goût, je préfère la forme brève, bien plus favorable à un surgissement efficace et fulgurant du surnaturel. Les contes et nouvelles ne trouvent plus vraiment grâce aux yeux du public et je le regrette car, par leur dépouillement et leur concision, ils témoignent d’une poéticité et d’une « force de frappe » supérieures à celles du roman.


Nourri , dans mon adolescence, au paranormal et aux productions de Stephen King, je trouve aujourd'hui mon inspiration dans les richesses du passé. S’il me fallait lister mes influences, je citerais : l’atrocité raffinée des mythes gréco-latins, l’inventivité foisonnante et inégalable des traditions orales du terroir, les décors crépusculaires et en ruine (qui font un peu « cliché ») du roman gothique, l’exubérance macabre de l’outre-tombe baroque, les fantômes pudibonds et le surnaturel feutré des ghost-stories victoriennes (et de Joseph Sh. Le Fanu en particulier), l’acidité cruelle et cynique d’Ambrose Bierce et les « dires » rustiques et sorciers, si bellement mis en mots, de l’ethnologue Claude Seignolle.

Mais s’il me fallait ne retenir qu’une seule source à laquelle nous abreuver, moi et ma plume, je dirais ceci : si Mère Nature peut s’enorgueillir d’avoir signé nombre de chefs-d’oeuvre, il en est pour lesquels elle a fait montre d’une application particulière et dont elle peut tirer une vanité légitime : les chats, démons tout de fourrure et de vice, au sujet desquels Baudelaire a si justement écrit :

« Amis de la science et de la volupté,
Ils cherchent le silence et l’horreur des ténèbres ;
L’Erèbe les eût pris pour ses coursiers funèbres,
S’ils pouvaient au servage incliner leur fierté. »

Ma muse la plus assidue ne porte pas de nom grec, ne se présente pas à moi sous les traits d’une demoiselle en fleur, mais fait clignoter avec nonchalance ses yeux métallisés au rythme de ses mélopées ronronnantes et de ses pas satinés. J’aime dérober à ces petits fauves domestiques les nuances qui composent le spectre bigarré de leur caractère pour en teinter mes textes. Je révère les chats pour toutes les singularités d’humeur qui font que d’autres, hélas trop nombreux, les détestent. Parce qu’ils se plaisent à vivre en marge, parce qu’ils ne se reconnaissent aucun maître véritable, parce qu’ils peuvent, d’un seul mouvement, se frotter tout contre vous et vous labourer la main d’un coup de griffe... Et parce qu’il leur faut toujours être aux premières loges, sur l’écritoire, quand la plume racle le papier.


J' espère que cette présentation sans doute un peu rigide ne vous dissuadera pas d'aller jeter un oeil à mes textes figurant au sommaire de diverses revues (Monk, La Salamandre, Le Calepin Jaune, Artefact 61, Eclats de Rêves, Borderline, L'Arc et le Heaume, Virgule, Le Monde de l'Inconnu...) et ouvrages collectifs (éditions Edysseus).

Pour consulter, sur la base BDFI, la liste de mes textes parus en revues, cliquez sur le lien ci-dessous :


My Interests

Venez également jeter un oeil à la page de Florent , mon frère jumeau. Pour ce faire, prenez cette torche et avancez dans le noir...

I'd like to meet:

Témoin inquiet du déferlement tapageur et médiatique de la Fantasy et de tous ses avatars, je cherche des amis de la littérature de l’imaginaire qui, comme moi, veulent encore croire que le Fantastique ne vit pas ses dernières heures.

Je n’éprouve aucune haine particulière pour la Fantasy, dont l’existence me paraît légitime (je voue d’ailleurs une grande admiration au Seigneur des Anneaux) ; je déplore cependant que toutes ces trilogies, souvent hypertrophiées et radoteuses, occupent une place si écrasante sur les rayonnages des bibliothèques et des librairies.

Défenseurs du bon vieux Fantastique à l’ancienne, nostalgiques du règne de Poe, Maupassant et les autres, faites-vous entendre ! Ecrivez-moi ou laissez un commentaire sur cette page...

Mémoire de Maîtrise.

Ayant bouclé mon cursus universitaire, à Limoges, par une Maîtrise de Lettres Modernes, j’ai pu consacrer mon mémoire à un sujet que j’affectionne tout particulièrement : Les lieux de la rencontre monstrueuse en tant qu’espace du vertige dans « Le Cycle de Randolph Carter » de H. P. Lovecraft et « Le Seigneur des Anneaux » de J. R. R. Tolkien.

Ce travail a été publié en mai 2008 par les éditions L'Oeil du Sphinx et figure au sommaire du premier numéro des "Cahiers de l'Université de Miskatonic".

Cliquez sur l’Anneau pour accéder à la synthèse de ce travail que j’ai publiée sur le site de David Dunais :

Cliquez sur l’araignée pour accéder au site de l'éditeur et commander le premier volume des "Cahiers de l'Université de Miskatonic", publications dédiées à l'étude et à la promotion de l'oeuvre de H.P. Lovecraft.

« Nicolas Liau ose Une rencontre au sommet à ne point manquer ».
(La Lettre du Crocodile, juin 2008)

Ce n’est pas tout…

Avant de me tourner définitivement vers la forme du conte, je me suis intéressé pendant plusieurs années au genre de la nouvelle. Parmi les derniers textes écrits, je signale :

* « Bovis Dux » (inédite).
* « Retour de flammes » (publiée dans la revue Eclats de Rêves, n°5).
* « De fil en aiguille » (inédite).
* « Les Tracasseries du promeneur suicidaire » (publiée dans le recueil On m'a pris ma révolution, éditions Ancre et Encre).
* « Le Foulard » (publiée dans la revue Artefact 61, n°9).
* « Ne réveillez pas le chat qui dort » (publiée dans la revue Artefact 61, n°11).

J’ai également signé quelques articles et courts essais :

* « J. R. R. Tolkien : l’Histoire de l’Anneau » , trois articles publiés dans le dossier spécial Tolkien du magazine Virgule, n°37 : « Quelques clés de lecture pour Le Seigneur des Anneaux », « Tolkien et la Fantasy » et « Petit lexique à l’usage des non-initiés... ».
* « La Vallée de Morgul : une nature morte en voie d’infernalisation » , article paru dans le recueil Tolkien, un autre regard sur la Terre du Milieu, éditions Edysseus. (résumé : En quoi la Vallée de Morgul, dans « Le Seigneur des Anneaux », est-elle un enfer en devenir, à l'image de la Prairie des Asphodèles chez les Grecs anciens et de la Géhenne biblique ?).
* « Les méchantes Fées du Berry » , article paru dans la revue Le Monde de l'Inconnu, n°317. (résumé : Aperçu des principales créatures qui hantent le Berry féerique...).
* « La Bataille de Lézeau et le Nettoyage de la Comté : mort et résurrection » , article paru dans la revue L'Arc et le Heaume (spécial Hobbits), n°1. (résumé : La Comté des Hobbits est-elle condamnée à porter les stigmates des dommages que lui ont infligés Saroumane et ses sbires ?).

Ma bannière…

Si vous souhaitez ajouter sur votre site personnel un lien vers ma page Myspace en utilisant ma bannière, faites-le moi savoir par mail et je vous communiquerai avec plaisir le code de ma bannière... Merci beaucoup.

J'en profite pour vous inviter à cliquer sur la bannière ci-dessous et à découvrir l'univers féerique des Pucks, joyeuse compagnie de conteurs et artistes passionnés... Attention, dépaysement assuré !

«Cela se passa sur l'achevé d'un après-midi d'automne, au plus noir de ces jours si creux où l'on chute comme dans un piège et où soudain tout manque pour aider au soutien de l'homme seul, ce fétu de paille : soleil, chaleur et chant d'oiseaux ; où le diurne, lui-même dégoûté, se contente de passer hâtivement et où le nocturne s'installe pour pondre en vous à loisir d'humides et glaciales pensées».
Claude Seignolle, Un homme nu.


Music:

Mes compositeurs de B.O.F. favoris :

Danny Elfman, Hans Zimmer, Klaus Badelt, Dario Marianelli, Tyler Bates, Jan Kaczmarek, Harry Gregson Williams, Steve Jablonsky, Marco Beltrami, Alan Silvestri, Howard Shore…

Movies:

Mes réalisateurs favoris :

Tim Burton, Wes Craven, Guillermo del Toro, Ridley Scott, Christophe Gans, Bryan Singer, Alexandre Aja, Luc Besson, Peter Jackson, Robert Rodriguez, Terry Gilliam, Sam Raimi, Alex Proyas, John Carpenter...

Mes acteurs favoris :

Ian McKellen, Johnny Depp, Sean Bean, Jake Gyllenhaal, Ewan McGregor, Jared Leto, Cillian Murphy, Brad Dourif, Joaquin Phoenix, Bill Nighy, Jonathan Pryce, Elijah Wood, Anthony Hopkins...

Mes actrices favorites :

Kathy Bates, Marion Cotillard, Sigourney Weaver, Helena Bonham Carter, Maggie Smith, Uma Thurman, Anna Faris, Christina Ricci, Franka Potente, Winona Ryder, Gillian Anderson...

Mes films favoris :

Dolores Claiborne, Alien (la Quadrilogie), Edward aux mains d’argent, Sleepy Hollow, Le Labyrinthe de Pan, Underworld, Silent Hill, From Hell, Les Autres, La Guerre des Mondes, Entretien avec un vampire, Dracula, Le Seigneur des Anneaux, Misery, X-Men (la Trilogie), Creep, The Descent, Cube, Constantine, Dark City, Un Elève doué, La Ligne Verte, Sin City, Dog Soldiers, La Colline a des yeux, Blair Witch, Jeepers Creepers, L’Exorciste... et tant d’autres encore !


Books:

Les auteurs de ma bibliothèque personnelle :

Ambrose Bierce, Bram Stoker, Joseph Sh. Le Fanu, Henry James, Francis M. Crawford, G. de Maupassant, Théophile Gautier, Charles Nodier, R.L. Stevenson, E.T.A. Hoffmann, Washington Irving, Walter de la Mare, Nathaniel Hawthorne, Maurice Level, Edith Wharton, Mary Shelley, Alexandre Dumas, Gaston Leroux, Ann Radcliffe, Amelia B. Edwards, Montague R. James, Edward F. Benson, Walter Scott, William F. Harvey, Fitz James O’Brien, Edgar A. Poe, Horace Walpole, Matthew G. Lewis, Charles Maturin, J.R.R. Tolkien, Stephen King, Claude Seignolle…

Heroes:

Caspar David Friedrich.

Bien que je sois un parfait néophyte en matière d’arts graphiques, j’avoue avoir un petit faible pour le travail du peintre romantique Caspar David Friedrich...

Voici quelques illustrations de mes textes signées par de jeunes et talentueux artistes. Qu’ils soient ici remerciés...

(Cliquez sur les visuels pour les agrandir)

Dessin de Vivien Chauvet illustrant ma nouvelle «Retour de flammes» (Eclats de Rêves, n°5).

Dessin de Zariel illustrant mon conte «La corde pour le criminel» (Eclats de Rêves, n°12).

Dessin d’ Estelle Valls de Gomis illustrant mon conte «Dernières volontés d’une pucelle» (Monk, n°2).

Dessin de Demauritius illustrant mon conte «Et si tu m'aimes, tombe avec moi» (Eclats de Rêves, n°15).

CONTACT

Je serais très heureux de connaître votre avis sur mes textes, mais aussi sur mon site. Aussi, n’hésitez pas à me faire part de vos impressions, vos remarques, vos suggestions, vos compliments ou encore vos critiques.

Vous pouvez me contacter par mail ou par voie postale (merci de privilégier, jusqu'à nouvel ordre, la voie postale). Je réponds à tous les messages que je reçois ! Cliquez sur l'un des deux liens suivants :


Laissez une trace amicale de votre passage sur mon site en venant signer mon LIVRE D'OR . Cliquez sur le livre ci-dessous puis sur "Signez son livre d'or"...

Interviews

Ma passion pour l’écriture m’a valu quelques interviews et articles dans des journaux locaux. Tout cela est consigné dans les grimoires ci-dessous : n’hésitez pas à cliquer !

My Blog

Quelques publications récentes...

Je me permets de signaler ici la publication du dernier numéro de la revue MONK au sommaire duquel figure mon conte intitulé "Dernières volontés d'une pucelle"... Voici la présentation de l'éditeur : ...
Posted by Nicolas Liau on Fri, 03 Aug 2007 11:32:00 PST