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ISABELLE HUPPERT

It's more like breathing for me to act

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ISABELLE HUPPERT TRIBUTE PAGE.ISABELLE FACTS +Alumn of Europe's most prestigious National Conservatory of Dramatic Art of Paris, CNSAD.
Create Your Own!ISABELLE HUPPERTBiographie inédite (par Thierry Rouault-Le Nan)Une enfance entre Ville-d'Avray et VienneIsabelle Huppert est née le 16 mars 1953 à Paris. La petite Isabelle est élevée à Ville-d'Avray par un père dirigeant d'entreprise de cofffres-forts (et voyageur passionné) et une mère, grande joueuse de piano enseignant l'anglais. Elle est également entourée de trois soeurs et d'un frère. Caroline et Elisabeth deviendront réalisatrices et la troisième soeur, Jacqueline, est maintenant professeur d'économie. Son frère, Rémi, est écrivain mais il est également un bon pianiste comme sa mère.. Les parents font voyager leurs enfants, les emmènent voir de nombreuses pièces de théâtre et des expositions. Isabelle mène finalement une vie bourgeoise et fort culturelle.une petite écolièreLa cadette de la famille Huppert n'est pas spécialement une "petite fille modèle" mais plutôt du genre chipie. C'est avec Caroline qu'Isabelle est la plus proche. Caroline s'occupe de sa petite soeur, la guide dans ses jeux, lui fait des habits pour sa poupée. La complicité entre les deux soeurs se reportera plus tard au cinéma avec le film "Signé Charlotte" jouée par Isabelle et mis en scène par Caroline.Isabelle à sept ans avec sa mamanLes rêves de la petite Isabelle sont très éloignés du cinéma. Elle lit "La petite sirène" et "La petite marchande d'allumettes", elle est à la fois gaie et angoissée. Il lui arrive de ses poser des questions fortes voire métaphysiques... Elle s'interroge sur ce qui arrive après la mort et demande à sa mère si elle dînera avec Napoléon et d'autres grands personnages de l'histoire ! Isabelle a peur de la mort, de l'au-delà, de la nuit, du noir et des étoiles ce qui paraît étonnant pour une future star !Isabelle rêvait de devenir puéricultrice ou patineuse mais pas du tout actrice. Sa maman avait une amie autrichienne, championne de patinage. Elle retrouvait Vienne l'été où elle se rendait à la patinoire en métro. Elle avoue pour la revue Femme (n° 153) : "Je m'entraînais. Bien sûr, j'étais nulle, sinon ce ne serait pas drôle. Mais je faisais comme si j'avais un avenir possible". "La Pianiste" film d'Haneke, tourné à Vienne comporte plusieurs scènes près d'une patinoire. On voit l'actrice courir maladroitement sur la glace. Isabelle volait-elle au secours de son enfance ?Bien sûr la famille Huppert allait au cinéma. Les premiers films dont Isabelle se souvient sont "Le triporteur" (avec Darry Cowl) et "Lafayette". Pourtant, elle préfère la musique et la chanson. Toute petite déjà, Isabelle chantait énormément. A la fin des repas elle entonnait des couplets avec une grosse voix, une voix très forte qui ne collait pas avec son physique d'enfant menue.Les débuts d'une actrice... "intellectuelle" ?Adolescente, Isabelle est poussée un peu par sa maman vers le théâtre. Elle est inscrite au Conservatoire de Versailles et obtient le premier prix d'interprétation. Elle se sent encouragée par ce succès. Mais elle ne lache pas ses études et décroche son baccalauréat. Isabelle passe une licence de russe à la faculté de Clichy. Elle s'inscrit au Conservatoire d'Art Dramatique, à Paris. Dès lors, les premières propositions lui parviennent : une figuration dans "Faustine et le bel été" (1971) de Nina Companeez, une courte aparition dans un téléfilm sur Proust (1971) et une dramatique télé de Claude Santelli, "Madame Baptiste" (1972), d'après Maupassant dans laquelle elle joue le personnage de Gilberte Swann. Isabelle Huppert est diplômée et grande lectrice. Elle passe pour une "intellectuelle" aux yeux des journalistes qui adorent collée des étiquettes. Mais Isabelle s'en moque, elle déclare : "Je préfère passer pour une intellectuelle que pour une imbécile" (Femme n° 153).Le cinéma s'éprend d'Isabelle. Elle montre son joli minois dans "César et Rosalie", de Claude Sautet. Dans ce film, elle incarne la petite sœur de Romy Schneider. Dans "Le bar de la fourche", Isabelle Huppert a la chance de tourner aux côtés de l'inoubliable interprête de "Ne me quitte pas".Son nom deviendra populaire grâce aux "Valseuses" de Bertrand Blier, où elle incarne une adolescente bourgeoise tentée par le dévergondage sexuel. En 1974, Isabelle tourne pour la première fois à Hollywood dans "Rosebud", sous la direction d'Otto Preminger. Aux Etats-Unis, elle effectue également une tournée théâtrale avec "L'avare". Grâce au film de Bertrand Tavernier "Le juge et l'assassin", Isabelle reçoit le prix Suzanne-Bianchetti, qui récompense alors les meilleurs espoirs.Isabelle Huppert n'a que 23 ans quand elle joue dans"La dentellière", film qui connaît un extraordinaire succès. Ce succès permet à Isabelle d'être plus sélective dans les rôles qui lui sont proposés. Claude Goretta, le réalisateur du film a offert à Isabelle un véritable cadeau avec ce rôle d' introvertie. Elle joue si bien qu'elle rencontre la consécration. En 1977, l'étoile d'Huppert monte très au dans le firmament du cinéma.A Cannes : une étoile est née.En 1978, Isabelle reçoit le prix de la meilleure actrice à Cannes pour sa prestation dans le "Violette Nozière" de Chabrol.En 1979, elle tourne "Loulou" de Pialat. Ce film lui permet de rencontrer à nouveau Gérard Depardieu, véritable "monstre" du cinéma français. La même année, elle part à Hollywood pour y tourner "La porte du paradis", de Michael Cimino. L'échec commercial du film devient historique. Les conditions de tournage furent éprouvantes pour les acteurs (interdiction totale de parler français à qui que ce soit). Déçue, Isabelle Huppert revient en France pour démarrer une nouvelle aventure cinématographique, celle de "Sauve qui peut (la vie)"avec Jean-Luc Godard.En 1980, Isabelle incarne la "Dame aux camélias" de Bolognini. Ce rôle de femme à la destinée tragique sied au talent d'Isabelle, et préfigure sa future interprétation de madame Bovary.En 1981, elle retrouve Bertrand Tavernier pour jouer dans "Coup de torchon". "Passion" tourné en cette même année est un sentiment qui semble animée la belle Isabelle envers le cinéaste suisse puisque avec ce film elle retrouve Godard. Isabelle Huppert est véritablement une actrice internationale, elle le prouve en tournant en Italie avec Marco Ferreri "L'histoire de Piera" en 1983. Refusant d'être cataloguée, Isabelle Huppert est capable d'interprêter des films intellectuels (Godard, Pialat) ou bien encore des comédies ("La femme de mon pote" de Bertrand Blier avec l'inoubliable Coluche en 1983. Elle est d'une touchante sincérité dans tous les rôles qui lui sont proposés. Ainsi, elle s'essaye aux "amitiés particulières" avec Miou-Miou dans le film de Diane Kurys Coup de foudre.Depuis toute petite, Isabelle aime chanter. Depuis les années 80, elle prend régulièrement des cours de chant. Le fruit de cette seconde passion a donné naissance à un 45 tours "Souvenirs chiffonnés", chanson illustrant la B.O. du film "Signé Charlotte". Isabelle Huppert fut même invitée en tant que chanteuse en 1985 dans l'émission de variétés "La belle vie" pour interpréter cette chanson.Les années ChabrolClaude Chabrol devient son "Mentor" et même son père spirituel. Leur complicité est en même temps matinée de respect mutuel. Chabrol tutoie l'actrice mais celle-ci vouvoie le maître de la "nouvelle vague". En 1988 le duo Chabrol/huppert est réuni pour la deuxième fois dans "Une affaire de femmes". L'originalité de ce film est de présenter l'actrice quasiment en gros plan d'un bout à l'autre. Chabrol et Huppert sont en compétition au Festival de Venise ce qui n'est pas sans risque. En effet, l'histoire d'une "faiseuse d'ange" choque au pays des papes et du catholicisme bien-pensant . Néanmoins Isabelle reçoit pour l'occasion le Prix d'Interprétation.Depuis 1989, Isabelle Huppert est remontée sur les planches pour interpréter "Un mois à la campagne" de Tourgueniev, "Jeanne au Bûcher" d'Arthur Honegger et Paul Claudel, puis "Orlando" de Virginia Woolf. Il est possible que la réputation d'actrice intello, affublée à mademoiselle Huppert provienne de son goût pour le théâtre.En 1990, Isabelle joue dans "Malina", de Werner Schröter. Elle incarne évidemment le personnage principal. Le scénario a été signé par une féministe engagée du nom de Elfriede Jelinek.1993 est une année importante pour Isabelle. Elle renoue avec le cinéma après une pause due à sa seconde maternité. Dans "Amateur", film indépendant de Hal Hartley, Isabelle campe, aux côtés de Martin Donovan, une vieille fille nymphomane. Actrice au talent inconstesté, celle qui a été nommée un nombre incalculable de fois au César de la Meilleure actrice n'a reçu ce prix qu'une seule fois (en 1996), encore sous l'égide de Claude Chabrol et dans le sillage du triomphe populaire remporté par "La cérémonie". Un temps présidente de la commission de l'Avance sur Recettes et la plus internationale des actrices françaises, Isabelle Huppert prouve que les actrices sont loin d'être des "ravissantes idiotes" comme certains journalistes voudraient le faire croire. Isabelle est polyglote, elle est capable de jouer en français, anglais, italien et même dans la langue de Tolstoï (n'oublions pas qu'elle a brillament réussi une licence de russe). Elle est une des rares françaises à pouvoir jouer en Australie ("Cactus"), en Russie ("L'inondation"), d'après un court roman de Zamiatine), en Allemagne ("Malina" et "Poussières d'amour", de Werner Schroeter), en Italie ("Les affinités électives", des frères Taviani) ou aux Etats-Unis ("Amateur", de Hal Hartley).--------------------------------------------------- --------Isabelle Huppert se voit décerner le prix d'interprétation féminine lors du Festival des Films du Monde de Montréal 2000. Cette récompense vient saluer la collaboration de longue date de Claude Chabrol et Isabelle Huppert, "Merci pour le chocolat" étant leur 6 ème rencontre cinématographique. Isabelle Huppert est l'héroïne du film 'Le pianiste', le dernier film de Michael Haneke. Le film, en compétition à Cannes en 2001, permet à Isabelle de remporter son deuxième prix d'interpréation cannois. "Le Pianiste" une adaptation pour le grand écran d'un roman de l'Autrichienne Elfriede Jelinek. Dans ce film, Isabelle Huppert ne joue pas la comédie, elle incarne littéralement le personnage. Etrangement, il semble que le rôle de ce professeur de piano sadomaso avait été spécialement écrit à son intention. Pourtant, Elfriede Jelinek n'a pas pensé un instant à Isabelle Huppert en écrivant ce drame en 1983. Il s'agit d'un récit contant la relation orageuse entre une mère et sa fille. Erika Kohut - c'est le nom de l'héroïne - est tellement perturbée par les conflits perpétuels avec sa mère (admirablement jouée par Annie Girardot), qu'il lui est presque devenu impossible d'éprouver du plaisir dans sa vie sexuelle. Elle ne jouit que dans la douleur et le châtiment. Grâce à ce film, et à sa magnifique interprétation, Isabelle reçut le prix de la meilleure actrice de l'année par l'académie européenne du cinéma.Isabelle Huppert avait un tout autre projet de film avec Michael Haneke. En effet, il était question qu'elle joue dans un film intitulé "Wolfzeit" : Le temps des loups. Loin des noirceurs de "La pianiste", Isabelle devait & ecirc;tre l'héroïne d'un thriller futuriste. L"histoire était celle d'un couple quittant sa ville privée brutalement de toute son infrastructure. Le titre du film faisait référence au moment qui précède l'Apocalypse dans la mythologie germanique, moment où toutes les valeurs s'écroulent. Le sujet était alléchant... trop alléchant pour tomber aux oubliettes ! Grâce au succès de "La pianiste"Isabelle a tourné avec Haneke et "Wolfzeit" : le Temps des loups sortira en 2003, un an après "Huit femmes", le film en huis clos de François Ozon (auteur de "Sous le sable" avec Charlotte Rampling). Dans ce film elle donne la réplique à Virginie Ledoyen, Catherine Deneuve et Fanny Ardant entre autres. L'année 2002 fut chargée pour l'actrice aux 50 printemps. Après sa collaboration dans DEUX de Werner Schroeter, on la vit dans "La vie promise" d'Olivier Dahan (Le petit Poucet, pour qui elle incarnait une prostituée refusant son statut de mère.En 2002/2003, Isabelle Huppert a retrouvé la scène avec l'interprétation de "4.48 psychose" de Sarah Kane, mis en scène par Claude Régy au théâtre des Bouffes du nord puis en tournée en France et à l'Etranger. Nominée auc Césars pour "8 femmes" Iabelle Huppert est devancée par une autre Isabelle (Carré) mais reçoit un prix en Italie (prix David di Donatello) pour l'ensemble de sa carrière. Après quoi, Huppert reprend le rôle de Jeanne d'Arc, 12 ans après sa première interprétation ( elle incarna la Pucelle à l'Opéra Bastille en 1991) du 24 au 29 mars à Lisbonne.--------------------------------------------------- --------En 2004, Isabelle travaille d'arrache-pied elle joue dans une adaptation d'un roman de Bataille, qu'elle apprécie beaucoup, "Ma Mère". Le film est un échec car il est trop intellectualisé et cherche la provocation visuelle alors que le livre cherchait à bousculer les moeurs des années 60. Huppert a également tourné dans "Les Sœurs Fâchées" (qui devait s'intitulé "L'Esprit de Famille"), réalisé par Alexandra Leclère. Elle joue la soeur ainée de Catherine Frot, Martine, qui vit une existence bourgeoise à Paris, elle est belle, naturellement élégante et distante. Catherine Frot (Louise) vient à Paris pour un important rendez-vous, et passe trois jours chez Martine.En Juillet, Isabelle et Patrice Chéreau ont entamé leur première collaboration en tant qu'acteur et réalisateur - "Le Retour" est adapté d'un roman de Joseph Conrad (1857-1924), par Anne Louis Trividic, et interprété également par Pascal Greggory - son partenaire dans "La Vie Promise" (2002) et "Les Sœurs Brontë"(1979).En 2005 Isabelle a retrouvé les planches en jouant "Hedda Gabler" d'Ibsen à l'Odéon. Son retour à Hollywood pour le film "J'adore Huckabees" avec Dustin Hofman et Naomi Watts s'est soldé par un échec. Le film était trop brouillon et décousu. "Le retour", film de Patrice Chéreau sort dinalement sous le titre "Gabrielle"En 2006, Isabelle est partout présente. Elle est nommée aux Césars pour son rôle dans "Gabrielle" (mais le ésar sera attribuée à Nathalaie Baye) Dans le métro, on voit son image sur de nombreuses affiches annonçant : une rétrospectivre de ses films à la cinémathèque (janvier/février), une exposition de photos au couvent des Cordeliers (dont le catalogue était précédemment sorti aux éditins du Seuil). Enfin, Isabelle Huppert est de retour au cinéma pour sa 8è colaboration avec Chabrol (1 téléfilm et 7 films). Cette fois Chabrol s'est intéressé à l'affaire Elf. Son égérie incarne la juge d'insctruction Eva Joly opposé à François Berléand incarnant le PDG Loïc Le Floch Prigent. Le procain projet d'Isabelle est un film belge. Isabelle Huppert est sur le point d'incarner la mère de Jérémie Rénier, et de son frère Yannick, dans "Nue propriété", un rame familial réalisé par le jeune cinéaste belge Joachim Lafosse.Quand "Ma mère" rencontre "L'Enfant.".. Isabelle Huppert, s'apprête à partir en Wallonie pour le tournage de Nue propriété, drame familial signé par un jeune cinéaste belge, Joachim Lafosse, dans lequel elle aura pour fils Jérémie Renier et le frère de celui-ci, Yannick Rénier.Affaire de familleDans Nue propriété, qui se tourne ce mois-ci dans le Brabant wallon, Isabelle Huppert incarne Pascale, une femme divorcée qui vit dans une ancienne ferme restaurée avec ses fils jumeaux, Thierry (Jérémie Renier) et François (Yannick Rénier), jeunes adultes incapables de se prendre en charge. Son amant l'encourage à vendre cette demeure pour ouvrir une maison d'hôtes, mais les deux fils s'opposent violemment à ce projet. Désespérée, elle décide finalement de quitter la maison. En son absence, une véritable guerre gémellaire éclate...Huppert et Morante dans Madre e ossaDémarrage fin mai des sept semaines du tournage de Madre e Ossa, le 4e long métrage de fiction cinématographique d'Alessandro Capone qui réunira en tête d'affiche la star française Isabelle Huppert et son homologue italienne Laura Morante.Tourné en langue française, le film retracera la rencontre d'une femme ayant tenté de se suicider pour la troisième fois (Huppert) et d'une psychiatre (Morante) travaillant à élucider le passé de cette patiente sans réactions, enfermée dans un silence inviolable. Le mystère se lèvera peu à peu sur ce mal de vivre marqué par le poids de la faillite de la responsabilité maternelle. Une exploration qui révèlera un mariage trop rapide, une grossesse non désirée et les tabous d'une relation mère-fille dévastatrice qui masque des désirs de mort derrière les apparences de l'amour obligatoire. Le casting est en cours pour le rôle de la jeune fille. A noter que Madre e Ossa est une adaptation d'un roman éponyme de la Française Danielle Girard publié en Italie en 1997 et succès de librairie, mais jamais paru dans l'Hex agone.Cinéma et théâtre à foisonDe septembre à décembre Isabelle jouera la marquise de Merteuil, adaptation des Liaisons dangereuses rebaptisées Quartet par Bob Wilson à l'Odéon. Après quoi, l'actrice jouera dans plusieurs films White Material : film français de Claire Denis dont l'intrigue se déroulera dans des plantations de café, Le Beau Monde : film français de Benoît Jacquot avec aussi Fanny Ardant & Didier Bourdon, In America : film français de Jerzy Skolimowski produit et interprété par Isabelle. Il s'agit d'une comédie dramatique adaptée d'une oeuvre de Susan Sontag dans laquelle jouent aussi Jennifer Jason Leigh & Dennis Hopper. Huppert sera dans Triple pleine film qui raconte le combat de la fondatrice de SOS Attentat. Ce film est est adapté de l'oeuvre de Françoise Rudzeski qu'Isabelle interprétera dans le film puis on la retrouvera dans Une affaire de trahison de Olivier Assayas qu'Isabelle retrouvera après Les destinées sentimentales. Le film traitera d'une affaire d'espionnage soviétique en France...
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My Interests

+MY FAMILYFather: Raymond Huppert Mother: Annick Beau Sister: Elisabeth Huppert Sister: Caroline Huppert Husband: Ronald Chammah (m. 1982, one daughter, two sons) Daughter: Lolita (b. Oct-1983) Son: Lorenzo (b. 1986) Son: Angelo (b. Aug-1997)+MY CAREER University: Conservatory of Versailles (Graduated from the CNSAD (National Conservatory of Dramatic Art of Paris)BIO FROM DIFERENT SOURCES+Isabelle Huppert was born in 1953, in Paris, France, but spent her childhood in Ville d'Avray. Encouraged by her mother (who was a teacher of English), she followed the Conservatory of Versailles and won an acting prize for her work in Alfred de Musset's "Un caprice". She then studied at the Conservatoire d'Art Dramatique and followed an illustrious theatrical career, which includes Ivan Turgenev's "A Month in the Country", Euripides' "Medea" (title role) etc. She made her movie debut in 1971 and soon became one of the top actresses of her generation, giving fine performances in important films, like Claude Goretta's Dentellière, La (1977), as a simple-minded girl who falls in love with - and is betrayed by - a student, Jean-Luc Godard's Sauve qui peut (la vie) (1980), as a prostitute, and Maurice Pialat's Loulou (1980), as an upper-class woman who is physically attracted by a young vagabond. She made her US debut playing a brothel madam in Michael Cimino's disastrous Heaven's Gate (1980) and has an extremely productive collaboration with Claude Chabrol, who cast her in several movies, including Violette Nozière (1978), in which she played a young woman who murders her parents, and Une affaire de femmes (1988), in which she gave an excellent performance as a shameless abortionist, the last woman to be executed in France. More recent good films include Patricia Mazuy's Saint-Cyr (2000) and Michael Haneke's controversial Pianiste, La (2001), as a sexually repressed piano teacher.She is, by far, the actress who has had the most films (16) in the Cannes's official competition, and one of the three who have won the Best Interpretation Awards twice - for Violette Nozière (1978) in 1978 and Pianiste, La (2001) in 2001 (the others are Helen Mirren for Cal (1984) in 1984 and The Madness of King George (1994) in 1995, and Barbara Hershey for Shy People (1987) in 1987 and A World Apart (1988) in 1988).Most nominated actress for the Cesar Award. She has been nominated 12 times, and won once, for Cérémonie, La (1995). (2004)Has recorded an album with French singer/"rock star" Jean-Louis Murat called "Madame Deshoulières". They sing/recite lyrics taken from poems of nearly unknown 16th century writer Antoinette Deshoulières. (Album released in France by "Labels" on 26 March 2001.)Plays the pianoIsabelle Huppert starred with her daughter Lolita Chammah in three films, Vie moderne, La (2000), Malina (1991) and Une affaire de femmes (1988).During the shooting of the movie 8 femmes (2002), Isabelle was always hungry around 5 o'clock and had to eat the bread. This made Danielle Darrieux feel hungry too. So everyday at 5 o'clock, they would share a piece of bread together.Member of the jury at the Cannes Film Festival in 1984Graduated from the CNSAD (National Conservatory of Dramatic Art of Paris)Friend of Kim Cattrall.

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ISABELLE HUPPERT FANS.[CONTACTING ISABELLE MANAGMENT] c/o V.M.A. 20 av. Rapp 75007 Paris France
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WHAT IS ACTING FOR ISABELLE?AWARDS:Cannes Film Festival Year Category Movie Win/Nominated 2001 Best Actress Piano Teacher (2002) WinEuropean Film Academy Year Category Movie Win/Nominated 2001 Best European Actress Piano Teacher (2002) Win .French Academy of Cinema Year Category Movie Win/Nominated 2002 Best Actress 8 Women (2002) Nominated 2001 Best Actress Piano Teacher (2002) Nominated 2000 Best Actress Saint-Cyr (2000) Nominated 1998 Best Actress School of Flesh (1999) Nominated 1994 Best Actress La Separation (1998) NominatedL.A. Film Critics Association Year Category Movie Win/Nominated 2002 Best Actress (Runner-up) Piano Teacher (2002) WinMontreal World Film Festival Year Category Movie Win/Nominated 2000 Best Actress Merci Pour le Chocolat (2002) WinNational Society of Film Critics Year Category Movie Win/Nominated 2002 Best Actress (Runner-up) Piano Teacher (2002) WinToronto Film Critics Association Year Category Movie Win/Nominated 2002 Best Actress [Runner-up] Piano Teacher (2002) WinVenice International Film Festival Year Category Movie Win/Nominated 2005 Special Lion Gabrielle (2006) Win 1988 Volpi Cup for Best Actress Story of Women (1988) Win--------------------------------------------------------- -- DIRECTOR CLAUDE CHABROL TALKING ON MADAME BOVARY“If I seem detached or distant, it's because I think this is a more exact reproduction of life, where you hide as much as you show. When I see a scene in which feelings get loudly exteriorized, I say to myself, 'Well, at least this never happens to me.' I very rarely go through this type of expression. Most of the time things are hidden or at least much more subdued.”"A script, even it differs from filmmaker to filmmaker, never tells the whole story; there are always elements that need to be invented. As soon as one decides to take a role after having read the script, the various elements begin to fall into place. A character begins to take shape. And regardless of whether the information given is ample or not, it appears to one, strangely, as an apparition. From that moment, one knows whether or not this figure will be able to pass through one; if there is a meeting point."
Create Your Own!filmographyL'Ivresse du Pouvoir 2006.02.13.filmographyBeau monde, Le (2006) Maryna (2006)Gabrielle (2005) Soeurs fâchées, Les (2004) I Heart Huckabees (2004) Ma mère (2004) Temps du loup, Le (2003) Vie promise, La (2002) Deux (2002) 8 femmes (2002) Pianiste, La (2001) Médée (2001) (TV) Comédie de l'innocence (2000) Merci pour le chocolat (2000) Destinées sentimentales, Les (2000) Saint-Cyr (2000) Fausse suivante, La (2000) Vie moderne, La (2000) Clara (2000)Pas de scandale (1999) École de la chair, L' (1998) Rien ne va plus (1997) Palmes de M. Schutz, Les (1997) Affinità elettive, Le (1996) Poussières d'amour - Abfallprodukte der Liebe (1996) Gulliver's Travels (1996) (TV) (voice) Cérémonie, La (1995/I) Séparation, La (1994) Navodneniye (1994) Amateur (1994) Après l'amour (1992) Madame Bovary (1991) Malina (1991) Vengeance d'une femme, La (1990)Seobe (1989) Une affaire de femmes (1988) Possédés, Les (1988) The Bedroom Window (1987) Milan noir (1987) Cactus (1986) Sac de noeuds (1985) Signé Charlotte (1985) Garce, La (1984) Femme de mon pote, La (1983) Storia di Piera (1983) Coup de foudre (1983) Truite, La (1982) Passion (1982) Eaux profondes (1981) Coup de torchon (1981) Ailes de la colombe, Les (1981) Dame aux camélias, La (1980) Heaven's Gate (1980) Sauve qui peut (la vie) (1980) Loulou (1980) Örökség (1980)Soeurs Brontë, Les (1979) Retour à la bien-aimée (1979) Scénario de 'Sauve qui peut la vie' (1979) Violette Nozière (1978) On ne badine pas avec l'amour (1977) (TV) Indiens sont encore loin, Les (1977) Des enfants gâtés (1977) (uncredited) Dentellière, La (1977) Je suis Pierre Rivière (1976) Petit Marcel, Le (1976) Juge et l'assassin, Le (1976) Aloïse (1975) Rosebud (1975) Dupont-Lajoie (1975) Sérieux comme le plaisir (1975) Docteur Françoise Gailland (1975) Große Ekstase, Die (1975) Ampélopède, L' (1974) Plaies et bosses (1974) (TV) Madame Baptiste (1974) (TV) Valseuses, Les (1974) Vogue la galère (1973) (TV) Drakkar, Le (1973) (TV) Maître de pension, Le (1973) (TV) Histoire vraie (1973) (TV) Glissements progressifs du plaisir (1973) (uncredited) César et Rosalie (1972) Bar de la fourche, Le (1972) Figaro-ci, Figaro-là (1972) (TV) Faustine et le bel été (1972) Prussien, Le (1971) (TV)

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WHAT MEANS ISABELLE FOR THE CINEMARares sont les actrices qui arrivent à incarner avec autant de détermination des personnages faillibles et solides à la fois dramatiques et sans gravité. Elle aime le souffre, et le cinéma le lui rend bien. Pas tout à fait sympa, une peau de vache qui cherche à se faire aimer, qui ne sait jamais comment s'y prendre. Voilà Huppert, même si elle est de plus en plus chaleureuse et drôle, adulée comme autrefois l'autre Isabelle, à qui elle a pris la place, l'Adjani. Isabelle Huppert aura eu deux carrières. Une où son nom figurait parmi les têtes d'affiche écloses dans les années 70,: aussi légère que Miou Miou, aussi mystérieuse qu'Adjani, aussi séduisante que Nathalie Baye. Mais avec un flair rare et une intégrité déterminée, elle a su les dépasser, une à une, et tisser ses toiles, comme une Reine. À elle seule elle était tous les portraits d'une femme, et le portrait de toutes les femmes. Grâcieuse et glaçante, ironique jusque dans la dérision et distante. Masques après masques, elle construit une image : celle d'une comédienne plus charnelle qu'on ne le croit, une star plus inaccessible qu'on ne le pense. Déjà elle se singularisait en jouant dans diverses familles du cinéma Français: Blier, Pialat, Tavernier, Téchiné, Godard, Chéreau, Jacquot, Kurys et Ozon. Mais aussi chez David O' Russell, Haneke, Cimino, Minayev, Taviani, Hartley... Pas de frontières pour elle.La dentellière prenait encore plus d'essor avec ses partenaires masculins: une génération au dessus, telle la soubrette au milieu des barons du cinéma. Elle les affronte, sans hésiter, en cette période de libération de la femme. Toute cette période, jusqu'en 1987, lui a permis de voguer au gré des vagues: les plus hautes avec Violette Nozière et Coup de Torchon, mais aussi les plus lointaines, tournant en Allemagne ou aux Etats Unis. Sa carrière américaine commença avec une des plus grandes super-productions hollywoodiennes: Les Portes du Paradis. Qui menèrent le studio (United Artists) et Cimino en enfer. Isabelle Huppert n'était ni glamour, ni comique. Juste une fille banale en vedette, qui cherchait à nous surprendre. La provocation, la monstruosité, la difficulté lui vont mieux. 10 ans après son prix d'interprétation à Cannes, ses choix semblaient plus hasardeux, moins heureux. C'est alors que Claude Chabrol rentre de nouveau en scène. La relation entre un réalisateur et une comédienne est primordiale dans le déroulement d'une vie d'actrice. Comme Deneuve-Téchiné ou Béart-Sautet, il y a Huppert-Chabrol. Le Hitchcock français, le bon vivant amateur de polars a changé de sujets avec Isabelle Huppert: avortement, roman classique, fait divers, histoires de pantins et de pouvoir... Et toujours des rôles de femmes très forts, passionnels et sanglants... Une affaire de femmes lance Huppert dans sa plus belle décennie, avec un sujet controversé (ce qui lui correspond assez bien), et une affiche la montrant plus féminine que jamais. La vedette est née. Il y aura Madame Bovary par la suite, l'adaptation d'un des plus grands personnages de la littérature française, la réponse au féminin à Cyrano de Rappeneau. Une romantique qui ne s'assume pas. Comme cette Pianiste qui oubliera son sexe... Bourgeoise idéale, intello et frigide, qui fissure scène après scène jusqu'à laisser la lave couler sur tous ses pores. Une postière sanguinaire par exemple dans La Cérémonie, où elle devient la complice de Bonnaire toutes deux un peu folles, ou marginales. Un rôle qui la consacre à Venise, aux Césars et aux Etats Unis. Un personnage réaliste, déterminé, errant. Une sorte de symbiose avec son image. Un rôle de soeur aussi : ça lui va bien, même avec des tempéraments aussi variés que ceux de Frot ou Deneuve, dans des comédies. Il y aura eu des aventures étrangères (dans le cinéma indépendant américain ou le cinéma académique italien), et puis toujours sa fidélité aux femmes: Christine Pascal, Diane Kurys, ses (vraies) soeurs,... Aussi, un de ses films les plus sous-estimés, face à Auteuil, dans La Séparation. Encore une femme actuelle, sans prétention. Juste dans son époque. Même si Huppert semble plus magique lorsqu'elle est dans le factice. Peut-on croire qu'elle fait la vaisselle ou qu'elle conduit, comme toutes les autres femmes? Quand elle fait la plonge, elle préfère métaphoriser : "J'ai les choses bien en main." (L'ivresse du pouvoir). Reflets de celles que l'on croise dans le métro ou sur les autoroutes. Et pourtant nous ne la croisons jamais. nous refusons qu'elle soit banale. Elle doit nous cacher quelque chose. C'est peut être ce charme qu'elle amplifie avec les années, cette recherche de la perfection, sans que l'on ressente l'effort, qui nous fait de plus en plus succomber à son talent. Car il est indéniable et reconnu. Sa liberté est d'ailleurs totale désormais. Si Bovary a tout lu, Huppert, elle, peut tout jouer. Et elle vit depuis La Cérémonie ses plus belles années: au théâtre (où elle a joué Mary Stuart à Londres) comme au cinéma, où elle s'impose dans le rôle de Marie Curie dans une des pièces de théatres les plus populaires de ces dernières années, portée à l'écran. Huppert y retrouve Noiret. Et redécouvre la légèreté. Rien ne va plus. Au contraire tout va bien pour Isabelle Huppert, indémodable, incontournable, année après année. La cinémathèque lui rend hommage. New York l'adule. Les prix pleuvent... Cette grande abonnée au festival de Cannes y revient chaque année avec ses films culottés, ses interprétations troubles et provocantes, ses sentiments qui se perdent dans l'inconscient de chacun. Elle est le reflet d'une société qui a un mal-être qu'elle renvoie à la perfection. Elle réussit encore à nous suprendre, en tueuse froide, en mère reniée (et aliénée), en épouse baffouée et psycho-rigides, en manipulatrice. Son goût pour l'aventure lui fait traverser des univers cinématographiques radicaux, de Dahan à Honoré en passant par Schroeter. Tant pis si le public ne suit pas. Ozon lui a offert son plus gros triomphe avec un personnage brulesque. Elle a continué à approfondir ce registre de la comédie populaire et classe. De quoi nourrir sa notoriété, solidifer ses projets, s'aventurer toujours plus libre ailleurs, explorer la folie de ses personnages, ces irresponsables qui n'ont pas conscience de leur malheur. Et qui le paye au final. Et quand on croit qu'elle se répète, qu'on a déjà vu son rôle de névrosée passionnelle et écorchée vive, elle nous bluffe avec sa virtuosité clinique dans La Pianiste d'Haneke. Elle n'hésite pas à pisser, à se saigner le sexe, à baiser sur du carrelage froid, à se planter un couteau, à se détruire dans la beauté d'un amant irrésistible. Et sur scène, elle plonge la tête dans la flaque de Médée, et en sort hagard, les yeux rougis, le visage paralysé par la folie. Huppert est une tragédienne qui vit ses extrêmes de façon intellectuelle. Cérébrale, on ne plaisante pas avec elle. Frissons garantis.vincy

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Posted by ISABELLE HUPPERT on Sat, 26 Aug 2006 12:34:00 PST