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alexandre

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About Me

love sports (rugby basket ball) , music, reading ( bret easton ellis is god), passionate people. and of course Didier Bourdon le génie.SPORT SPORT SPRT: rugby, basket-ball, tennis !align="right"

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My Interests

Mon manuscrit : " les filles plus rock n roll que moi"... avec sa B.O. featuring chet baker, justin timberlake, CZR, Pharrell, Joao Gilberto, Paul Johnson, dj nekbath, Galt Mcdermott....

I'd like to meet:

LES FILLES PLUS ROCK N’ ROLL QUE MOI(Ou la satire de moi-même face aux jolies filles bien élevées de notre société) DJ Alexandre Toesca ------------------------ Louis XVI devant un buffet fastueux: « Ah, j’ai faim!». -------------------------- 1 « I love Rock n’ Roll » Joan Jett and the Black HeartsMa vie? Je marche comme un soldat de l’armée Rouge, les bras tendus le long du corps, marquant d'un pas saccadé et volontairement brutal chaque temps de la musique. Mes amis crient morts de rire: - DJ TO, DJ TO!!! Je demeure impassible, le regard devant l’éternel, et continue de marcher dans l’axe de la piste de danse ; caricatural. La chanson qui passe c’est “Walk This Way” de Run DMC avec Aerosmith, alors je continue de walker this way. Quinze mètres plus loin, une fille me montre ses seins. Sûrement parce qu’elle croit que je suis aussi exubérant tous les jours de l’année. Je souris, lui touche les fesses, car elle frotte son cul contre mon sexe pantaloné. Je décide d’en rester là, déjà ému par le potentiel de débauche possible. On est au Cabaret, trois heures du matin. Les rues de Paris sont vides ; les boîtes pleines. Edouard m’a dit une fois: ‘Vis ta vie comme tu aimerais la raconter’. Depuis ça me colle à la peau. C’est devenu comme un refrain pour moi, c’est tellement bon. Souvent pour justifier un comportement qui suscite des points d’exclamations sur la tête des gens, je leur dis d’un ton comme si je venais de trouver la formule : “… je vis ma vie comme j’aimerais la raconter”. Merci Edouard. Je reviens à notre table, cette fois-ci sensible à mon environnement « excusez-moi pardon… pardon excusez-moi… ». Ici, personne ne me regarde ; Seb et Benjamin, les deux frères parlent chacun à leurs verres de Vodka et à leurs voisines, un groupe de filles de notre âge qu’ils ont ramené. Elles ne sont ni belles ni moches, potables et souriantes. Mais sexy parce que libérées. Festives. Genre « on a largué nos mecs, du coup on se lâche avec d’autres potes que l’on connaît que de quelques coups de téléphone ». Je ne leur ai pas dit bonjour, à aucune. Trop de personnes arrivées tout d’un coup quand nous étions au resto le 20 de Bellechasse. Après, nous sommes montés sur nos scooters, et avons rejoint le Cabaret. Les filles du XXI ème siècle s’assument; elles ont leur propre voiture, elles entrent seules en boîte et on se retrouve en bas. Balzac n’a jamais parlé d’une femme aussi moderne. Par chance… ou pas, je les côtoie. Je me sers une coupe de Champagne. Je monte sur le fauteuil, au moment où les premières notes de “Hot In Herre” de Nelly résonnent. J’adore. J’ai l’attitude du mec sûr de lui, qui renverse lentement le champagne sur sa tête, pour pousser doucement le bouchon de l’accès au laisser-aller total. Je sais à ce moment qu’il y a au moins quinze personnes qui me regardent. Quand on est un mec, c’est beaucoup. Juste avant le refrain, j’aperçois un sourire, à travers les gouttes de champagnes qui coulent devant mes yeux sur mes longues mèches de minet. Le sourire d’un visage connu: Alix. Elle reste postée à quatre mètres de moi, bronzée, un sourire net, hors du temps. Je descends maladroitement de ma scène et approche en répondant à son attitude femme fatale par un regard complice. Alix est sublime; d’une beauté intimidante qui invite au respect. Ça a toujours été ambiguë entre nous. Je suis fier qu’elle me revoie sous mon bon jour : bien dans ma peau. Je sais qu’on voit que je ressens la musique, ce soir je crois bien danser.Une bonne chanson suffit à me mettre de bonne humeur. J’entends Sébastien qui éructe en une syllabe : “Oh-yes-I-know” à une fille, mais il doit me regarder en train d’approcher Alix. Ça fait longtemps que je ne suis pas sorti en boîte pour m’éclater, c’est ce genre de détail qui me rend heureux sur le moment et que j’oublie le lendemain matin. Se sentir épié quand on s’épate soi-même: - Tu vas bien? fais-je avec une posture de prince gêné.Elle met du temps à me répondre. Elle use de son point fort : son regard. Ses yeux verts se plantent droit dans mes yeux marron.Une fois la blancheur de nos dents apparue de manière synchrone sous nos lèvres, elle penche sa tête sur le coté, pour me dire que je peux la rappeler, car elle n’est plus avec son mec. - - Ah bon, mais tu l’aimes encore, je te connais! Je dis en riant, faisant mine de porter de l’importance à ces choses-là. - Oui, mais il faut que je l’oublie, il est parti à Miami, notre histoire était impossible de toute façon, marque-t-elle pleine de recul. Je pose amicalement ma main sur son épaule dénudée et dorée. J’espère que mon assurance la fait frétiller de désir. On aime tous séduire. - Reviens prendre un verre ici, c’est la table du bonheur... tu connais Sébastien et Benjamin? Tu me redonneras ton numéro, je ne l’ai plus. - Reprends-le et appelle-moi, je ne repasserai pas. En extrayant le portable de ma poche comme John Ford dégaine le flingue de son holster, j’hésite à faire une blague, comme prononcer un autre prénom, ou commencer à parler en russe (ou de ce que je sais du russe), mais je me dis que c’est nul. Elle tapote alors son 06. La vie ne m’a refusé que très peu de caprices. C’est ma force et ma faiblesse. Trop content, je m’applique à danser à contretemps en rejoignant Sébastien. Il me demande qui est cette fille, et me dit que le célibat me va bien. Je pense l’inverse, mais ne moufte pas. Je me souviens une fois, je devais avoir dix ans, ma mère s’approchait de mon lit avec une de ses amies. Il n’était pas l’heure de dormir, et je n’étais investi d’aucune mission qui m’empêcha de sommeiller, mais maman vint me réveiller. Son amie la prit subitement à partie : - Pense à toutes les filles qui diront: Oh non Alexandre ! Reste au lit s’il te plait! Elles rirent toutes les deux, je fis alors mine de me revigorer. C’est fou ce qu’un enfant comprend tout. En fin je croyais avoir tout compris au rapport de séduction: les hommes ont besoin des femmes et viceversa… Je ne sais pas trop pourquoi je repense à cette vision d’enfance, quand je me retrouve en face de la fille qui montre ses seins.D’un geste sympathique elle m’invite à me pencher vers elle. Je découvre le son de la voix : - Viens, on va aux Toilettes. Une voix rocailleuse, limite méridionale, je ne m’attendais pas à ça. Même si, au fond, je m’attendais au pire. Je ne réponds rien, elle saisit ma main et se fraye un passage déterminé dans la foule. Je la suis. Mon visage affiche un air hagard, l’air de celui qui ne comprend rien à ce qui lui arrive. À cet instant, je crois que les filles pensent plus vite que nous. Dans mon égarement j'ai le temps de regarder son corps, et sa robe grise claire sexy, elle est petite mais bien faite. Je me baisse vers elle et lui glisse dans son oreille: - Je suis Alexandre... et toi? - Nathalie, sourit-elle de trois quarts. Toujours cette voix hors du commun.S’égarant du chemin des Toilettes, on atterrit près des banquettes calmes où personne ne circule. La musique est beaucoup moins forte. Nathalie, dont je me force à ressasser le prénom pour ne pas l’oublier, se tourne face à moi comme pour m’embrasser. Je la pousse violement vers la banquette et tombe aussitôt à cheval sur elle. Un instant passe, je caresse sa joue avec ma main droite tout en gardant mon dos à la verticale, elle caresse alors mon pantalon, et de son autre main me remontre ses seins. Elle ne paraît pas gênée par la posture dominatrice que je lui inflige, ça m’enchante. Je m’allonge alors sur elle pour l’embrasser, sans sensualité mais doucement quand même. Ma main vire sur ses seins. Elle cherche mon sexe, endormi et introuvable; mais ça ne m’embarrasse pas. - Prends mon numéro, là je n’ai pas le temps! décide-t-elle. Nathalie se redresse, puis je m’installe à son côté. Je sors mon portable de ma poche, ouvre le clapet avec spontanéité. Elle me le dicte, puis : - Tu ne peux pas rester là… - Ah bon ? dis-je, alors que je n’en ai même pas envie. - Non… je ne peux pas, je suis avec un client là, appelle-moi dans une heure, lâche-t-elle sans complexe. Quand je saisis véritablement ce qu’elle me dit, je ne suis ni honteux, ni gêné. Je dis simplement « OK » alors que je pense « K.O. », puis on se sépare. Mon ego bourré d’énergie, j’ouvre ma chemise de deux boutons, glisse derrière mon oreille une mèche encore trempée de spiritueux. Je ressasse dans ma tête une phrase de Notorious BIG : « I got mad friends with Benz, true fuckin’ players » je me rappelle l’époque ou le Rap américain était mené par des chefs de file dits « hardcore » (Biggie, Tupac, KRS-One, Ice Cube), et que la musique était dansante en plus, on trouvait ça fort. Je m’imprègne de ce mode de pensée. La gangsta attitude, que moi le cul bordé d’argent, j’arrive à ressentir. Une des nanas se penche en avant vers la table pour se servir un verre. Encouragé par ma péripétie avec Nathalie la pute, je pose mes mains sur ses hanches, de dos, et commence à mimer une levrette, en la heurtant pour qu’elle sente bien que je n’y vais pas mollo. La fille reste en place, se retourne, et me jette un oeil torve: - Arrête....... j’adore ça. Nous nous sourions. Et comme je trouve cette scène mortelle, que je la kiffe, et que ça ne se voit pas assez sur mon visage, je dis bêtement : « Bonjour... Alex ». 2 « Miss You » The Rolling StonesOooh oooh oooh oooh oooh oooh oooh Oooh oooh oooh oooh oooh oooh oooh Oooh oooh oooh ooohWell, I've been haunted in my sleep You've been starring in my dreams Lord I miss youSamedi vers midi, dans ma rue. Je sors de chez moi, disponible, l’air dégagé, je m’apprête à traverser la rue, hésite : une voiture accélère, puis freine à mon niveau et dérape jusqu’à mon tibia. Il ne me reste qu’à faire mon saut de cabri épris d’un naturel qui me surprend moi-même. Discrètement, j’aime à penser que je suis cool. La main posée sur le capot de la voiture, une tête de jeune femme à qui l’on ne refuse rien sort de la fenêtre... - Oh, excusez- moi, je pourrais vous emprunter votre portable ? demande-t-elle. J’enquille rapidement: - Ok, mais descends! en montrant le bateau où elle peut se garer sans encombrer la rue. Comme les filles croient penser plus rapidement que nous, je la sens ruminer « il peut me plaire ». - Non… tu montes ?Elle vient de me bluffer; j’essaye de me retenir de sourire. Je tente de dissimuler mon bonheur par une glissade sur le capot comme Bo et Luke dans la série de ma jeunesse « Shériff fais moi peur ». Mais mon jean s’accroche ; mes bras prennent la forme d’antennes Télé pour retrouver mon équilibre, je me retrouve assis et crispé comme un con sur le capot. Je croise les bras vers elle en souriant pour me donner une contenance. Putain je suis une star, même quand j’ai l’air d’un con, ça passe. À peine assis dans l’habitacle, je tends mon téléphone, comme un kurde à la douane brandirait son passeport. Je ne suis pas si sûr de moi. Elle compose le numéro de tête. Allais-je assister à une scène de ménage avec son petit copain ? Allait-elle demander le code d’immeuble à sa grand-mère ? Je préférais imaginer une conversation longue et pimentée avec sa meilleure amie sur leur relation sexuelle, façon femme active ‘célibatante’ ? Mais il ne faut pas rêver. La voiture démarre. - Allo Mathieu ? ... Laure, dis-moi je suis prise entre deux feux là, je t’appelle du portable d’un ami, dit-elle en me jetant une oeillade rapide. Son profil net chargé d’expressions intuitives s’exprime avec une détermination très drôle à suivre ; un truc proche de l’enfantillage. - … - Tu as aimé le thème ? On doit tout envoyer chez l’imprimeur dans vingt minutes, c’est ça ou le truc nunuche de Blaise…Elle donne tellement d’entrain à la conversation que je l’imagine face à moi au téléphone, assise sur le changement de vitesse en train de déboutonner ma chemise, son regard avide à mesure que se découvrirait mon torse. Et comme pour conforter ma pensée elle prononce les mots suivants : - Deux vêtements uniquement ! C’est mieux que tenue ‘Cro-Magnon’, tu vois, je ne veux pas voir venir Fabrice à notre anniversaire en guerrier illettré renversant du Whisky partout, c’est NO WAY; tu vois le concept qu’on a élaboré hier sans toi, c’est plutôt soyez A POIL mais DIGNE et enclin à jouer le côté SEDUCTION un max… tu vois ça permet aux filles une plus grande diversité de déguisement que la fameuse peau de bête qui tient chaud, et puis tout le monde sera pareil sinon… t’es pas d’accord?Elle croise mon regard comme pour ponctuer sa conversation, sûre d’avoir fait un point avec son Mathieu; elle défie mon oeil curieux et vif, je me sens comme un intrus alors que, vu les informations fraîchement emmagasinées, je ne peux qu’être à l’aise. Je viens de rencontrer une Laure qui fait partie du même ghetto jeune et festif que le mien ; la conversation pourra donc éviter plein d’écueils barbants. J’adore son dynamisme. Me surprenant à penser ça, je la dévisage. Je crains de la fixer avec des yeux trop insistants, même si ça ne semble pas lui déplaire. - Je savais que tu comprendrais, à toute ! précède le ‘clap’ qui achève son coup de téléphone. Nous nous trouvons à deux pâtés de maison de chez moi, apparemment à la recherche d’un stationnement. Et je reprends comme pour stimuler mon insatiable envie de rythmer ma vie : - Non seulement je veux mon téléphone, mais je veux recevoir ce putain de carton d’invitation à mon nom et à l’adresse que tu connais! Elle éclate de rire, pendant que je repense à ses mots : “à poil mais digne”, c’est fou, j’aurais bien payé vingt € pour entendre ça de la bouche d’une jolie fille! Il y a dans cette formule toute la compréhension de la sexualité masculine il me semble. Je crois que, dans mes gènes, j’ai toujours voulu tomber amoureux d’une fille mec. Celle qui n’a pas peur de jouer dans la cour des grands. C’est agréable de sentir ce compte à rebours divin dans la vie. Quand la reverrais-je ? Y aurait-il un baiser ? Le hasard vient de me fixer ce nouvel objectif : séduire ouvertement Laure. Je pourrais lui déposer un Cd d’amour fait par mes soins ; quinze chansons de tueur dont j’ai le secret:1- Black or White Americanos de Caetano Veloso, (la reprise Bossa Nova de Black or White de Michael Jackson), pour ne pas l’effrayer en lui faisant écouter 74 minutes de chansons qu’elle ne connaîtrait pas. Un très bon début. 2- Up From The Skies de Jimi Hendrix, du jazzy boogie mellow. Paroles sensuelles. On comprend que c’est oldschool, et on aime car le poids des années rend l’artiste mythique. 3- I’ve Been Loving You Too Long Interprété par Ike et Tina Turner live 11 min 53 d’humour, de blues, de jeu avec le public, et un cunnilingus mimé sur scène. Un must. C’est rare que les live sonnent vraiment bien. Ça donne un tempo lover à la compile, inéluctablement. 4- Girlfriend de N’Sync featuring Nelly (Neptunes remix). Bien sûr ! 5- You do Something To Me ou Que Reste-T-Il De Nos Amours de Joao Gilberto. 6- Star People de George Michael live @ MTV Unplugged. 7- Space de Galt Mc Dermott. 8- Everything Happens To Me de Chet Baker. J’aimerais ne pas connaître cette chanson, pour voir ma gueule en l’écoutant pour la première fois. 9- Young Boy de The Clipse 10- If You Want Me To Stay de Sly and the Family Stone 11- Beast of Burden ou She Smiled Sweetly, The Rolling Stones. 12- Tempted de Squeeze 13- When You Think Of Me d’Eric Benet 14- Beautiful de Snoop Doggy Dog 15- So Beautiful de Milton HamiltonPochette imprimée en couleur avec une photo de moi en train de mixer au Queen en 1999 avec Cut Killer, titres au choix : -“Hey.... Nice car!” avec une typo rose et grasse (trop love), « Super love Masternik 2 » (Trop décalé) « Con-pile pour une faciale » (Trop hard). Ça y est, je l’ai : « From Alex to Laure. Enjoy the ride ;) »C’est salaud comme cadeau un CD personnalisé. C’est fait pour combler éhontement ses vides existentiels quand elle tournera en rond dans son appartement, et pour les transformer en tyrannie de l’amour à mon avantage. Quand elle ne pensera à rien, elle mettra mon Cd et elle pensera à moi. J’accèderai à son lit virtuellement, je ferai partie intégrante de ses fantasmes et elle n’osera le nier. Car je serai celui qui à partir de ce moment la fera rêver. Mais bon tout ça serait prémédité et je ne m’en cacherai pas. Et pour moi quand on en est à avouer que l’on est courtisé et que l’on s’en amuse, c’est que l’on abdique la bataille et que l’on ouvre grand ses bras. Bref revenons à nos adieux, car nous savons l’un comme l’autre qu’il faut une sortie furtive. Des rires et Basta à la niche, Enfin je dis ‘nous’, je sais que c’est comme ça que les filles réfléchissent; moi j’aurai pu bander pour une pipe dans la bagnole. Même en plein jour. Une femme dans son schéma de séduction doit forcément passer par différents paliers, c’est la règle. Alors je fais comme si j’étais similaire, joue de ma légèreté, la fameuse sortie patriarcale, à la Jean Marais. Celui dont on imagine encore le sourire quand il est parti.

Music:

mainly Black Music : stevie Wonder, donny hathaway, Hip Hop: production neptunes, Timbaland, Q tip, Busta, dj neil armstrongBrazilian music: caetano veloso, joao Gilberto.... I am a serato user;) rock: stones, red hot, .....electro: deejayyyy paul Johnson (the best) feeling a mort= sensual house.

Movies:

film culte: Hurly Burly ( sean penn, kevin spacey), Sin City, l'esprit de Las vegas parano, WOODY ALLEN ! casanova de felini, allons y avec les frere coen, et les Farrelly que je vnre... on adore aussi le tapis roulant de spike lee et christofer Walken et John Malkovitch, Bowfinger, Panique au village, Zoolander et Jenna Jameson.

Television:

Apple

Books:

BEE : Bret easton ellis : Glamorama ( the masterpiece EVER!), vincent ravalec dans quantique de la racaille, les mmoires de Giacomo Casanova, Charles Bukowski, samuel beckett biensur !!!! Tibor Fischer, (j'm les anglosaxons!) Herman hesse pour la puret de son ecriture, Guillaume Dustan pour son combat contre les vieux cons et son cot decomplx ( ses idées me touchent)et juste le style de modiano, parce ke ses histoires sont un peu chiantes.