Vélo [velo], (French word for bicycle): Anagram of love, or vehicle propelled by physical force.
Enter the world of Vélo where you will be taken on an exciting journey of electric rock. Guitar, bass, drums and vocals rolling together like a wheel across a musical landscape that although seems familiar, goes beyond the mainstream. Be teased by the tension hidden beneath the rhythm of the bass and drum, ripped by the lightening from the guitar. Now press play…
aTrio français installé à Paris. Un rock électrique brumeux , atmospherique ,mélange de compositions bruitistes et d'improvisations mélodiques.Des paysages sonores désolés, du road-movie pour les oreilles.Une rythmique basse-batterie sensuelle masquant à peine une tension latente, explosive. Des horizons déchirés par des éclairs de riffs de guitare. Les influences musicales vont de Bauhaus aux Dead Kennedy's, de This Heat à Sonic Youth, de Can à Bastard, de Slint à Héliogabale.Vélo naît il y a quelques années déjà , sous la forme d’un duo guitare-batterie. Brice Pirotais, guitariste des Hurleurs (trois albums chez Barclay/Universal) et de Theo Hakola, rencontre Nicolas Gautier, batteur du groupe Carmine et travaillant sur le projet de Laurent Perrier, Cape Fear. Ils sont très rapidement rejoints par Tahar Boukhlifa à la basse, multi-instumentiste et compagnon de route du guitariste Jean-François Pauvros. Les essais sont fructueux et le « power trio » fait ses premières apparitions sur scène, en des concerts rares mais singuliers, où le groupe marque le public par son post-rock puissant, rageur et à la fois plein de retenue. Très vite, ils utilisent de vieux synthétiseurs analogiques, ajoutant à leur sonorité rock une une touche de ce qui leur vaudra l’appellation d’« expérience trip-post-rock » dans le webzine Froggy’s Delight après un concert à Rennes.
En 2005, ils enregistrent un album 7 titres éponyme, autoproduit, dans des conditions live. Les compositions y sont largement instrumentales ; les rythmiques torturées se frottent aux larges plages d’improvisations bruitistes, des mélodies que l’on pourrait facilement extraire d’une gangue de riffs en fusion…« Vélo, anagramme de love ou bien véhicule mû par la force musculaire : tension, extension, roulement, mouvement. La musique produite peut tout aussi bien se vêtir de ces adjectifs descriptifs d’une mécanique cycliste. Guitare, basse et batterie, presque roue dans roue, traversent des paysages musicaux qui nous paraissent familiers tout en restant hors des sentiers battus, un peu comme le facteur de Jacques Tati ou le vélocipède pataphysique d’Alfred Jarry… »
Jean-François Paux
