"PANIC"
OUT NOW!
Juno
Nuloop
Beatport
Le duo rennais Darlin’Nikki est un parfait exemple d’un projet de musique électronique inventif et ancré dans son époque. Il se compose des jumeaux Dj Lloyd et Lokoum qui cachent leur identité sous des surnoms qui éveillent déjà la curiosité. En prime, leur patronyme est emprunté à un célèbre morceau de Prince sur son album "Purple Rain" (1984), où la musique est vertigineuse et où les paroles font explicitement référence à la séduction et à l’érotisme. Ce "sampling verbal" forcément très choisi laisse entrevoir de jolis frissons musicaux et un bel éclectisme.
Qualifiés de valeurs montante de la scène électro bretonne » et même de porte-drapeaux d’une "Breizh Touch" par la presse spécialisée, les Darlin’Nikki se produisent sur scène sans platines ni vinyles et sont adeptes du "tout machine". Avec leurs échantillonneurs, leurs synthétiseurs et leurs effets sonores, ils produisent une musique énergique et pulsée qui peut être festive et accrocheuse. On trouve dans leur techno des traces de rock, de funk, ainsi qu’un sens de la dramaturgie musicale qui passe par des motifs imprévus, des breaks imparables, et des trouvailles qui vont du planant au groove, le tout enveloppé dans habits high-tech.
Les Darlin’Nikki, qui ont beaucoup écouté et assimilé de musiques différentes, ont toute leur place dans la nouvelle génération française électro. Leur Travail s’apparente plutôt aux musiques d’un Vitalic et d’un Agoria qu’a un groupe comme Justice, mais on sent chez eux une influence de Daft Punk et même sur certain morceaux des effluves inspirées par la techno minimale allemande.
Leur discographie se compose d’un Cd de six titres, "We are One" et de Trois maxis vinyle, "Version 3.3" ; "We are one" et "Panic" produit par le label Rennais Fake Records. Panic, leur nouveau Maxi, sur lequel on retrouve notamment un remix du titre "Summer Kingdom" des Bikini Machine, devrait les installer définitivement parmi les artistes à danser. Sur scène, leurs prestations, font parler d’elles et ils ont déjà eu l’occasion de se produire au festival Astropolis de Brest en 2004, aux Trans Musicales de Rennes en 2006, au Rex Club et de nombreuses salles à travers la France.
www.fakeproject.org
A growing presence for the last 4 years on the Breton electro scene (Britanny - Fr), the Darlin'Nikki twins from Rennes have playedno less than 60 gigs including famous festivals like Astropolis and the Transmusicales. The quality of their performance has grown alongside the size of their following, both now reaching fever pitch.With darlin'Nikki, "live" really means live : in an arena, when the live act has become an essential componemt for many electro concert promoters this is after reduced to one paltry laptop. Once a stage, these two jockers in pack are completely at one musically, with their mass of keyboards, samplers and sequencers. This theatrical presence adds to their performance immeasurably : it smacks of foundness for a certain tradition popular in the 90's and also from the other side of the channel (UK). The whole thing is one big feast for the eyes... and ears. Also you cannet help but notice the theatrical and musical paralleles with the Chemical Brosthers. This disinhibited form of techno and the energy displayed by these "electro clones" remind us of the good old days of Break beat. With formidable efficiency and their catchy rythms, the Darlin'Nikki sound is distinctive by its occasional trance or acid accents, and by its rock'n roll strains in tune with the times. With two 12" ep (Version 3.3 and We are one on Fake records), Darlin'Nikki exploded on the stage at The Transmusicales (Rennes.fr). No techno fans was able to resist them...
As suiting action of the world, Darlin'Nikki joins pictures to sound and surnounds with Vj's : Lombric. ... Moving and mutant pictures activists have to stick close to the twins freacks's world while they dragge us to their universe. It's a singular and dreamlike world where vivid and gaily coloured tones are combinated with animated creatures and outlined characters. We could say that the Darlin'Nikki and Lombric combination is a sensary experience we should remember for a long.
Trax magazine. 2007. "...a Live act as powerfull as Vitalic's one".
www.fakeproject.org
:::EVENTS:::
Transmusicales 2006 [35 Rennes] / Astropolis 2004 [29 Brest] / Breiz Touch [75 Paris] / Printemps de Bourges Off [53 Bourges] / Art Rock 2005 Off [22 St-Brieuc] / Tremplin Jeunes Charrues 2004 [56 Lorient] / Roc’han feu 2005 [56 Rohan] ...
:::CLUBS:::
Rex club [75 Paris] / La Flêche d'Or [75 Paris] / Ubu ; Le Jardin Moderne ; L’Antipode [35 Rennes] / L’Olympic ; Le Floride ; Le lieu unique [44 Nantes] / Le Manège [56 Lorient] / Le Vauban ; Le Casear [29 Brest] / Le 6x4 [53 Laval] / L’ex Ty Planch [22 Morlaix] ...
:::DJ’s METS:::
Agoria / Daniel Bell / Steve Bug / Jennifer Cardini / Chloé / Morpheus / Dj Zebra / Interlope / Elisa Do Brazil / Kid Loco / Zenzile / Miss Purdey / Sheer-K / X-Makeena / Arno Gonzalez....
:::DISCOGRAPHIE:::
Vinyle 12†: Panic. (Fake records-Topplers) / We are one. (Fake records-Topplers) / Version 3.3 ep. (Fake records-La Baleine-Toolbox)
CD : We are one ep. 6 titres / Eclektik Beat. 2 titres / Transmusicales. 1 titre. / Bourges Off. 1 titre / 20 ans de musiques à Rennes. 1 titre.
:::REMIXS:::
El Baron Brissetti "Dogsteps". 100 Complex. Coming soon
Bikini Machine "Summer Kingdom". Fake records
Fatale "Marcus's secret". Fake records
:::MEDIA:::
France Inter 2007. «Voici un groupe qui semblerait inventer une sorte d'énergie dans la musique électronique avec deux activistes de l'image pour parfaire leur live. une affaire à suivre...»
Trax 2002. «Ils développent des compositions des plus revigorantes en forme d’écho multiforme d’un appétit musical incontrôlable...»
Ouest-France 2006. «La fête est au rendez-vous avec ses deux énergumènes montées sur ressorts.»
Le Télégramme 2003. «Les jumeaux les plus prometteurs du moment»
Ouest-France 2003. «A en voir les spectateurs, je ne suis pas le seul à apprécier. Festifs, joyeux, bien quoi...»
Ouest-France 2004. «Survitaminés, incendiaires et particulièrement festifs, les Darlin’Nikki ont emflammé la salle, transformée en dance-floor. Un groupe dont on entendra très certainement reparler dans les mois à venir.»